Astuces de maman

Des horloges pour se repérer dans le rythme de la journée

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sSe repérer dans le temps n’est pas toujours facile pour les enfants. Il arrive souvent que Petit O’ (4 ans) me demande s’il est l’heure de prendre le déjeuner alors qu’il n’est que 10h14 (oui, ce petit aime manger) ou si on peut aller au parc à 21h37 (oui mes enfants se couchent tard). Alors pour ne pas devenir folle à leur expliquer les notions de temps 14576 fois par jour pour les aider à comprendre les notions de temps, j’ai décoré deux horloges Stomma de chez Ikea afin qu’elles représenteent le matin et l’après-midi

Matériel nécessaire

Je me suis servie de l’horloge Stomma de chez ikea car elle conçue pour être personnalisée. Elle est toute blanche, et le revêtement de son cadran est fait pour accrocher le crayon ou le feutre. Et en plus elle coûte moins de 2€ !

Source : Ikea

Matériel nécessaire :

  • deux horloges Stomma de chez Ikea (ou deux horloges blanches)
  • des crayons de couleurs ou des feutres
deux horloges, des crayons de couleurs et des feutres

Nos horloges pour se repérer dans le rythme de la journée

Tout d’abord, si j’ai choisi de fabriquer 2 horloges classiques (de 12h) plutôt que de prendre une seule horloge représentant 24h, c’est que ma Colombe (6 ans) vient d’apprendre à lire l’heure. Je ne veux pas embrouiller son esprit, et je veux profiter de ces horloges pour qu’elle continue à s’entraîner.

L’autre raison qui m’a poussée à faire deux horloges, c’est que même si Petit O’ est parfois encore un peu confus, Colombe a bien saisi la différence entre matin, après-midi, soir… Le but de ces horloges n’est pas tant de leur faire apprendre les grands moments de la journée, que de leur indiquer ce qu’ils est temps de faire. Comme mes enfants sont instruits à la maison, j’avais besoin de précision pour bien séparer les heures de la journée. L’horloge 24h ne me permettait pas tant de précision (mes dessins sur les tranches d’une heure auraient été trop petits).

L’horloge du matin

Les enfants savent que l’horloge du matin commence à minuit, lorsqu’ils dorment profondément. Et voici comment j’ai découpé nos journées :

  • De minuit à 8h : on dort. Cette période est représentée par la nuit et les étoiles.
  • De 8h à 9h : on prend le petit déjeuner, on s’habille, on lit un livre. Cette période est représentée par une tasse fumante, un livre et un T-shirt.
  • De 9h à 11h : c’est le temps du travail formel représenté par un livre et des crayons.
  • De 11h à 12h : on joue dehors. Cette période est représentée par des fleurs et un vélo.
L’horloge de l’après-midi

Arrivé à 12h, on passe à l’horloge de l’après-midi

  • De 12h à 13h : on déjeune. Cette période est représentée par une assiette et des couverts.
  • De 13h à 14h : on fait une activité calme. Cette période est représentée par un enfant qui dort parce que je suis pleine d’espoir même si mes enfants ne font plus de sieste depuis 2 ans, et par un livre.
  • De 14h à 15h : on cuisine pour préparer les prochains repas et goûters. Cette période est représentée par une cuillère en bois, une toque et un tablier.
  • De 15h à 18h : on joue, on va jouer dehors, on crée… Cette période est représentée par des fleurs, un vélo, des cubes, un livre.
  • De 18h à 19h : on se lave et on se met en pyjama. Cette période est représentée par une douche et un pyjama.
  • De 19h à 20h : on mange. Cette période est représentée par une assiette et des couverts.
  • De 20h à 21h : on fait une activité calme dans sa chambre. Cette période est représentée par un livre et la fabrique à histoires de Lunii.
  • De 21h à minuit : on dort. Cette période est représentée par la nuit, la lune et les étoiles.

Utilisation et autres exemples d’horloges

Voilà ! En prime vous connaissez même notre rythme quotidien. Je ne suis pas très stricte sur ce rythme, mais cela nous fait déjà un repère. Les enfants comprennent qu’on ne va pas aller au parc si l’on est en toute fin de journée ou qu’il est l’heure de faire un temps calme après le déjeuner. Et ce rythme s’applique surtout aux jours de semaines, puisque le week-end, nous profitons pour sortir et ne travaillons presque pas.

Je l’ai expliqué en début d’article, j’ai choisi deux horloges de 12h. Mais plusieurs copines blogueuses ont choisi des horloges 24h pour représenter le cycle de la journée. Je vous mets ici quelques liens en exemple :

Avec ça, je pense que vous avez de quoi faire de belles horloges et aider vos petits à se repérer dans le temps !

Et chez vous, comment ça se passe ? Quelles sont vos astuces pour que les enfants se repèrent dans le temps et qu’ils sachent ce qu’il est temps de faire ? J’adore vous lire et échanger avec vous, alors venez partager votre expérience en commentaire !

Bilan de mon défi de janvier : l’alimentation

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En 2019, j’ai décidé de mettre de l’harmonie, et l’énergie et du plaisir dans notre vie de famille. Pour y arriver, j’ai établi tout un plan d’action avec un thème chaque mois. En janvier, j’ai travaillé sur notre alimentation pour la rendre plus saine, plus équilibrée et aussi plus facile à gérer pour moi. Le mois se termine et il est temps pour moi de vous faire un bilan de ce que je retiens pour la suite !

Mes lectures pour une alimentation saine

Cela fait longtemps que Papa A Dada ! et moi sommes préoccupés par notre alimentation. Et lorsque nous vivions encore en France, nous avions une alimentation plutôt saine. Mais voilà, l’expatriation a tout chamboulé : les produits ne sont pas les mêmes, les normes sont différentes, le bio est beaucoup plus cher et le local à Dubaï tourne autour de la datte et du concombre (c’est bon, mais on s’en lasse vite !)… Bref, la qualité de notre alimentation n’est plus celle que nous pouvions avoir en France, et nous en avons ressenti les effets ! Et le pire de tous a été l’impact sur le comportement de nos enfants. Depuis notre arrivée ici ils sont plus agités qu’avant (parfois même insupportables). Et l’autre jour alors que nous étions allés manger un pizza pour leur faire plaisir, l’attitude de nos enfants a radicalement changé à la fin du repas : les deux gentils petits qui s’étaient installés à table avec nous s’étaient transformés en petits singes intenables ! Alors que nous avions longtemps cru que leur agitation était la conséquence du chamboulement émotionnel de l’expatriation, cette fois c’était clair : il y avait quelque chose dans la nourriture !

