DIY
Un arc-en-ciel en perles – diy
Il est assez rare que je fasse une activité manuelle seule avec Petit O’ (3ans) car en général, si l’activité est à sa portée, c’est qu’elle est aussi à celle de Colombe (5 ans). Et pourtant, lorsque l’activité prévue est trop compliquée pour lui, je la fais seule avec Colombe. Alors pour une fois, je me suis dit que j’allais faire une activité manuelle seule avec mon petit garçon ! Depuis un moment j’avais envie de fabriquer un arc-en-ciel avec des perles et du fil chenille que j’avais vu sur Pinterest. Comme l’idée lui a plu, nous nous sommes lancés !
Le matériel nécessaire pour fabriquer un arc-en-ciel
- Des morceaux de fil chenille aux couleurs de l’arc-en-ciel
- De grosses perles aux couleurs de l’arc-en-ciel également
- Une plaque de carton
- Une paire de ciseaux
- Un pistolet à colle
- Quelques boules de coton
- De la colle liquide
La fabrication de l’arc-en-ciel
Tout d’abord, j’ai coupé les morceaux de fil chenille pour que chaque fil soit de plus en plus petit, et en respectant l’ordre des couleurs dans l’arc-en-ciel.
Puis j’ai collé les morceaux de fil chenille sur le carton à l’aide du pistolet à colle. Comme la base des fils sera recouverte de coton, il n’est pas nécessaire de les coller joliment. Le principal est que les fils tiennent bien car l’enfant va les manipuler pendant un moment.
Vient maintenant la première partie de l’activité réalisée par l’enfant : j’ai demandé à Petit O’ d’enfiler des perles de la couleur correspondante sur chacun des fils chenilles. Je lui ai conseillé de commencé par le centre (le fil rose), ainsi les fils sont de plus en plus long à remplir et l’enfant ne se décourage pas dès le premier fil.
Une fois toutes les perles mise, on recourbe les fils chenilles et on les colle sur la planche de carton.
L’enfant intervient de nouveau et colle les boules de coton sur la planche de carton, cachant ainsi la colle à la base des fils.
Après séchage, l’arc-en-ciel est prêt à être exposé pour embellir la chambre de nos petits !
Et Petit O’ est tellement fier de son arc-en-ciel qu’il a choisi d’en faire le sujet de sa photo pour le rendez-vous A Travers leurs yeux d’enfants…
L’arc-en-ciel trône maintenant fièrement dans la chambre de mes deux petits, et mon garçon est tellement heureux de nous rappeler à chaque fois qu’il l’a fait seul que je réalise à quel point j’ai bien fait de prendre ce temps seule avec lui ! Et vous, prenez-vous du temps pour créer avec chacun de vos enfants indépendamment ? Quelles sont leurs activités préférées ?
Nos assiettes de Noël pour décorer les murs
Comme je l’ai déjà expliqué ici, notre déménagement à Dubaï nous a contraint à faire beaucoup de tri parmi nos affaires, et les décorations saisonnières n’avaient pas leur place dans nos bagages (à l’exception de notre sapin en feutrine et de nos chaussettes de Noël !). Nous partons donc de zéro pour décorer l’appartement pour les fêtes de fin d’année, et plutôt que d’acheter des décorations toutes prêtes, j’ai décidé de mettre les enfants à contribution ! Notre première mission a donc été de décorer les murs avec de jolies assiettes de Noël !
Le matériel nécessaire
- des assiettes en carton
- du fil chenille vert
- des pompons
- de la colle
La réalisation
J’ai préalablement tracé un triangle au crayon à papier dans le centre de l’assiette. Ce triangle sert de modèle pour que l’enfant sache où placer le sapin qui va décorer l’assiette. Ensuite, j’ai coupé des fils chenilles de différentes longueurs de manière à ce qu’ils forment un pyramide lorsqu’on les dispose en ordre de grandeur.
J’ai alors demandé aux enfants de classer les fils chenille par ordre de grandeur. Colombe (4 ans 1/2) a accompli cette tâche seule et Petit O’ (3 ans) a été aidé de Papa À Dada !
Classer les morceaux de fil chenille par taille n’a pas été facile, mais cela nous a permis de revoir les ordres de grandeur et le classement en ordre croissant et décroissant. Une fois les morceaux en place, les enfants les ont collés sur l’assiette.
Enfin, ils ont décoré leur sapin avec de petits pompons qu’ils ont collés comme ils voulaient.
On voit clairement la différence entre les deux sapins : celui du dessous a été fait par Colombe (4 ans 1/2) en toute autonomie, et alors que celui du dessus a été fait par Petit O’ (3 ans) qui a reçu l’aide de Papa À Dada ! (grand perfectionniste !).
