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Quelle Histoire Magazine

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Vous vous souvenez des petits livres de la collection Quelle Histoire ? Et des Petits Explorateurs, les guides touristiques pour enfants ? J’ai adoré ces deux collections, alors quand j’ai su que les éditions Quelle Histoire lançaient Quelle Histoire Magazine, je suis allée l’acheter tout de suite ! Le n° 1 m’a complètement séduite, mais je n’avais pas eu le temps de vous en parler. Le n° 2 étant encore dans les kiosques, c’est celui que je vais vous présenter. Et pour cette présentation, je serai accompagnée d’Erik Le Rouge, le guerrier viking sans peur !

Quelle Histoire Magazine n°1 et n°2

Quelle Histoire Magazine

Chaque numéro commence par un dossier de plusieurs page sur un sujet donné. Pour le premier numéro c’était la Démocratie, pour le deuxième, c’est la préhistoire (et le troisième numéro abordera le temps des chevaliers, avis aux amateurs !). Chaque dossier est composé de définition de termes, d’explication de concept ou d’action autour du thème (ici, une explication sur l’archéologie et sur l’Afrique en tant que berceau de l’humanité). À chaque fois, il s’agit de textes courts et très clairs : les enfants peuvent choisir de lire un seul paragraphe, une ou plusieurs pages en fonction de leur âge et de leur capacité. Ainsi les plus jeunes ne se découragent pas ! Il y a aussi toujours des petits jeux (cherche et trouve) et même une histoire à écouter en allant sur le site de Quelle Histoire ou en scannant un QR code !

Quelle Histoire Magazine : Dossier Préhistoire

Le chapitre suivant est consacré aux inventions ! Ici on nous présente Marie Curie par une biographie, une bande dessinée et un petit jeu.

Quelle Histoire Magazine : invention

Puis vient le chapitre des Petits Explorateurs, et Jeux Olympiques obligent il s’agit d’une présentation de Rio ! La carte présente la ville et les infrastructures pour la compétition, puis, suivent quelques paragraphes autour des JO de manière général, sur la candidature de Paris pour 2024.

Quelle Histoire Magazine : Petits Explorateurs

Le dossier civilisation parle des Vikings et Erik Le Rouge en est super fier ! Erik nous présente son quotidien, sa manière de s’habiller, et même les prénoms que peuvent porter ses amis ! Le dossier est vraiment très complet et abordable pour les enfants grâce aux jolis dessins (comme toujours dans les éditions Quelle Histoire) et comme à chaque fois, il est ponctué de jeux et de bande dessinées.

Quelle Histoire Magazine : Civilisation

Erik nous montre alors les portraits du mois, les dernières parutions des éditions Quelle Histoire. Et j’avoue que l’histoire de Dali me tente beaucoup !

Quelle Histoire Magazine : Portraits du mois

Enfin vient la partie que j’ai préférée : l’interview d’un personnage célèbre ! Les enfants envoient les questions qu’ils veulent poser au personnage interviewé le mois suivant, et ils retrouvent les réponses dans le magazine. Comme ce sont des questions d’enfants, elles sont souvent très originale et pleine de légèreté !

Quelle Histoire Magazine : interview

Enfin, le magazine se termine par des sujets d’actualité liés à l’histoire, des petits jeux et un lexique reprenant les termes important dans le numéro. Puis, le clou du spectacle, les Paper Toys à fabriquer ! Erik Le Rouge était à découper directement dans le magazine, mais d’autres paper toys sont disponibles sur le site !

Mon avis

Mes enfants sont trop petits pour lire Quelle Histoire Magazine, alors je l’ai acheté pour mon propre plaisir. Mais j’ai tout de même regardé quelques parties avec Colombe (3 ans 1/2). Nous avions déjà parlé de l’Égypte dans le cadre du rendez-vous “voyageons ludique”, le premier numéro du magazine l’a donc beaucoup intéressée car elle revoyait des choses qu’elle connaissait. De mon côté, je l’ai trouvé vraiment très intéressant : oui, j’ai un Master 2 en Histoire et je lis des magazines pour les 7-10 ans, mais c’est la preuve de la qualité de ce magazine, non ? Je le recommande donc car il me semble être une base ludique pour aborder l’histoire. Il est idéal pour les enfants d’école primaire, mais je suis persuadée que certains enfants de maternelle un peu curieux pourraient l’aborder sans difficulté (au moins en partie).

Quelle Histoire Magazine, 4,90€ (disponible en kiosque ou en abonnement sur le site de Quelle Histoire)

Clic, le manuel des petits photographes

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Cette semaine dans ma boîte aux lettres j’ai reçu une belle surprise qui tombe à pic pour le défi photo “À Dada et Plein de Photos” que j’ai lancé sur Instagram. Il s’agit du livre Clic, manuel des petits photographes des éditions Eyrolles. Comme son nom l’indique, il s’agit d’un livre pour initier les enfants à la photographie et ce dès leur plus jeune âge puisqu’il est conseillé à partir de 5 ans !