Certains additifs (notamment des colorants) sont cause d’hyperactivité chez le jeune enfant. En France ces additifs ne sont pas interdits, mais ils sont généralement signalés comme possible perturbateurs sur les paquets de bonbons et de gâteaux. Ici, rien n’est indiqué (en tous cas je n’ai rien vu). Nous avons été beaucoup moins vigilants sur le choix des produits qu’on achetait ici, parce que j’ai l’impression qu’il est beaucoup plus difficile de trouver des produits sans aucun additifs ici. Finalement, notre manque de vigilance nous a rattrapé…

En ce mois de janvier, j’avais donc pour mission d’améliorer la qualité et l’équilibre de notre alimentation. Et pour cela, il fallait que je cuisine plus ! (je n’ai jamais cessé de cuisiné, mais ici je me suis un peu plus souvent laissée aller à la facilité des produits industriels) J’avais depuis quelques mois dans ma bibliothèque le livre Les clés de l’alimentation anti-cancer” du Dr Jean-Christophe Charrié.

Les clés de l'alimentation anti-cancer

Les clés de l’alimentation anti-cancer a été écrit par le Dr Charrié en collaboration avec sa patiente Maryse Souffland-Groussard. Le Dr Charrié a élaboré un régime alimentaire qui a permis aux signes du cancer de Maryse-Groussard reculer, et cette dernière a élaboré de succulentes recettes. Le livre explique les principes de ce régime qui aide à repousser les signes du cancer, de maladies inflammatoires, infectieuses ou auto-immunes, et pourquoi il peut être bon d’intégrer ces principes mêmes si l’on n’est pas atteint directement par ces maladies.

J’ai apprécié la clarté du livre qui est très facile à comprendre même si l’on n’a pas de notions de médecine ou de nutrition. Je teste les recettes petit à petit et pour le moment je ne suis pas déçue.

Les clés de l'alimentation anti-cancer

Ce mois-ci, j’ai sorti mes livres de cuisine un peu plus souvent que d’habitude pour essayer de trouver de nouvelles inspirations. Je me suis notamment aidée du livre Assiettes Veggie” aux éditions Marabout.

Assiettes veggie

Ce livre est très graphique et donne envie de manger ! Il propose des recettes originales de plats végétariens, ce qui nous convient parfaitement puisque nous consommons peu de viande.

Les recettes sont faciles à faire et elle sont classées par catégories : énergétiques, légères, réconfortantes, protéinées, les sauces et bouchées énergétiques.

Assiettes veggie

Enfin, le dernier livre que j’ai compulsé régulièrement ce mois-ci est un livre très complet sur la cuisine orientale (de l’Inde au Japon en passant par la Chine ou les Philippines…) : World of the east, vegetarian cooking de Madhur Jaffrey.

Worl of the East, vegetarian cooking

Ce livre, qui ne semble pas avoir été traduit en français, est pourtant une mine d’information sur la cuisine d’Orient ! Il contient plus de 400 recettes de nombreuses origines différentes, et même si les recette ne sont pas illustrées, les gestes techniques sont souvent repris en images.

Worl of the East, vegetarian cooking

Nos bonnes habitudes

Eh oui, si je veux pouvoir manger équilibrer et me passer au maximum de la nourriture industrielle pleine d’additifs douteux, il va falloir prendre de bonnes habitudes ! La plus évidente et qui selon ce que j’ai pu voir sur les réseau sociaux est celle que les mamans préfèrent, c’est la préparation de goûters maison. Seulement voilà, à part mon gâteau au chocolat (excellent, pas trop sucré, mais plutôt gras (le beurre, c’est la vie, je suis Normande !)) mes enfants n’aiment pas les goûters que nous préparons ensemble. Je continue à tester de nouvelles recettes de temps en temps, et sinon, je leur achète des gâteaux secs sans additifs, et je privilégie les fruits.

Faire son pain

En revanche, il y a une habitude que j’ai reprise ce mois-ci : faire mon pain. En France, je faisais mon pain moi-même car j’avais une machine à pain. Ici, j’ai fait le choix de ne pas en racheter mais je me suis rendue compte que mes enfants aiment pétrir la pâte ! C’est toujours un plaisir pour eux lorsque je leur annonce que nous allons faire du pain, alors une fois ou deux par semaine nous nous mettons à l’œuvre et ils adorent ça !

Et l’organisation dans tout ça ?

Si une alimentation saine peut nous assurer plus d’énergie, pour l’harmonie et l’équilibre de notre famille, il ne faut pas que je passe mes journées en cuisine ! Alors pour cela, j’ai repensé notre organisation !

Sur mon frigo

Je faisais déjà mes menus hebdomadaires depuis un an environ. La tâche n’est jamais très agréable, mais j’avoue qu’en y consacrant une petite demi-heure un jour par semaine, j’y gagne un temps précieux les autres jours. Car si je ne fais pas mes menus, je ne fais pas les courses correctement, je passe du temps chaque jour à chercher ce que l’on va manger et encore plus de temps à faire les courses parce qu’il me manque toujours quelques choses ! Alors j’ai cherché un moyen pour que l’élaboration des menus soit moins une corvée. Et l’idée a considérablement réduit le casse-tête a été d’attribuer un type de plat par jour ! Si je sais que le dimanche nous mangeons un plat en sauce, je n’ai qu’à piocher dans ma liste de plats en sauce (liste que j’avais prévue de faire et que je n’ai pas encore faite…) et le tour est joué !

Ma semaine s’articule donc ainsi (oui, le dimanche est le premier jour de la semaine à Dubaï) :

  • Dimanche : plat en sauce
  • Lundi : gratin
  • Mardi : les enfants choisissent (et cuisinent !)
  • Mercredi : poisson
  • Jeudi : quiche
  • Vendredi : viande
  • Samedi : soupe / salade

Je fais donc maintenant ma liste de courses en même temps que mes menus, en fonction des légumes que je reçois et de ce qui me reste dans les placards et dans le frigo. Et pour éviter le gâchis, je note maintenant tous les restes qui se trouvent dans le frigo : si nous n’avons pas fini un plat, je le note sur la porte du frigo. Ainsi, je sais exactement ce que nous avons encore à manger avant de cuisiner un autre plat !

Les restes

Avec ces quelques astuces simples, j’ai vraiment réussi à gagner du temps et à limiter les pertes ! Je me suis aussi redonné l’envie de cuisiner et cela ne pourra être que bénéfique pour notre santé ! Défi réussi !

Mon plan d’action pour 2019

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Je sais, je sais, nous sommes déjà le 9 janvier et c’est seulement maintenant que je vous parle de mon plan d’action pour 2019 ! D’ailleurs… Au fait, bonne année ! Mais revenons à nos moutons : comme chaque année, le mois de décembre a été l’occasion de faire le bilan et de pointer ce que je voudrais changer dans ma vie. J’en ai déjà parlé, j’aimerais vraiment créer l’harmonie dans ma maison (je pense que je suis sur la bonne voie, mais il reste des détails à travailler). Alors j’ai défini les 3 mots qui allait me guider pendant l’année à venir (conseil pris dans la formation de ma copine Blog By Yourself) :

  • Harmonie
  • Énergie
  • Plaisir

J’ai déjà expliqué (ici) pourquoi je recherche l’harmonie. Le choix du mot “énergie” est simple : j’ai presque toujours l’impression d’être fatiguée… Quant au plaisir, il me semble que c’est si important de prendre du plaisir dans sa vie quotidienne !