Finalement, quelques morceaux de scotch et nos assiettes étaient en place pour égayer notre salle à manger !
Alors, ça vous plaît ? Vous avez hâte que je vous montre le reste de nos décos faites maison ? Et chez vous, les décos sont achetées ou ce sont plutôt les enfants qui les font ?
Notre sapin minimaliste
Chaque année, je prends plaisir à décorer le sapin. Entre décoration traditionnelle il y 3 ans et des décorations fabriquées par les enfants ces deux dernières années (ici, ici et ici), j’aime inventer une nouvelle ambiance à chaque fois. Mais cette année est un peu particulière. Nous avons déménagé il y a six mois, et comme je vous l’expliquait dans cet article, nous avons dû faire un tri drastique dans nos affaires. Le sapin artificiel ne faisait pas partie de nos indispensables à notre nouvelle vie, et pour des questions d’impact écologique, je n’ai pas vraiment envie d’en racheter un. Quant à la possibilité d’un sapin naturel, vivant au milieu du désert, je ne l’envisage même pas ! (mais j’aurais pu décorer un palmier à la place !) Ayant maintenant un mode de vie très épuré, j’ai décidé cet année que notre sapin serait minimaliste !
Pour cela j’ai simplement acheté une guirlande lumineuse que j’ai accrochée au mur en dessinant les branches d’un sapin. Pour que ce sapin soit plus chaleureux, j’ai choisi une guirlande aux couleurs de Noël. Et pour qu’il soit joli même lorsque la guirlande est éteinte, j’ai demandé à mon petit assistant d’accrocher de petit carreau de scotch d’électricien vert, bleu et rouge entre les branche du sapin !
Ce sapin me ravit depuis que je l’ai posé ! Les enfants ne risquent pas de le faire tomber, et il ne mettra pas d’épines sur mon tapis ! Il ne prend pas de place, je n’ai donc rien eu à déplacer dans mon salon, et si dans quelques mois, je dois refaire mes valises, je pourrai même l’emporter avec moi !
Et vous, qu’en pensez-vous ? Chez vous la déco du sapin est traditionnelle, tendance ou plutôt faites par les enfants ? Vous changez chaque année ? Dites moi tout en commentaire ça me fait toujours plaisir de vous lire !
Toile d’araignée facile à découper !
Halloween approche à grand pas et ici, cela fait un moment qu’on s’y prépare ! Après avoir fabriqué de jolis masques citrouilles pour décorer l’appartement, j’ai proposé à Colombe (4 ans 1/2) de fabriquer une toile d’araignée en papier. Cette activité est assez simple, elle ne demande pas beaucoup de matériel et est un bon exercice de motricité fine !
Le matériel
- Une feuille de papier carrée (si elle est noire c’est encore mieux)
- un crayon à papier
- une paire de ciseaux
- un pompon
- quelques chutes de papier
- de la colle
La réalisation
J’ai plié la feuille de papier 4 fois (dans les 2 diagonales et dans les 2 centres) et j’ai tracé des lignes au crayon à papier, allant du bord jusqu’à la pliure.
Puis j’ai laissé Colombe découper sur les lignes et retirer les morceaux de papier découpés. C’est un bon exercice de motricité fine (utilisation des ciseaux, qu’elle maîtrise vraiment bien maintenant, découpe des petits morceaux de papier), mais aussi de concentration puisqu’il faut arracher un morceau sur 2.
Une fois toutes les bandes découpées nous avons déplié notre papier et découvert notre belle toile d’araignée ! Mais Colombe tenait absolument à y mettre une araignée ! Nous sommes donc allées chercher un pompon (le orange nous a semblé correspondre au thème et apporter un peu de gaîté à l’ensemble !) et j’ai demandé à Colombe de découper 8 pattes dans les chutes de papier (oh ! un peu de maths !). Elle a ensuite collé le tout sur sa toile que nous avons collée sur le mur !
Notre toile d’araignée en papier vient maintenant compléter notre décoration de Halloween !
Alors, vous aimez ? Vous aussi vous avez décoré votre maison pour Halloween ?
DIY : le circuit de voitures fait par les enfants !
Lorsque nous avons pris la décision de partir vivre à Dubaï, nous avons aussi pris la décision de faire le vide dans notre intérieur. Nous avons déménagé à 7000 km de chez nous avec seulement une trentaine de kilos de bagages par personnes, cela nous a donc obligés à faire un tri drastique. Et les jouets des enfants n’ont pas fait exception ! Nous avons bien-sûr conservé ce qui était le plus important à leurs yeux, mais le tri a été important. En arrivant à Dubaï, nous voulions profiter de ce tri pour repartir sur de nouvelles bases : des jouets moins nombreux, mais auxquels les enfants joueraient vraiment et dont ils prendraient soin ! Et quoi de mieux pour apprendre aux enfants à prendre soin de leurs affaires que de les leurs faire fabriquer ? Voilà comment Colombe (4 ans 1/2), Petit O’ (2 ans 1/2) et moi avons eu l’idée de fabriquer un circuit pour petites voitures !