Clic, manuel des petits photographes

clic_manuel_petit_photographe_eyrolles

J’ai avant tout été surprise par la richesse de son contenu. Il commence par une présentation de Olaf et Gustaf, les deux petits héros qui vont nous guider à travers la découverte de ce manuel des petits photographes. Puis viennent une définition des termes techniques, un historique de la photographie puis une présentation des appareils photo que l’on utilise de nos jours.

Clic : Gustaf et Olaf

Clic : expliquations techniques

L’essentiel du livre est composé de 10 ateliers sur des sujets différents : devenir photographe animalier, prendre une photo du plus beau monument de la ville ou son dessert favori. À chaque fois le dossier est très complet. Olaf et Gustaf explique (en image) le matériel nécessaire, le comportement à adopter (par exemple être très discret pour photographier des animaux) et même les lois à respecter (le droit à l’image est très bien expliqué, avec même un petit formulaire d’autorisation à faire signer par les personnes qu’on a prises en photo).

Dans chaque atelier, les règles principales de la photographie sont réexpliquées (le choix des couleurs par exemple). Ainsi les petits photographes peuvent réaliser les ateliers dans l’ordre qu’ils désirent. Cette méthode a aussi l’avantage de répéter et donc de faire assimiler les savoirs essentiels.

Clic : deviens photographe animalier

Clic : photographie le plus beau monument de ta ville

Clic : panoplie du photographe animalier

J’émettrai tout de même une critique par rapport au contenu de ce livre. L’un des ateliers s’appelle : “Deviens un véritable paparazzi” et explique aux enfants comment prendre des photos volées en surprenant ses parents au saut du lit. Tout d’abord je dois vous avouer que mon père était photographe professionnel (et là vous regardez toutes les photos de mon blog et vous vous dites que je ne lui fais pas vraiment honneur !). S’il y a bien une catégorie de photographe qui ternit l’image de la profession, c’est bien celle-là. Je ne crois pas qu’apprendre à nos enfants à bafouer l’intimité soit une très bonne idée. De plus, on passe des années à essayer de garder nos enfants au lit le plus tard possible le matin, ça n’est pas pour qu’un livre leur apprenne à régler leur réveil pour venir nous réveiller en fanfare !
Tant que mes enfants sont petits et que nous lirons ce livre ensemble, je ne leur lirai pas ce chapitre. Quand ils seront plus grands j’aborderai le sujet avec eux en leur expliquant ce que j’en pense. Mais cela n’enlève rien à la qualité globale de ce manuel des petits photographes qui est vraiment bien fait. Je suis en désaccord avec le choix de cet atelier, mais ça n’est que mon opinion.

Clic : deviens un véritable paparazzi

Enfin, le livre se termine sur un diplôme du photographe en herbe et sur la proposition d’un projet 52 (soit une photo chaque semaine pendant un an) pour encourager les enfants à continuer et à progresser. Et le petit plus : on peut télécharger des fichiers imprimables sur le site des éditions Eyrolles (avec un code qui se trouve dans le livre) pour aller plus loin dans l’activité !

J’ai particulièrement aimé le fait que ce livre incite les enfants à être actifs. Il ne s’agit pas seulement d’un manuel qui explique la technique, mais bien d’une incitation à pratiquer la photo. Ainsi à la fin de chaque atelier on trouve un espace sur lequel l’enfant peut coller ses plus jolis clichés à la manière d’un album photo. Ainsi, ce livre devient un véritable souvenir de la progression de nos petits photographes !

Et ma petite photographe en herbe alors ?

J’en ai parlé au début de cet article, j’ai lancé un défi photo sur mon compte Instagram. Ce défi s’appelle  “À Dada et plein de photos” et son principe est simple : afin d’inviter les enfants à observer, leur apprendre du vocabulaire et pourquoi pas faire naître chez eux la passion de la photographie, j’ai proposé une trentaine de thème à illustrer. Les thèmes peuvent être traités sans ordre défini, les photos peuvent être floues ou mal cadrées. L’essentiel est que les enfants y prennent plaisir ! Publiez ensuite la photo sur votre compte Instagram en faisant apparaître #AdadaEtPleinDePhotos, le nom et l’âge des petits photographes, et surtout n’oubliez pas de me taguer (@adadaetaudodo) afin que je ne rate aucun cliché !

Défi photo : À Dada et plein de photos !
oups, il n’y a pas de 23…

 Colombe et moi avons donc choisi un thème qui correspondait à un des ateliers : “légumes d’été”. Nous avons lu ensemble l’atelier de photographie culinaire et nous nous sommes mises au travail ! Sur un plateau, j’ai préparé quelques légumes que Colombe a soigneusement disposé sur la table après avoir vérifié que notre nappe contrasterait joliment avec nos légumes. Elle a ajouté quelques accessoires pour mettre les légumes en valeur (des feuilles de basilic citronné). Débout sur une chaise (et même sur la table à la fin !), Colombe a pris de nombreuses photos. J’en ai sélectionné 2 !