J’ai donc mis en place un plan d’action pour l’année : un programme mois par mois pour réussir à prendre de bonnes habitudes et à rendre mon quotidien plus harmonieux, moins fatiguant et rempli de plaisir !

Janvier : Santé, alimentation. Rétablir une alimentation plus simple et plus saine.

 Février : Retrouver la forme ! Et tenter le défi “J’arrête de ramollir”

Mars : Mon énergie féminine

Avril : Défi Fly Lady

Mai : “Fais ce qu’il te plaît !”. Garder les bonnes habitudes et prendre du plaisir !

Juin : Plan de travail. Organiser la rentrée pour l’instruction des enfants, le blog, mes projets personnels.

Juillet : Désencombrement, zéro déchet et vie nomade.

Août : Relations. Profiter de la famille et des amis tout simplement !

Septembre : Temps. Gérer mon temps, m’organiser, prendre du temps…

Octobre : Numérique. Désencombrement numérique !

Novembre : Bilan de l’année et réajustements.

Décembre : Harmonie, joie et festivités !

 

Mon défi 2019

Si ce programme vous tente, même si tous les thèmes ne vous inspirent pas, n’hésitez pas à me mettre un petit mot ! Retrouvez-moi aussi sur ma page Facebook et sur mon compte Instagram où j’en parlerai régulièrement ! Et chaque mois, je ferai un bilan des habitudes que j’aurais prises et des astuces que j’aurais trouvées !

Nos indispensables pour un pique-nic zéro déchet

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Dans la famille A Dada ! cela fait déjà plusieurs années que nous essayons de consommer de manière raisonnée, tant pour notre santé que pour l’environnement. Cela passe naturellement par la réduction de nos déchets, et comme nous mangeons assez souvent dehors, nous nous sommes équipés pour que nos sorties se fassent en mode zéro déchet !

Nos accessoires pour un pique-nic zéro déchet

Nos boîtes à goûter biodégradables !

Nos boîtes à goûter sont sans doute l’élément le plus en accord avec le terme de “zéro déchet” puisque lorsque nous ne les utiliserons plus, nous pourrons les mettre au compost ! En effet, j’ai récemment acheté deux boîtes de la marque Beatrix New York, en fibre de riz. Je les ai choisies justement pour leur matériaux : nous ne mangeons jamais dans du plastique, ce qui élimine de nos possibilités la plupart des boîtes à goûter du marché.

Ces boîtes sont solides, d’une taille tout à fait raisonnable pour le repas ou le goûter d’un jeune enfant et elles ne fuient pas. Elles sont munies d’un petit séparateur pour les aliments et d’un élastique pour garantir leur fermeture. Je les trouve un peu difficile à ouvrir par de petits enfants, mais à l’usage ça n’est pas un gros problème puisque mes enfants ont toujours la possibilité de demander à un adulte de les aider.

Nos boîtes à goûter Beatrix en fibre de riz

Nos boîtes à goûter Beatrix en fibre de riz

Nos gourdes en inox

L’indispensable de nos sorties, c’est incontestablement la gourde en inox ! Il fait très chaud à Dubaï (20 degrés l’hiver, jusqu’à 50 en été !) alors nous avons toujours de l’eau avec nous. Là encore je ne suis pas favorable à l’utilisation du plastique alors j’ai acheté des gourdes en inox. Malheureusement, les gourdes que j’ai achetées l’année dernière ne se révèlent pas d’une très grande qualité et elles commencent à fuire. Je me suis donc remise en quête d’une marque de gourde en inox (disponible à Dubaï)…

Gourde en inox

Nos gourdes de compotes réutilisables

Voilà où mon principe de “pas de plastique” atteint ses limites ! Mais il faut bien avouer que les gourdes de compotes sont super pratiques ! En revanche je ne suis pas vraiment fan des déchets que cela génère (puisque la plupart des centres de recyclage ne recycle pas ces gourdes de compote). Alors les gourdes réutilisables Squiz sont LA solution. Elles sont en plastique, certes, mais elles sont réutilisables en moyenne une cinquantaine de fois (ce nombre varie en fonction de la manière dont on va entretenir la gourde) et sont fabriqués avec des matériaux non toxiques. On peut y mettre compote, soupe, purée, smoothies… ce qui permet de varier les plaisirs !

Nos squiz gourdes

Des couverts de voyages

Il faut être honnête, nous mangeons plus souvent au restaurant que nous ne faisons de pique-nic. Il faut dire qu’à Dubaï, manger au restaurant n’est pas toujours plus cher que de préparer son repas soi-même. L’offre est très étendue. On trouve bien-sûr les géants du fast-food, mais aussi des enseignes qui proposent des repas bien plus équilibrés pour un prix correct. Mais entre les barquettes jetables et les couverts en plastique utilisés dans toutes ces enseignes, on se rend vite compte que le prix à payer est celui des déchets générés.

C’est pour cela que nous avons acheté des petits couverts de voyage et que nous refusons les couverts jetables qu’on nous propose. Chaque enfant a sa petite boîte avec une cuillère, une fourchette et une paire de baquettes (auxquels nous avons ajouté un couteau). Et nous utilisons ces petits couverts également lorsque nous allons dans des restaurants plus classiques, qui malheureusement ne proposent que rarement des couverts adaptés aux mains des petits !

Nos couverts de voyage

Nos sacs à sandwichs faits maison !

Il me restait encore un point (et pas des moindres !) à améliorer au niveau de notre production de déchets : l’utilisation du papier aluminium pour emballer nos sandwichs ! Je n’utilise du papier alu que pour cela (je ne cuisine pas avec et ne m’en sers pas pour protéger les aliments dans le frigo). Mais je n’avais rien pour le remplacer lors de nos sorties. Alors motivée par le Go Green Challenge de mon amie Maman Boucle d’Or et son Petit Ours, je me suis décidée à coudre des sacs à sandwichs.

J’ai encore pas mal de tissu imperméable que j’avais acheté pour fabriquer les couches lavables de mes enfants (et ici) alors j’ai décidé de m’en servir pour fabriquer de petits sacs pour transporter nos sandwichs. Nos petits sacs rectangulaires fermés par un scratch peuvent maintenant accueillir nos sandwichs, mais aussi des petits gâteaux, des chips, des morceaux de fruits… tout ce qu’on voudra bien y mettre. Pour le moment j’en ai cousu 2 petits (surtout destinés aux enfants), mais comme il me reste du tissu, je vais en coudre de plus grands pour toute la famille !

Nos sacs à sandwichs

 

Et maintenant on fait quoi ?

Le prochain point pour réduire nos déchets sera d’éliminer les pailles en plastique. Nous n’en utilisons absolument pas à la maison, mais on nous en distribue lorsqu’on mange à l’extérieur. Nous avons acheté des pailles en inox rétractables (et donc super pratiques à emporter partout) lors d’une campagne participative mais elles nous ne les recevrons que dans quelques mois… En attendant, je pense que je vais aller nous en acheter en bambou.

Il faudrait aussi que je pense à prendre systématiquement une petite serviette en tissu pour pouvoir refuser celle en papier qu’on nous distribue.

Et vous, où en êtes vous dans la réduction de vos déchets ? Quelles sont vos astuces pour produire moins de déchets quand vous manger à l’extérieur ? J’adore vous lire et échanger avec vous, venez me donner vos idées en commentaires !

Et si cet article vous a plu, n’oubliez pas de le partager !

Mon organisation à la maison – les tâches ménagères

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Je suis femme au foyer, ce qui dans l’esprit de nombreuses personnes signifie que j’ai énormément de temps pour moi puisque tenir une maison propre ne prend pas toute la journée. C’est vrai… Mais comme la plupart (toutes ?) des femmes au foyer, je dois organiser les activités de chacun, veiller à ce que chacun soit à l’heure et ait tout ce dont il a besoin. En gros je jongle entre le travail de mon mari, les besoins de mes enfants et les tâches ménagères. Et depuis un peu plus d’un an maintenant, mes enfants sont instruits à la maison (donc principalement par moi) ce qui a réduit à néant considérablement réduit le temps que j’ai pour moi. Mais cette année, j’ai pris les devants et j’ai trouvé l’organisation qu’il me faut pour retrouver du temps pour moi ! (La preuve : j’arrive à écrire sur mon blog, cela tient presque du miracle !)

 

Mon classeur d'organisation des tâches ménagères

Mon inspiration pour l’organisation de la maison

Celles qui sont familières avec la méthode “Fly Lady” reconnaîtrons de nombreux aspects de cette méthode dans mon organisation. Je ne suis pour autant pas la méthode à la lettre (oui, je sais pour certaines cela sera pris comme crime de lèse-majesté…). Elle est trop rigide, il y a trop de points à respecter quotidiennement, et elle ne correspond pas à mon mode de vie tout simplement. Mais j’ai gardé ce qui m’y plaisait.

Pour ceux qui me suivent depuis un moment, vous savez déjà que j’ai utilisé la méthode de Mari Kondo pour trier nos affaires avant notre emménagement à Dubaï. C’est donc tout naturellement selon cette méthode que j’ai organisé le rangement de la maison : ne garder que les choses qui nous sont vraiment utiles ou qui nous font plaisir, et trouver une place pour chaque chose, cela permet un rangement plus efficace !

Mon organisation

J’ai commencé par m’acheter un classeur qui me plaisait. C’est tout bête, mais s’il me plaît, j’aurai envie de l’utiliser ! C’est d’ailleurs le principe fondateur de la méthode KonMari : ne garder que des objets qui “nous mettent en joie”.

Je vais reprendre quelques principes de la méthode Fly lady comme y ajouter des photos ou dessins que j’aime et des phrases motivantes en page de garde.

Et pour l’organisation à proprement parler, j’ai ajouté 2 fiches plastifiées : une pour les tâches quotidiennes, l’autre pour les tâches hebdomadaires. J’y ai noté tout ce qui doit être fait et j’ai laissé des espaces à remplir pour les tâches ponctuelles. Au fur et à mesure que j’accomplis ces tâches, je coche mes petites cases au feutre Veleda.

Mon classeur d'organisation des tâches ménagères

Mon classeur d'organisation des tâches ménagères

 

Pour garder ma motivation, j’évite d’ouvrir mon classeur dès le petit-déjeuner (je préfère profiter à ce moment-là, la journée a bien le temps de commencer !). De même, je ne fais jamais débuter la liste hebdomadaire le lundi matin (ou en l’occurrence le dimanche matin pour nous puisqu’à Dubaï le premier jour travaillé est le dimanche), et je préfère la faire débuter le vendredi (premier jour du week-end ici, vous me suivez toujours ?). Comme je profite souvent du week-end pour effectuer un maximum de tâches (faire les menus, changer les draps et serviettes et faire les machines qui vont avec…) ainsi j’arrive à cocher rapidement un bon nombre de cases sur ma liste et c’est plutôt motivant !

 

Mon bureau et mes classeurs d'organisation

 

Et comme il faut une place pour chaque chose, le classeur est posé bien en évidence et tout le monde peut le consulter ! Il sert tant à la motivation qu’au partage des tâches ! Avec une vue plus claire de ce qu’il reste à faire, mon mari peut m’aider plus facilement et prendre le relais sur des tâches que je fais habituellement. Ces petites listes me permettent aussi de visualiser ce qui a réellement fait et de ne pas me laisser croire que je suis débordée (on en a souvent fait bien plus qu’on ne le pense). Et petit à petit, grâce à cette nouvelle organisation, j’arrive à me dégager du temps.

 

Et vous, quelle l’organisation à la maison ? Si vous avez des astuces, partagez-les en commentaires ça pourrait me donner des idées !

Guide de survie pour voyager en voiture avec de jeunes enfants

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Ah ! Les vacances sont là ! Vous rêvez de calme, de détente et d’évasion, et d’ailleurs vous avez peut-être prévu de partir. Vous rêvez déjà au repos dont vous allez profiter, aux beaux paysages, aux gens que vous allez rencontrer. Mais un point noircit le tableau : pour vous rendre sur votre lieu de vacances, il va falloir faire de la route mais longs trajets en voiture et enfants en bas-âge font rarement bon ménage… Alors comme je suis une habituée de ces longs trajets, je vous livre quelques-unes de mes astuces pour survivre en voiture avec mes deux petits pendant toute une journée (voir plus !).

Occuper ses enfants en voiture :

Pour qu’un voyage se passe dans le calme, il est vital d’avoir des activités à proposer à ses enfants. Bien évidemment vos enfants vous réclameront de la peinture, de la pâte à modeler ou une partie de cache-cache, l’impossibilité de s’occuper de la sorte rendant ces activités bien plus attrayante que d’habitude. Il faut donc rivaliser d’ingéniosité et d’originalité pour capter l’attention de nos petits. Pour cela la première règle est celle du panier rempli de jouets. J’ai opté pour un grand panier souple qui se glisse parfaitement entre les deux sièges autos de mes enfants afin qu’ils aient les jouets à portée de main. Alors évidemment, les jouets se retrouvent petit à petit aux pieds des enfants (là, le passager peut encore les rattraper) ou coincés entre le siège et la portière. Peu importe, je vous rappelle qu’il faut faire une pause toute les 2h : c’est l’occasion de se dégourdir les jambes et de remettre un peu d’ordre dans la voiture ! Et si le panier est suffisamment rempli, je vous assure qu’il occupera les enfants pendant plus de 2h. (Je ne réponds de rien quant aux enfants qui sont dans leur période “vider-remplir” ou “je jette tout”, pendant ces périodes là… restez chez vous…?)