Clic : Le manuel des petits photographes

Prise de vue des légumes d'été

Légumes d'été

Légumes d'été

Et voilà le travail ! Ma petite artiste prend de plus en plus de plaisir à faire ses photos ! Et si vous voulez que vos petits deviennent de vrais petits photographes, n’hésitez pas à nous rejoindre pour le challenge photo, et bien sûr à leur offrir ce super manuel !

Lumi Poullaouec, Clic, Le Manuel des petits photographes, éditions Eyrolles (16,90€)

Merci aux éditions Eyrolles de m’avoir envoyé ce livre et pour la confiance qu’ils m’accordent !

Jeux de mélange des couleurs !

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Comme je vous l’expliquais ici, à 3 ans et 4 mois, Colombe connaît très bien le nom des couleurs, mais elle ne maîtrise pas encore bien la notion de “clair” ou de “foncé” et elle ne sait pas encore comment mélanger différentes couleurs pour en obtenir de nouvelles. Alors je lui ai proposé plusieurs activités sur ces thèmes en m’appuyant sur le livre Mon domino des couleurs” que nous avions reçu dans la Box de Pandore. Aujourd’hui je vous présente une série de jeux de mélange de couleurs que nous avons réalisées les unes à la suite des autres car elles utilisent le même matériel, mais que l’on peut très bien réaliser de manière indépendante.

Pour commencer, j’ai proposé à Colombe d’essayer l’activité de “l’eau voyageuse“. Il s’agit de faire passer de l’eau d’un verre à l’autre à l’aide d’un papier essuie-tout. Et pour notre thème de mélange des couleurs, j’ai tout simplement rempli 2 verres avec de l’eau de deux couleurs (primaires) différentes, et j’ai fait passer cette eau dans un 3ème verre. Il a fallu de la patience pour obtenir un résultat (petite astuce : surélever le verre qui était rempli initialement). J’ai donc commencé notre expérience en fin de matinée. Colombe a eu un peu de temps pour observer l’eau monter sur le papier essuie-tout et puis se déverser dans le verre central. Finalement quand elle a commencé à manquer d’intérêt nous sommes passer à table. Après le repas, nous sommes retournez voir nos verres qui s’étaient bien remplis !

Préparation de l'activité "eau voyageuse" avec mélange de couleurs.

L'eau voyageuse : début de l'expérience

Eau voyageuse : mélange de bleu et de jaune

Eau voyageuse : mélange de jaune et de rouge

Eau voyageuse : mélange de jaune et de rouge

Eau voyageuse : tous les mélanges

Mélange des couleurs

Je vous recommande vivement cette expérience. C’est une très bonne activité d’observation et elle a un côté magique qui a beaucoup plu à ma fille. C’était très impressionnant pour elle de constater que l’eau avait changé de verre ET changé de couleur alors que nous n’avions absolument pas touché aux verres !

À la fin de l’expérience j’ai trouvé dommage de jeter l’eau dont nous nous étions servie. J’ai alors sorti des boîtes à œufs de cailles (mais des bacs à glaçons conviennent aussi !) et j’ai proposé à Colombe de faire ses propres mélanges à l’aide d’une cuillère (une pipette aurait été mieux, mais j’ai fait avec ce que j’avais sous la main !). Je lui ai proposé de mélanger de nouveau les couleurs primaires ensemble en changeant à chaque fois les proportions afin d’obtenir des couleurs plus claires ou plus foncées. Je lui ai également proposé de jouer sur ces nuances en mélangeant les couleurs secondaires que nous avions obtenues de la première expérience avec les couleurs primaires. Enfin je lui ai proposé d’obtenir de nouvelles couleurs en mélange les 3 couleurs primaires ou en mélangeant les couleurs secondaires ensemble.

Cette activité nous a sans doute occupées pendant 45 minutes (j’avoue ne pas avoir regardé la montre !). Après l’activité d’observation qui avait précédé, Colombe a aimé la manipulation que nécessitait celle-ci.

Mélanges de couleurs primaires et secondaires

Mélanges de couleurs primaires et secondaires

Mélanges de couleurs primaires et secondaires

Mélanges de couleurs primaires et secondaires

Mélanges de couleurs primaires et secondaires

Mélanges de couleurs primaires et secondaires

Je dois vous avouer que j’ai été tout autant intéressée par cette activité que ma fille. Nous avons aimé voir une seule goûte de liquide changer la couleur de nos échantillons. Nous avons aimé faire preuve de précision et dextérité . J’ai trouvé cette activité très apaisante. Nous étions au calme et nous n’avions à nous concentrer que sur nos petites goûtes d’eau colorée !

Pour finir, Colombe m’a demandé si elle pouvait peindre avec son eau colorée, alors je lui ai installé son tableau avec des feuilles de papier. Le résultat n’est pas vraiment probant car la couleur est trop faible pour imprimer le papier, mais Colombe a tout de même aimer. Peut-être a-t-elle juste apprécier de voir le papier se mouiller, et transvaser l’eau d’un verre à l’autre l’a bien amusée aussi (oui parce que transvaser avec des verres à pieds qui cassent c’est bien plus drôle !).