Voici donc le contenu de mon panier aux merveilles lors de notre dernier voyage :

jouet-emporter-voiture

  • Des petits livres de bébé en carton ou en tissus : ces livres datent un peu, mais comme les enfants ne les utilisent plus à la maison, ils sont parfois contents de les reprendre dans la voiture. C’est un peu comme redevenir bébés que de lire ces livres, et avouons-le les enfants adorent régresser de temps à autres !
  • Un “quiet book” ou “livre d’activités en feutrine”, je vous montrais la réalisation de celui de ma fille ici.
  • Notre livre pour apprendre à tracer les lettres. En voiture, Colombe l’utilise sans craie (qui ferait trop de poussière), comme un livre de lettres rugueuses.
  • Un caléïdoscope
  • Des ardoises magnétiques : il en faut une par enfant car ce jouet a beaucoup de succès en général et si l’un des enfants la trouve, l’autre en aura envie aussi. Et en avoir plusieurs permet aussi d’organiser des petits jeux comme des concours de dessins.
  • Des petites figurines comme des Pet Shop ou My little Poney, et des petites voitures. Tout finira vite par terre, mais ça occupe tout de même !
  • Un labyrinthe aimanté : nous avons ce labyrinthe de la marque Haba depuis plusieurs mois et il plaît beaucoup aux enfants (et aux parents aussi).
  • Notre boîte pour apprendre à boutonner et différents jeux de manipulation (ici le morceau de fromage et sa souris pour apprendre à passer un fil dans un trou)
  • Notre jeu du cherche et trouve en bouteille et notre cherche et trouve les lettres.
  • Des bouteilles sensorielles et autres hochets en bouchons. Ce sont des jouets de bébé, mais comme je l’ai dit, une petite régression fait toujours plaisir !
  • Un de nos lecteurs de musique.
  • On peut ajouter quelques livres de coloriage ou des catalogues de jouets qui passionnent toujours les enfants !

Et voici les livres que nous emportons pour nos longs trajets en voiture :

Bien évidemment, pour occuper ses enfants en voiture, il n’y a pas que les jouets. Les livres permettent aussi un moment de calme, à condition de bien les choisir. Si vos petits ne savent pas lire, évitez à tout prix les histoires que vos enfants ne connaissent pas. Vous seriez obligés de leur lire (ce qui en soit n’est pas un problème) mais si vous êtes placé à l’avant de la voiture, ça n’est pas facile ensuite de montrer les images aux enfants. Voici donc un aperçu de livres utiles en voiture :

  • Le premier de notre liste de livre à emporter en voiture est bien évidemment : Comment s’amuser en voiture quand on aime bien voyager en voiture mais que c’est un peu long… de voyager en voiture… (oui, oui, tout ça c’est le titre !)
  • Ensuite vient le livre Mes premières activités pour être calme et concentré. La plupart des activités peuvent être faite sans matériel et sans forcément bouger. Il y a beaucoup de jeux de tracés à suivre avec le doigt ou de jeu de méditation qui peuvent être pratiqués attaché dans son siège auto.
  • Un livre à toucher et à regarder. Cette fois nous avions pris : Mon grand imagier à toucher. Certes, Colombe (4 ans) et Petit O’ (2 ans) sont un peu grand maintenant pour ce genre de livres, mais comme je l’ai dit plus tôt, une petite régression de temps à autres fait toujours plaisir ! Et quand on ne sait pas lire et qu’on a personne pour nous faire la lecture, les livres à manipuler sont bien plus intéressant que les autres.
  • Nous avons également pris notre livre Mes années pourquoi : Paris puisque nous allions y faire une halte, et notre atlas du monde. Ces livres sont remplis d’images et de petits détails. J’ai l’habitude de les feuilleter avec les enfants, alors ils reconnaissent quelques éléments par-ci par-là. Pour le reste, ils font leurs découvertes et passent de longs moments d’observation.
  • Nous prenons également des livres d’histoires que les enfants connaissent bien. Cette fois nous avons pris Violette Mirgue, Le ballet des couleurs à Paris, mais nous aurions pu prendre aussi Violette Mirgue, Une semaine pour sauver Noël, ou bien La Chenille qui fait des trous. Comme les enfants connaissent ces histoires presque par chœur, ils n’ont pas besoin d’un adulte pour leur faire la lecture et peuvent se raconter l’histoire simplement en regardant les images.
  • En voiture, je privilégie également les livres audios car les enfants peuvent garder le livre en main et suivre l’histoire pendant qu’on fait jouer le CD dans la voiture. La dernière fois nous avions pris Zoë et le goéland, mais nous avons aussi l’histoire de Tétère la grenouille.
  • Pour chaque grand départ, je prends des livres qui correspondent aux intérêts des enfants. Petit O’ adore les animaux et passe des heures à les observer dans les livres, c’est pour cela que j’ai mis quelques livres sur le sujet.
  • Nous aurions pu prendre aussi nos petits imagiers de langue des signes ici, et ici, car même si nous ne signons plus à la maison (Petit O’ parle bien maintenant) les enfants peuvent s’amuser à reproduire les signes et se rafraîchir un peu la mémoire !
  • Nous aurions pu prendre également des petits livres d’observation comme  cherche et trouve les Monsieurs-Madame, les animaux car ces livres occupent toujours bien les petits !

En complément nous prenons également beaucoup de musique avec nous. Des albums de comptines, des chansons de dessin animé. La voiture se transforme souvent en karaoké, et l’ambiance est plutôt bonne ! Et quand on pense que la durée moyenne d’un album de musique est de 3/4 d’heure on se dit qu’on a déjà gagné pas mal de temps !

La place des jouets et des livres dans la voiture :

Panier de jouet placé entre les sièges des enfants

Comme je l’ai expliqué, je place les jouets dans un panier souple qui se glisse entre les 2 sièges. Mais il existe également les organiseurs de voiture que l’on fixe au dos du siège passager et du siège conducteur et dans lequel l’enfant peut ranger ses affaires. Ces organiseurs me semblent très bien pour les enfants un peu grands, mais les petits attachés fermement dans leur sièges-auto ne peuvent certainement pas les atteindre. C’est pour cela que j’ai choisi le panier.

Si je ne suis pas gênée à l’idée que les jouets se retrouvent éparpillés dans la voiture, je préfère garder un contrôle sur les livres, de peur qu’ils ne s’abîment. Je les range donc dans un grand sac que je garde à ma porter. Je distribue les livres au fur et à mesure et bien-sûr, une fois qu’un livre a été lu, je le récupère pour le ranger.

Manger : le joker pour occuper ses enfants en voiture

Les enfants ont lu tous les livres, les jouets sont éparpillés dans la voiture, tous les albums de musique ont été écoutés, et vos enfants commencent à s’agiter. Il serait bon de s’arrêter mais d’une vous aimeriez bien vous rapprocher de votre destination parce qu’une pause tous les 50 km ça fait beaucoup, et de deux, vous sentez bien que si les enfants descendent de voiture, ils ne voudront jamais remonter !