Peindre avec de l'eau colorée

Peindre avec de l'eau colorée

Peindre avec de l'eau colorée

Mis bout à bout, nous avons joué pendant près de 2h ! Et le jeu aurait pu continuer plus longtemps si le temps ne s’était pas gâté ! Ces jeux de mélanges de couleurs ont toujours un grand succès ici, d’ailleurs si vous voulez d’autres idées, allez vois Nos versés colorés à la manière d’Alice ! Et chez vous, les enfants aussi aiment faire des mélanges et jouer à l’eau ?

Bouteilles sensorielles de mélange de couleurs

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À 3 ans et 4 mois, Colombe connaît très bien le nom des couleurs, mais elle ne maîtrise pas encore bien la notion de “clair” ou de “foncé” et elle ne sait pas encore comment mélanger différentes couleurs pour en obtenir de nouvelles. Alors je lui ai proposé plusieurs activités sur ces thèmes en m’appuyant sur le livre Mon domino des couleurs” que nous avions reçu dans la Box de Pandore. La première de ces activités est en fait une petite expérience que j’avais envie de mener : fabriquer des bouteilles sensorielles de mélange de couleurs. Le principe est simple : dans une bouteille, mettre deux liquides de densité différentes, chacun d’une couleur différente. En secouant la bouteille, les deux liquides se mélangent et la bouteille prend une couleur uniforme. Puis, peu à peu les liquides se séparent et les couleurs aussi. La bouteille reprend alors ses deux couleurs d’origine !

Ça, c’est sur le papier !

Dans les faits, le problème est un peu plus compliqué et je dois vous avouer qu’aujourd’hui je vais vous présenter une activité dont le résultat ne m’a pas satisfaite. Je voulais créer des bouteilles que nous pourrions utiliser à l’envie et que nous pourrions emmener partout. J’ai choisi de faire mes bouteilles dans des petites fioles (j’ai utilisé les fioles de vinaigrette qui accompagnent les salades Sodebo). J’ai coloré l’eau avec du colorant alimentaire standard, et l’huile avec du colorant liposoluble en poudre. J’ai ensuite rempli les fioles comme suit :

  • Eau jaune et huile bleue pour obtenir une fiole verte
  • Eau rouge et huile bleue pour obtenir une fiole violette
  • Eau jaune et huile rouge pour obtenir une fiole orange

tableau_melange_couleurs

bouteilles_sensorielles_melange_couleurs

J’ai mis beaucoup de colorant dans l’huile, le bleu ressort donc très foncé. Sur la photo, on peut voir les 3 fioles quelques minutes après leur création. La seule qui avait déjà été mélangée est la fiole jaune et bleue, et c’est pour cela que l’eau jaune a déjà tendance à devenir verte. Car finalement, une fois les deux liquides mélangés on obtient bien la couleur recherchée, mais lorsque les liquides se séparent, la couleur la plus claire reste marquée par la plus foncée…

bouteille_sensoriel_melange_couleurs

bouteille_sensorielle_couleurs_melangees

Même si l’effet n’était pas parfait, nous avons aimé observer les mélanges et la séparation des liquides. Colombe a constaté la formation d’une couleur secondaire par le mélange des couleurs primaires, mais ça n’est pas ce qui l’a le plus intéressée. Je pense qu’elle a surtout aimé voir les mouvements de liquides et qu’elle a adoré secouer les fioles !

Finalement, les fioles sont utilisables quelques heures, et la séparation des liquides est moins nette à chaque mélange.

J’ai tout de même gardé ces fioles pour observer leur conservation. La fiole “orange” n’a plus aucun intérêt : le colorant jaune ne se voit presque plus, quand au colorant rouge, il forme de gros dépôts sur la zone de contacte des deux liquides. Les fioles “violette” et “vertes” sont plus jolies, on dirait maintenant des bouteilles de lave !

bouteille_sensorielle_couleurs_apres

Je ne suis pas la seule à avoir testé, mon amie du blog L’esprit vient en jouant est arrivée aux mêmes conclusions que moi et toutes deux, nous cherchons encore une solution pour réaliser ce genre de bouteilles de manière durable et en utilisant des ingrédients sans danger pour les enfants. Il semble exister une solution utilisant de l’huile pour lampe colorée en bleu ou en rouge, on peut la voir ici, mais cela me semble bien trop risqué de mettre cela entre les mains de mes enfants ! Le même blog semble avoir réussi l’expérience avec des colorants pour bonbons (donc le même genre de colorants que ceux que nous avons utilisés), sans qu’on puisse comprendre ce qui a fait la différence avec nos essais. Après contact, nous n’avons obtenu aucune réponse…

Alors s’il y a parmi vous des super-chimistes qui ne résistent pas au challenge, des savants-fous désireux de faire la trouvaille du siècle ou même des alchimistes en mal d’une nouvelle quête, n’hésitez pas à vous pencher sur la question et à nous contacter, L’esprit vient en jouant et moi !