Dans ces moment-là j’organise généralement un petit pique-nique dans la voiture. Pour tous les grands départs, j’installe une glacière derrière le siège du conducteur, ainsi, le passager (le parent qui ne conduit pas… donc en fait c’est moi.) y a accès et peut distribuer boissons et nourritures à tous. Lorsque les enfants s’agitent un peu trop, je leur propose souvent de prendre un petit en cas. Mais alors je choisi toujours des aliments qui vont être manger lentement (car le but est bien de gagner du temps !) : du raisin que je distribue grain par grain, des petits gâteaux dont on ne fait qu’une bouchée (car les gâteaux dans lesquels on croque font des miettes) distribués à l’unité là encore. Et pour les boissons, nous nous limitons généralement à de l’eau (ça serait contre-productif de gaver les enfants de sucre alors qu’on veut qu’ils se tiennent tranquilles) que je verse dans leurs verres qui ne se renversent pas.

 

Avec tout ça, les enfants sont occupés pendant un petit moment ! En faisant des pauses régulières durant lesquelles nous permettons aux enfants de courir, et en rassemblant les activités régulièrement, nous parvenons à maintenir un environnement serein. Comme beaucoup de parents, nous programmons notre départ en fonction du rythme des enfants. Nous privilégions le début d’après-midi ou le milieu de la nuit pour que les enfants dorment dans la voiture autant que possible. Car malgré toutes les astuces du monde, avouons-le, me meilleur moyen d’avoir un enfant calme en voiture, c’est d’avoir un enfant qui dort !

 

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Trouver un déguisement pour aller à Disneyland

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Pour nos enfants, un séjour à Disneyland est un moment magique (et pour nous aussi d’ailleurs !). Mais pour que la magie soit totale, quoi de mieux pour notre petit que d’être vêtu comme l’un de ses personnages préférés ? Certains seront fous de joie de se promener vêtus en Jedi, d’autres préféreront être des princesses, tandis que les plus jeunes aimeront se mettre dans la peau de leurs copains Winnie ou Némo ! Et le gros point positif d’avoir un enfant déguisé, c’est qu’il peut passer sans faire la queue à l’attraction correspondant au personnage qu’il représente, comme nous l’explique Ma vie de maman louve.  Je vous propose donc de faire un petit tour de l’offre de déguisements des héros Disney, avec une petite sélection pour tous les budgets et quelques astuces pour être au top le jour J !

Où acheter un déguisement Disney ?

  • Si vous êtes couturière, l’idéal est bien évidemment de faire les déguisements vous-mêmes. Les déguisements auront une petite touche personnelle et vous aurez la satisfaction de voir votre enfant porter un habit que vous avez créé ! Quelques idées de patrons (gratuits) ici, ici, ici, ici.Déguisements pour aller à Disneyland : princesse et Winnie l'Ourson
  • La première boutique à laquelle on pense est bien évidemment le Disney Store qui vend ses déguisements en boutique et en ligne. L’avantage c’est qu’on y trouve un très large choix de costumes ressemblants dans les moindres détails aux costumes de héros préférés de nos enfants. Il y en a pour tous les goûts, et on peut même s’offrir des accessoires pour pousser la ressemblance au maximum. L’inconvénient c’est bien-sûr le prix : 50 € en moyenne pour une robe de princesse ça n’est pas donné, et pour peu qu’on ait plusieurs enfants, la facture devient vite très salée ! Mais la qualité est généralement au rendez-vous !
  • Si vous adorez vraiment ces robes Disney mais que votre budget ne vous permet pas de les acheter, vous pouvez en trouver sur les sites de vente d’occasions (le bon coin par exemple). Demandez également à vos proches s’ils n’en ont pas chez eux. C’est la solution pour laquelle j’ai opté pour le déguisement de ma fille : ma nièce a eu une longue période “princesses” et avait plusieurs robes qu’elle a données à Colombe lorsqu’elles ont été trop petites.
  • Certaines enseignes de vêtement ont les licences Disney, ce qui leur permet de vendre des déguisements qui ne sont pas identiques aux vêtements des personnages mais qui y ressemble vraiment beaucoup et qui plairont aux enfants. C’est le cas de Kiabi qui fait des déguisements pour les enfants, mais aussi pour les bébés. C’est là que j’ai acheté les tenues de Petit O’ : un costume de Tigrou et un surpyjama Winnie l’Ourson. Question prix, chaque déguisement m’a coûté un peu moins de 20 €, et le rendu des vêtements était vraiment très sympa !
  • Enfin, pour avoir un déguisement unique on peut le créer soit-même. Mais si vous n’avez pas le temps (ou pas le niveau en couture) il y a de nombreux créateurs français qui vendent de très jolis déguisements sur les sites de ventes comme A little Market. Le budget à prévoir est souvent important, mais pas toujours : certaines créatrices vendent des robes sublimes pour moins de 50 € ce qui est vraiment raisonnable pour un vêtement fait-main en France et personnalisable ! Pour exemple, la boutique Impression de Liberty fabrique des robes de princesse sur commande à partir de 40 €. Idéal pour une robe personnalisée aux couleurs préférées de la petite fille !

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De quels accessoires a-t-on besoin ?

Une cape ou un poncho

Disneyland est situé à Paris, et soyons honnête il n’y fait pas chaud toute l’année ! Dès l’automne et parfois jusque tard dans le printemps, il faut se couvrir pour ne pas attraper froid. Mais c’est tellement dommage de cacher un beau déguisement avec son manteau de tous les jours… Il faut donc penser à prendre une cape : elle tient chaud, mais laisse apercevoir les vêtements ! Et pour trouver la cape idéale, là encore il y a plusieurs solutions !

  • Fabriquer sa cape soi-même. C’est l’option que nous avons choisie. Ma maman a gentiment pris sur son temps pour fabriquer une magnifique cape de princesse pour Colombe (avec une vieille jupe et un vieille anorak !) et un cape façon “pot de miel” pour Petit O’ (toujours avec un vieil anorak, et quelques mouchoirs cette fois). Au final ces capes ne nous ont rien coûté (sauf du temps) puisqu’elles ont été faites en recyclant de vieux vêtements que nous ne portions plus !cape-robe-princesse
    cape-princesse-dos
    Cape pot de miel
  • Acheter une cape sur Disney Store, car grâce à la Reine des Neiges, Disney vend enfin des capes pour couvrir les petites filles (impossible de trouver le lien sur la boutique en ligne, mais les boutiques du parc étaient pleines de capes chaudes Reine des Neiges). Mais voilà, premièrement, comme tous les produits Disney, ces capes représentent un certain budget. Ensuite, à part le modèle Reine des Neiges, je n’en ai pas vu d’autres… Donc toutes les petites filles devraient s’habiller en Anna ou Elsa, quant aux petits garçons… ils ont été un peu oubliés…
  • Faire fabriquer sa cape par une petite créatrice qui pourra vous la personnaliser. Je vous ai déjà parlé des ponchos Lilycorne qui nous avait fait notre poncho de bain. Cette créatrice fabrique également de jolis ponchos en polaire ou en toile enduite (idéal quand il pleut !) que vous pourrez assortir au déguisement de l’enfant. L’avantage c’est que vous pouvez choisir un modèle suffisamment discret pour que votre enfant puisse le porter au quotidien ensuite ! Ses ponchos polaires sont disponibles à partir de 60 €, prix raisonnable pour un vêtement qui suivra votre enfant plusieurs années ! N’hésitez pas à aller faire un tour sur son site et sur sa boutique sur A little Market et à la contacter car elle est très à l’écoute des besoins et envies de ses clients !Poncho flocon Lilycorne
    Poncho dragon Lilycorne