Le Jeu aux Mille Titres (+concours)

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Il y a quelques jours en vous racontant ma visite au Festival International des Jeux de Cannes, je vous avais promis de vous reparler de mon plus gros coup de cœur : Le Jeu aux Mille Titres. Ce jeux des éditions Oya était en compétition pour l’As d’Or dans la catégorie “Enfant”, je l’ai donc découvert lors de la cérémonie de remise des prix. Lorsque les membres du jury en ont parlé, ils avaient l’air de s’être si bien amusés avec qu’ils m’ont donnée l’envie d’y jouer aussi ! C’est donc le premier jeu que je suis allée découvrir, et le premier que j’ai acheté !

jeu_aux_mille_titres_fillette

Mais pourquoi ça s’appelle “Le Jeu aux Milles Titres” et pas “La fillette sous les drapeaux” comme on le voit sur la photo ? Ce jeu a été édité à 4830 exemplaires. Chaque boîte est unique et numérotée : chaque dessin représente un personnage du jeu situé à un endroit du plateau et c’est la combinaison des deux qui donne son titre à la boîte. Cela donne au jeu les noms les plus drôles comme les plus poétiques !

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Mais avec tout ça, je ne vous ai pas encore expliquer en quoi consiste ce jeu ! À première vue il s’agit d’un Memory : on place des tuiles représentant des personnages face cachée à des endroits déterminés à l’avance sur le plateau, et il faut ensuite retourner deux tuiles dans le but de retrouver un couple. Ci-dessous, j’ai trouvé le balayeur et la balayeuse.

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Mais ! Ça n’est pas tout à fait ça… En fait le jeu est bien plus riche qu’un Memory, et les éditeurs le qualifient de jeu de “souvenir” et non de jeu de “mémoire”.
Lorsqu’un joueur retourne une tuile, il doit énoncer le personnage qu’il voit et le lieu sur lequel il se trouve. Cette association d’idées aide à se souvenir de la place des personnages car on s’invente une petite histoire. Par exemple, mon balayeur est chez le fleuriste car un grand coup de vent a fait tomber les pétales de toutes les fleurs et la boutique avait besoin d’un bon coup de ménage ! Si l’énonciation de cette histoire n’est pas demandée dans la règle originale, elle anime tellement le jeu qu’elle devient vite une tradition ! Et cette “fabrique à histoires” comme l’appellent ses éditeurs, offre plusieurs niveaux de jeux, permettant les récits les plus fantasques et les sous-entendus en tous genres. Ainsi, j’ai expliqué un jour à mon mari que le papa était chez le fleuriste car il offre un bouquet à sa femme chaque semaine… La grand-mère monte au 7ème ciel dans l’avion… et j’en passe.

papa_fleuriste

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pompier_toit

vampire_ambulance

Le jeu est indiqué à partir de 5 ans, mais en l’adaptant un peu, on peut sans problème jouer avec un enfant plus jeune s’il maîtrise bien le langage. Nous y avons joué plusieurs fois avec Colombe (3 ans) : nous avons retiré certaines tuiles pour que le jeu ne soit pas trop long et parce qu’il y a certains personnages qu’elle ne connaît pas à son âge (le vampire, l’avocat… l’association de ces deux personnages dans cette parenthèse est purement fortuite !). Les histoires sont alors très terre à terre : la reine va à la poste pour envoyer une lettre, ou ici, la factrice est sur le skate board pour distribuer le courrier plus vite !

factrice_skate_board

Le jeu est avant tout un bon exercice de vocabulaire : le plateau représentant une petite ville et tous les lieux qu’on y trouve généralement (boucherie, école, dentiste, route, poste…) il permet aux plus petits d’apprendre ces lieux et leur fonction. Il offre aussi une leçon de grammaire puisqu’il aide à apprendre les prépositions locatives (vous savez, “on va au café”, et “chez le coiffeur” !). Enfin il est une invitation à la discussion : on crée des histoires, mais on peut aussi raconter sa propre histoire. Lorsque les enfants ne vont pas bien, il est parfois plus facile de les faire parler à travers le jeu. Le plateau présentant de nombreux lieux que fréquentent les enfants (l’école, le parc…) on peut essayer de passer par une petite mise en scène afin de comprendre ce qui ne va pas.

Voilà donc pourquoi ce jeu est mon coup de cœur : il a une règle du jeu officielle, mais il est tellement riche en possibilités qu’on peut facilement l’adapter selon les situations et les besoins. C’est un jeu qui peut réunir parents et enfants sans que personne ne trouve le temps long : si en tant qu’adulte on se plaît à raconter des histoires à nos enfants, c’est un véritable émerveillement lorsque les rôles s’inversent !

Le Jeu aux mille Titres, Oya
Auteur : PampukDesign : Inti Ansa
2 à 6 joueurs à partir de 5 ans.
Prix conseillé : 30€

Et j’ai tellement aimé ce jeu que j’ai décidé d’en faire gagner une boîte à l’un ou l’une d’entre vous : “La Factrice sur le Toboggan”.

Boîte du Jeu aux mille titres "La fatrice sur le toboggan"

Pour jouer c’est très simple, vous avez vu des photos de plusieurs personnages sur des lieux différents dans cet article, alors en commentaire, indiquez que vous tentez votre chance et racontez-moi l’histoire d’un de ces personnages ! N’hésitez pas à être drôle ou poétique, c’est aussi le but de ce jeu !

Vous pouvez également aimer la page Facebook du blog (ici) et partager le concours sur les réseaux sociaux, cela ne vous apportera pas de chance supplémentaire, mais cela me fera toujours plaisir !

Vous avez jusqu’au 24 avril 0h00 pour jouer.

Le gagnant sera désigné par tirage au sort dans les jours qui suivront et sera indiqué en édit de ce post. Il aura ensuite 72h pour me contacter via à contact@adadaetaudodo.com .
Jeu réservé à la France Métropolitaine.
Une seule participation par foyer.

Concours terminé ! Le tirage au sort par des mains innocente a déterminé la gagnante et c’est :

tirage_au_sort_mille_titres

gagnant_mille_titres

Bravo à toi Reb ! Je te laisse me contacter pour m’envoyer tes coordonnées afin que je t’envoie le jeu au plus vite !

Cet article est ma participation au rendez-vous “1, 2, 3 jouez” de Maman & Pipelette.

DIY : notre boîte lumineuse

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boite_lumineuse_fleurs_plastique_paille

Depuis quelques temps, je vois passer sur différents blogs des boîtes lumineuses avec lesquelles les enfants peuvent jouer, et j’avoue qu’elles me faisaient très envie. Ces boîtes sont vraiment simples à fabriquer soi-même, et elles permettent de faire de très jolies réalisations. En effet, jouer avec la lumière et les couleurs est une activité fascinante pour les petits qui éveillent leurs sens, mais aussi pour les plus grands qui les redécouvrent ! Je me suis donc lancée et je vous montre comment !

Matériel :

  • un bac en plastique (j’utilise un bac “Trofast” de chez IKEA)
  • un grand morceau de carton
  • du papier aluminium
  • du papier cuisson (si le bac utilisé est transparent, le mien étant translucide je n’en ai pas eu besoin)
  • une guirlande lumineuse à piles

Réalisation :

Dans le grand morceau de carton, j’ai taillé une boîte aux dimensions de ma boîte en plastique (il faut que le carton rentre parfaitement dans la boîte comme sur la photo).

boite_lumineuse_envers

J’ai recouvert l’intérieur du carton avec du papier aluminium que j’ai fixé avec du scotch.

detail_diy_boite_lumineuse

DIY_boite_lumineuse

Il ne reste plus qu’à allumer la guirlande lumineuse, à la place dans le carton recouvert d’aluminium (de recouvrir avec une feuille de papier cuisson si la boîte en plastique est transparente) et de fermer le tout avec la boîte en plastique.

On peut alors jouer avec la lumière et avec les couleurs des objets transparents qu’on aura choisi. Et pas besoin de matériel compliqué, on fait avec ce qu’on a. Ici nous avons joué à tour de rôle avec :

Nos bouteilles sensorielles remplies d’eau colorées :

boite_lumineuse_bouteille_sensorielle

De simples pailles :

boite_lumineuse_pailles

Des jetons de loto transparents :

boite_lumineuse_jeton_transparents

boite_lumineuse_jetons_transparents

Des bracelets fluo :

boite_lumineuse_pile_bracelets

Et j’ai même utilisé les petites fleurs qui ornaient la guirlande lumineuse lorsque je l’ai achetée :

boite_lumineuse_fleurs_plastique

Ma Colombe et mon Petit O’ raffolent tous les deux de ce nouveau jeu. Chacun y joue à sa manière : Petit O’ (15 mois) observe les changements de couleurs des objets quand on les met à la lumière, alors que Colombe (3 ans) s’intéresse plus à la réalisation de motifs (bien souvent détruits par son petit frère malheureusement).

C’est toujours un plaisir de jouer avec cette boîte lumineuse. On baisse les stores afin de faire la pénombre dans la chambre, et l’atmosphère se fait apaisante. Les enfants restent à jouer calmement autour de la boîte. Chacun pose ses pièces, essaye de nouveaux objets pour voir ce que cela donne à la lumière. Les enfants sont généralement très calmes pendant de longues minutes. C’est une activité très agréable à partager avec eux, ou même pour les occuper pendant qu’on prépare le repas par exemple !

Save

Livre en tissu pour apprendre à écrire les lettres (quiet book)

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À 3 ans, Colombe a découvert les lettres et s’y intéresse beaucoup. Lors de nos sorties, elle nous montre celles qu’elle reconnaît sur les panneaux, et à la maison, elle cherche sans cesse à en apprendre de nouvelles dans ses livres ou sur les magazines. Elle en reconnaît déjà quelques unes et sait même en écrire, mais elle est encore loin de toutes les maîtriser. Alors j’avais envie d’encourager sa passion naissante et de lui confectionner un livre en tissu pour apprendre à écrire les lettres.

Livre en tissu pour apprendre à écrire

À l’image de son quiet book (ici et ici), j’avais envie d’un support qui allait durer dans le temps et qui pourrait être utilisé à l’infini. Alors lorsque j’ai découvert le tissu ardoise sur le site Perles & Co, l’idée m’a semblée évidente ! Ce tissu, qui ressemble à une toile cirée mate et noir, permet d’écrire avec une craie et d’effacer à volonté. J’étais très intriguée par ce tissu que je ne connaissais pas et après utilisation, je dois dire que je ne suis pas du tout déçue ! La craie marque bien le tissu et s’efface d’un seul coup d’éponge humide.