Des pulls et des sous-pulls

Malgré la cape, il se peut que votre petit ne soit pas assez couvert ! La solution est simple : il lui faut un pull, un sous-pull et un collant ! Vous trouverez des sous-pulls et des collants aux couleurs assorties au déguisement dans de nombreuses boutiques pour enfants (Kiabi, Zgeneration, Uniqlo…). Pour les pulls, je vous conseille les pulls polaire de chez Décathlon : ils existent dans toutes les tailles, dans un large choix de couleurs, et ils ne sont vraiment pas chers !

Les accessoires indispensables au déguisement

Maintenant que vous avez le déguisement pour aller à Disneyland, que vous avez de quoi avoir chaud S’il y a quelques indispensables dans la tenue d’une princesse, de Peter Pan ou d’un jedi (oui, oui, Star Wars est bel et bien devenu une licence Disney !), il faut tout de même s’assurer que ces accessoires ne seront pas trop encombrants sur place. Il faudra donc convaincre les jedis de laisser leur sabre laser à la maison (quitte à en acheter un sur place à la fin de la visite, puisque sur le modèle du bar à Patate, il existe un bar à sabres lasers pour personnaliser son arme !), et Robin des Bois ne pourra pas s’encombrer de son arc et de ses flèches. À la place, je vous conseille les couronnes et les chapeaux qui termineront d’habiller vos petits héros, mais attention, il faut qu’ils tiennent dans votre sac car il est fort probable qu’après 3 min 27 votre petit vous dise qu’il en a marre ! La règle d’or en arrivant à Disneyland Paris, c’est de ne pas trop s’encombrer alors limiter les petits accessoires au maximum ! Et d’ailleurs, si vous passez par les boutiques, votre petit n’aura sûrement plus d’yeux pour le chapeau avec lequel il est venu et il vous suppliera de lui acheter une ceinture de super héro ou la parure de bijoux de Belle !

Mes enfants, Colombe et Olivier étaient plus qu’impressionnés de porter toute la journée les tenues de leurs héros préférés ! Ils se sont promenés fièrement dans le parc, et à chaque fois qu’une personne leur faisait remarquer qu’ils avaient de beaux déguisements, je voyais des petites étoiles briller dans leurs yeux ! Ces déguisements ont été un vrai plus dans notre visite, et je suis heureuse d’avoir pris le temps d’arranger ce qui paraît être un détail, mais qui a rendu ce séjour inoubliable pour mes petits !
J’espère que ces conseils vous seront utiles ! Si c’est le cas, ou si vous avez d’autres astuces, n’hésitez pas à les partager en commentaire ! Et bon séjour chez Mickey !

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DIY : le planning Chenille qui fait des trous

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Voilà un mois que Colombe a commencé l’école, et le rythme qui change quasiment chaque jour n’est pas facile à comprendre pour une si petite fille. Je lui ai donc fabriqué un planning reprenant toutes ses activités de la semaine afin qu’elle parvienne à mieux se la représenter. Si vous nous avez suivi cet été, vous savez qu’entre les chenilles et nous, c’est une longue histoire, mais que même si elle nous grignotent nos plantations, au fond nous les aimons bien ! Alors tout naturellement, nous avons choisi de réaliser un planning La chenille qui fait des trous, inspiré du célèbre livre d’Eric Carle.

Planning de la semaine inspiré de La chenille qui fait des trous

Matériel nécessaire :

  • Une feuille A3
  • Plusieurs feuilles A4
  • Une plastifieuse
  • Une paire de ciseaux
  • De la super glue
  • Des bandes velcros

Réalisation :

J’ai quadrillé la feuille A3 afin d’y faire 7 colonnes et 6 lignes. Sur la première ligne, j’ai écrit le nom des jours et j’ai dessiné les fruits que la chenille mange chaque jour dans le livre (le lundi : une pomme, le mardi : 2 poires…). Sur la deuxième ligne j’ai collé une frise que Colombe a faite avec ses empreintes de doigts et qui rappelle les motifs du livre. J’ai ensuite plastifié la feuille A3 et sur les 3ème, 4ème, 5ème et 6ème ligne j’ai collé des bandes velcros. Ces lignes représentent le matin, le midi, l’après-midi et le soir.

Sur des feuilles A4 j’ai dessiné les activités correspondant à la journée de Colombe : Une maison, son cartable (pour symboliser l’école), des couverts et une assiette, et une clé de sol (pour le cours de musique). Les enfants ont aussi fait des petites chenilles avec les empreintes de leurs doigts de pieds. J’ai découpé tous les dessins, les ai plastifiés et j’ai collé un morceau de velcros au dos des symboles activité, et un aimant puissant au dos des chenilles !

Le planning Chenille qui fait des trous terminé, je l’ai accroché sur le frigo à l’aide d’aimants en forme de feuilles que j’avais faits en pâte fimo il y a des années, et j’ai ajouté quelques aimants papillons acheté il y a longtemps !

Petite main fait des empreintes de doigts

Chenille qui fait des trous en empreinte de pied

L’utilisation de notre planning “chenille qui fait des trous”

Si la rentrée des classes s’est plutôt bien passée et que Colombe aime aller à l’école, elle a eu du mal à comprendre l’organisation au départ. Chaque midi après manger, elle ne comprenait pas pourquoi elle devait retourner à l’école puisqu’elle y était déjà allée dans la matinée ! C’est pourquoi j’ai inclus une ligne “midi” sur son planning. Cela lui permet de visualiser cette coupure et de comprendre quel jour elle devra retourner à l’école après manger. Si j’ai fabriqué la chenille correspondant à Petit O’ c’est pour que Colombe visualise les jours où il est à la crèche et ceux où il reste à la maison (il me reste encore à fabriquer les symboles correspondant à la crèche).

Colombe adore son nouveau planning. Elle déplace la petite chenille chaque soir, ce qui nous donne l’occasion de parler de l’organisation de la journée du lendemain. Et parfois dans la journée, nous déplaçons la chenille vers le bas de la colonne par exemple pour rappeler que nous sommes à l’heure du déjeuner et qu’ensuite nous repartirons pour l’école !