J’ai donc cousu entièrement un petit livre de 26 pages (sans compter la couverture), afin d’y coller toutes les lettres découpées dans mon tissu ardoise. Si j’ai cousu un livre d’une seule pièce et que je n’ai pas utilisé le même système d’attache que celui du quiet book de Colombe, c’est que je tenais à ce qu’on ne puisse pas changer l’ordre des pages. Les lettres sont bien évidemment présentées dans l’ordre alphabetique, et il me semble important pour l’apprentissage que cela reste ainsi. Mais c’est un parti pris et ce livre peut tout à fait être conçu avec de la feutrine et le système d’attaches que j’ai présenté dans mon premier DIY de quiet book.

Pour coudre le livre, j’ai tout simplement découpé 13 rectangles de tissu de dimension identique que j’ai cousus sur l’envers les uns à la suite des autres. Puis après avoir retourné toutes les pages et avoir repassé l’ouvrage, j’ai cousu un 14ème rectangle un peu plus long que les autres, en guise de couverture. Je vous épargne le tuto, car comme vous les voyez, le résultat n’est pas très académique. Mais même si le livre n’est pas aussi parfait que si je l’avais acheté, ma fille avait des étoiles dans les yeux en le découvrant, et elle semblait impressionnée de voir ce que j’avais réussi à faire avec ma machine à coudre !

Tranche du livre en tissu pour apprendre à écrire les lettres

Je me suis servie de ce modèle pour découper les lettres, puis je les ai collées dans le livre avec de la colle pour textile. J’ai décidé de ne pas les coudre afin d’avoir un plus joli résultat (ma machine à coudre est un peu capricieuse, il y a beaucoup de ratés, et coudre et découdre les lettres aurait abîmé le tissu).

Quiet book : lettre en tissu ardoise

Ma Colombe a tout de suite adoré son livre pour apprendre à écrire les lettres, et l’a rempli entièrement, lettre par lettre, en quelques minutes !

Enfant qui s'entraine à écrire un A sur un livre en tissu ardoise

Enfant qui s'entraine à écrire un C sur un livre en tissu ardoise

Et pour effacer, rien de plus simple, un petit coup sur les lettres avec un morceau de tissu polaire imbibé d’eau et le livre était comme neuf !

effacer de la craie sur un tissu ardoise

Depuis qu’elle l’a, il ne se passe pas un jour sans que Colombe ne se serve de son livre ! À la maison, elle l’utilise avec sa craie, et lorsque nous sortons je le glisse dans mon sac, et elle l’utilise en posant le doigt dessus à la manière des lettres rugueuses (ces lettres ne sont pas rugueuse, mais le tissu du livre et le tissu ardoise ont deux touchés différents, ce qui correspond finalement au principe des lettres rugueuses !)

Alors, ce nouveau quiet book vous plaît ? Si vous décidez d’un réaliser un, n’hésitez pas à m’envoyer des photos, je serai ravie de voir votre version !

Bac sensoriel aux couleurs de la Reine des Neiges

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Le printemps sera bientôt officiellement là, il est donc temps pour moi de vous montrer notre dernière activité sur le thème de l’hiver. Oui, oui, de l’hiver pas de la Reine des Neiges ! Bon, d’accord, un peu quand même, il s’agit d’un bac sensoriel aux couleurs de la Reine des Neiges. Et le but de ce bac ? Libérer, délivrer des surprises bien-sûr !

Je voulais un bac sensoriel avec des glaçons pour évoquer avec Colombe les notions de “froid”, “chaud” ou “glacé”. Mais Colombe n’aime généralement pas du tout toucher les glaçons, il me fallait alors trouver un détail suffisamment attirant pour faire oublier à Colombe le froid qu’elle trouve désagréable. J’ai donc décidé d’enfermer de petites surprises et de jolies couleurs dans les glaçons. Pour cela, j’ai mis quelques petits flocons brillants dans mon bac à glaçons, puis je l’ai rempli d’eau et l’ai mis au congélateur. J’ai aussi mis quelques gouttes de peinture dans d’autres glaçons : j’ai rempli le bac à moitié et l’ai mis à congeler, puis j’ai ajouter une noisette de peinture sur chaque demi glaçon et l’ai encore mis à congeler. Enfin j’ai rempli entièrement le bac et l’ai mis une 3 ème fois au congélateur.

Voici donc le bac au début de l’activité :

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glacons_bleu_dore

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On retrouve mes glaçons avec leurs flocons, et ceux avec la goutte de peinture (peinture bleue et dorée). J’ai placé un pinceau, quelques pipettes (des pipettes de sérum physiologique que j’ai mises de côté une fois vides), un flacon de paillette et un bol avec de l’eau chaude.