Planning Chenille qui fait des trous

Planning Chenille qui fait des trous

Alors, notre planning vous plaît ? Et sinon comment vous trouvez mon frigo ?

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Mon astuce toute simple pour aider ma fille à mettre ses chaussures à l’endroit

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Du haut de ses 3 ans 1/2, Colombe est une petite fille plutôt autonome. Elle est notamment capable de s’habiller ou de mettre ses chaussures toute seule, et je pense que son atsem comme sa maîtresse apprécie. On imagine bien à quel point ces deux dernières doivent être occupées avec plus de 20 élèves à gérer, parfois des enfants bien plus jeunes que ma Colombe. Entre les pleurs pour voir leur maman et les petits accidents, les actions comme mettre des chaussures doivent être du travail à la chaîne. Alors je me doute que lorsqu’un enfant est capable de se débrouiller seul, les adultes lui consacre moins de temps.

Mais voilà, si Colombe sait s’habiller, il lui arrive parfois de mettre un vêtement à l’envers ou de se tromper de pied en mettant ses chaussures. Et justement, en la récupérant un soir cette semaine, Colombe s’est plaint d’avoir mal aux pieds, et pour cause ! Ses chaussures était à l’envers. J’ai vite fait mon petit calcul : elle a remis ses chaussures après la sieste, soit une heure avant que je ne vienne la chercher. Elle a donc passé une heure entière ainsi !

Loin de moi l’idée d’aller me plaindre, ce sont des choses qui arrivent et je comprends que la maîtresse et l’atsem sont déjà bien occupées. Alors j’ai appliqué une petite astuce (merci Pinterest !) pour aider ma Colombe à mettre ses chaussures à l’endroit. Avec un marqueur indélébile, j’ai fait un dessin simple (ici un poisson, sur une autre paire de chaussures j’ai fait une fleur) dont chaque moitié se trouve sur une chaussure. Colombe n’a plus qu’à reconstituer le “puzzle” quand elle s’habille et elle aura toujours ses chaussures à l’endroit !

tracer un dessin à l'intérieur des chaussures pour ne pas se tromper de pied

Cette astuce toute simple permet d’encourager ma Colombe vers plus d’autonomie encore !

Allez voir aussi mon astuce pour des lacets qui ne se défont pas !

Le choix du cartable de maternelle

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La rentrée des classes approche ! Il y a d’un côté les mamans qui s’en réjouissent et qui se disent qu’elles vont enfin pouvoir souffler un peu, et de l’autre il y a les nostalgiques qui aimeraient profiter encore des longues journées passées avec leurs enfants ! Qu’importe de quel côté on se place, il y a un impératif auquel on ne peut pas couper : l’achat des fournitures scolaires ! En maternelle, il n’y a pas grand chose à prévoir mais il faut tout de même penser à l’indispensable cartable ! Alors voilà comment j’ai effectué ma sélection !

Petite fille portant son cartable devant un tableau

Mes critères de sélection

Un cartable de qualité

Je n’ai pas l’intention d’acheter un cartable tous les ans, alors je voulais en choisir un de qualité. Mais j’ai été confrontée à un obstacle : tous les cartables de maternelle que je trouvais étaient soient des sacs très peu cher mais de qualité douteuse (et je ne parle même pas des conditions de production…), soient des sacs très résistants mais aussi trop gros et très chers ! Un cartable de maternelle n’a pas besoin d’être très gros puisque son porteur est tout petit, et il n’a pas besoin de renforts puisqu’il ne contiendra au plus qu’un change, un doudou et éventuellement une tétine.

Un prix raisonnable

J’ai tout de même trouvé quelques cartables qui correspondaient à mon premier critère dans des boutiques spécialisées, mais ils étaient à des prix vraiment trop élevés. Même si je ne veux acheter qu’un seul cartable pour la maternelle et que par conséquent il sera utilisé pendant 3 ans, je trouve que 80€ est un prix trop élevé (oui, j’ai sérieusement vu des cartables de maternelle à ce prix). J’avais décidé de mettre entre 30 et 50€ (grand maximum, en cas de très gros coup de cœur) mais je n’ai rien trouvé dans cette fourchette de prix. Ou plutôt, si , il y avait un cartable qui correspondait à tous mes critères, mais ni ma fille ni moi ne le trouvions particulièrement joli.

Un cartable neutre

Je vous l’ai dit, j’ai acheté le cartable de ma fille pour qu’elle le garde toute la maternelle. J’ai donc voulu un cartable sans licence. Ma fille a des sacs Reine des Neiges, Hello Kitty et autres, mais je réserve leur usage aux loisirs. Les modes passent, ma fille se lassera un jour de tout ça (oui, oui ! Même de la Reine des Neiges !) alors je voulais son cartable le plus neutre possible pour qu’elle ne puisse pas me dire un jour : “C’est nul, c’est pour les bébés ça !”.

Pas de prénom inscrit dessus

Je vois beaucoup d’enfants avec un cartable sur lequel est inscrit leur prénom. Sur le principe je trouve cela adorable et c’est une belle manière de personnaliser ses affaires. Mais dans les faits je ne peux m’empêcher de penser qu’une personne malveillante peut appeler l’enfant et gagner sa confiance juste parce qu’elle aura vu son prénom sur son sac. On peut toujours répéter à nos enfants de ne pas parler à un inconnu, mais dans leur tête une personne qui connaît leur prénom n’est peut-être pas un inconnu. Quant à surveiller nos enfants, c’est vrai. Mais ce genre de drames peuvent se produire en une seconde : il suffit que le bébé pleure, que le petit frère tombe. On détourne son attention quelques secondes et son enfant a disparu ! Alors je ne tente pas le diable. (ceci n’est qu’une opinion personnelle et je respecte totalement ceux qui choisissent un sac avec le prénom de leur enfant. Je voulais juste exposer mon point de vue)

Et ce cartable alors ?

Cartable de maternelle : Kickers

C’est en discutant avec mon amie Queen Mama qu’elle m’a conseillée de faire un tour sur le site Edisac qui propose des sacs de grandes marques et de qualité à des prix raisonnables. Et c’est là que j’ai trouvé mon bonheur ! Un joli petit cartable rose et violet de la marque Kickers à 30 €. Je n’ai jamais été déçue par la qualité des chaussures et des sacs de la marque Kickers, alors j’étais en confiance de ce point de vue. Encore une fois, cette marque tient ses promesses puisque le cartable semble résistant. Il est fait proprement et pas une couture ne dépasse. Il se ferme à l’aide d’aimant, ce qui est bien plus simple que des boutons ou des pressions pour un petit enfant. On peut le porté par la poignée ou le mettre sur ses épaules, et sur le dos (à l’abri des regards malveillant) on peut insérer une petite étiquette avec le nom de l’enfant.

Ce cartable réunit tous mes critères et il plaît énormément à ma fille qui ne désire plus qu’une seule chose : l’emporter à l’école ! Il va falloir attendre encore quelques jours !