J’ai expliqué à Colombe que les glaçons étaient tout simplement de l’eau très froide, mais qu’avec de l’eau chaude elle pourrait les faire fondre. Je lui ai montré les “surprises” qui se trouvaient dans les glaçons et lui ai dit qu’elle pouvait essayer de découvrir ces surprises.

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Colombe a spontanément pris le pinceau et l’a trempé dans l’eau chaude avant de le passer sur les glaçons pour les faire fondre. C’est d’ailleurs ce geste qui lui a permis de libérer la peinture. Ce point m’a un peu déçue : si quelques gouttes de peinture se sont diluées dans l’eau en se libérant, la plupart sont restées dans leur état de cristallisation et se sont éparpillées dans l’eau en petits morceaux.

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Colombe a également beaucoup joué avec les pipettes. Elle aspergeait les glaçons avec de l’eau tiède (j’ai changé l’eau du bol plusieurs fois) et c’est ce qui a libéré les flocons. Mais finalement, l’opération lui paraissant un peu trop longue, elle a préféré mettre les glaçons directement dans le bol d’eau tiède. Le geste était efficace au moins !

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Finalement Colombe a renversé l’eau du bol dans le bac et a versé des paillettes pour un mélange magique !

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Bien qu’à la fin de l’activité tous les flocons et toute la peinture n’ont pas été libérés, délivrés, le bac s’est transformé en univers brillant et plein de couleur, digne du dernier Disney !

Un bonhomme de neige en coton

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Avant Noël, Colombe est tombée en admiration devant un bonhomme de neige en coton qui décorait l’entrée. À chacun de nos passages il fallait qu’on aille voir le bonhomme, qu’on le touche et qu’on admire sa grande beauté!

Comme l’hiver n’est pas tout à fait terminé et que Colombe a découvert la neige récemment, je me suis enfin décidée à lui faire faire cette petite activité toute simple et dont le résultat lui plaisait tant.

Matériel nécessaire :

  • des morceaux de cotons blancs
  • un carton découpé en forme de bonhomme de neige
  • deux yeux mobiles
  • un petit triangle orange
  • un pinceau et de la colle (ici de l’eau et de la farine)

materiel_bonhomme_neige_coton

J’ai alors présenté à Colombe ce bonhomme de neige en lui disant qu’il avait fondu et qu’il fallait le remettre en forme en collant chaque morceau de coton sur le carton.

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Et c’est ce qu’elle s’est appliquée à faire, appliquant la colle méthodiquement et en me précisant bien quand il restait des zones à remplir.

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Une fois le carton rempli de coton, Colombe a collé les yeux et le nez du bonhomme de neige.

bonhomme_neige_coton

Enfin, j’ai paré notre bonhomme d’une belle écharpe et d’un magnifique chapeau à paillettes (parce que les paillettes c’est la vie !) et il orne maintenant notre petit “jardin d’hiver” dans le salon.

Bonhomme_de_neige_coton

(le DIY des sapins se trouve ici)

Alors, notre bonhomme de neige vous plaît ?

Notre petit jardin zen – bac sensoriel – Voyageons Ludique

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Comme promis pour le rendez-vous Voyageons Ludique, nous allons parcourir l’Asie et aujourd’hui je vous emmène au Japon.

C’est en regardant cet épisode de Mouk intitulé “Le jardin Japonais” que j’ai eu l’idée de présenter à Colombe un bac sensoriel reprenant le concept de ces jardins.

Au Japon, les jardins zen sont des espaces de contemplation. Constitués essentiellement de minéraux et de quelques végétaux, ce sont des jardins secs. L’eau est symbolisée par les sillons tracés par des râteaux.

Avec très peu de moyen, j’ai reproduit un jardin zen dans notre bac sensoriel.

Matériel nécessaire :

  • un bac en plastique
  • un kilo de semoule
  • un petit râteau
  • quelques végétaux (ici du bambou coupé sur ma terrasse et un sapin Playmobil)
  • quelques pierre ou objet rappelant le Japon (ici un Maneki Neko, le chat qui dit bonjour)

materiel_bac_jardin_japonais

Activité :

J’ai présenté à Colombe le bac déjà rempli et aménagé comme un jardin zen. Je lui ai expliqué rapidement le concept qu’elle connaissait déjà du dessin animé et lui ai laissé les outils pour qu’elle aménage son propre espace.

bac_jardin_japonais

bac_maneki_neko

bambou_bac_jardin_japonais

Ma Colombe s’est alors emparée du râteau et a modelé l’espace en traçant des sillons comme je l’avais fait, mais aussi en écartant de grandes pelletées de semoule.  Elle a aimé prendre la semoule à pleines mains et a essayé de remplir le petit chat (qui en fait est une tirelire). En créant des ruisseaux et des montagnes, nous avons fait fonctionné notre imagination et appris un peu de vocabulaire.

bac_jardin_zen

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Et comme la semoule ne présente aucun danger, une fois les éléments fragiles enlevés, Petit O’ a pu lui aussi profiter de ce bac. Le bac de semoule est un bon jeu de manipulation qui plaît généralement beaucoup aux petits ! Et pour tout vous avouer, moi-même j’aimerais bien plonger les mains dedans, pas vous ?