Le matériel pour fabriquer un circuit pour petites voitures
- Une grande planche de carton (j’ai découpé un emballage de meuble)
- De la peinture
- Du vernis
Réalisation du circuit pour petites voitures
J’ai supervisé la réalisation, mais je voulais vraiment que les enfants s’impliquent afin qu’ils ressentent une vraie satisfaction une fois le jouet fini, mais aussi qu’ils l’investissent pleinement dans le jeu car il aura été fait selon leurs idées. Avant de nous lancer, et entre les différentes étapes de la réalisation, nous avons beaucoup discuté de ce que les enfants voulaient et de ce qu’ils imaginaient indispensable pour représenter une route.
La première étape fût très simple : peindre toute la planche de carton en vert.
Et Petit O’ a également peint des rouleaux de papier toilette qui allaient nous servir à fabriquer des garages (je l’ai laissé libre de choisir la couleur).
Après avoir laissé sécher une journée, nous avons peint les routes et avons de nouveau laissé sécher.
Les enfants ont pu alors s’attaquer aux détails. Petit O’ a décidé qu’il fallait un lac pour que les gens se baignent (nous vivons près de l’eau !) et Colombe voulait marquer les lignes discontinues qui séparent les routes en 2 voies (ce qui a fait un exercice de graphisme absolument parfait !).
Colombe a également voulu qu’on dessine des panneaux stop et des zig-zag jaunes indiquant les arrêts de bus (il y en avait plusieurs dans notre rue à Cannes et ce détail l’a beaucoup marquée !). Quant à Petit O’ il a accepté de dessiner la forêt, et a tenu à ce que l’on mette des feux tricolores !
Il ne me restait plus qu’à vernir le circuit afin que la peinture tienne bien et à coller les quelques rouleaux de papier toilette pour en faire un garage (et comme j’ai fait un étage, j’ai découpé une rampe dans un morceau de carton). Après quelques jours de séchage (afin de faire que l’odeur de vernis parte complètement), les enfants ont pu jouer avec leur joli circuit !
Jouer et respecter un jouer qu’on a fabriqué
Les enfants trépignaient d’impatience à l’idée de jouer avec leur beau circuit coloré ! L’attente fut un peu difficile, mais il fallait bien faire sécher le vernis ! Et apprendre la patience, c’est plutôt positif !
Lorsque le moment est venu de sortir le circuit de petites voitures, ils étaient tellement heureux qu’ils sont allés chercher des accessoires pour créer leur petit monde. L’arc-en-ciel de Grimms a égayé le paysage, et un rhinocéros est venu profité de la fraîcheur du lac pour prendre un petit bain !
Le garage et la rampe pour y accéder ont beaucoup plus aux enfants, même si je vous l’avoue, ils n’ont pas tenu très longtemps ! Ils se sont arrachés alors que les enfants rangeaient le tapis sous leur lit. Mais les enfants les reprennent et les posent simplement sur le circuit quand ils veulent jouer avec.
Lorsque nous étions en France, Colombe et Petit O’ avaient une belle collection de Tut Tut bolides et animos avec leur circuit. Ils y jouaient beaucoup mais nous n’avons pas pu les prendre faute de place dans nos valises. Finalement ils jouent tout autant avec ce circuit en carton, mais il a a quelques avantages que j’apprécie beaucoup ! Tout d’abord, les petites voitures ne font pas de bruit, contrairement aux Tut Tut ! Et surtout il est très facile à ranger : les enfants le glissent simplement sous leur lit, ce qui les encourage à le faire tout seuls !
Et c’est sans compter la fierté dans leurs yeux quand ils s’apprêtent à jouer et qu’ils me lancent : “Tu te souviens maman quand on avait fabriqué ce circuit tous seuls ?”
Un plateau tournant arc-en-ciel ! -DIY- ikea Hack
Il y a plusieurs mois, j’ai découvert sur le compte Instagram du blog A Crafty Living un outil de jeu et d’apprentissage qui m’a fascinée : sa “Rainbow lazy Susan” ou plateau tournant arc-en-ciel !
À l’époque je désencombrais mon appartement afin de préparer mon déménagement à l’étranger, il était donc hors de question que je me lance dans la confection d’un tel matériel qui aurait pris de la place (et du poids !) dans nos bagages ! Mais l’idée ne m’a jamais vraiment quittée et à mon arrivée à Dubaï, et j’ai rapidement acheté le fameux plateau roulant de chez Ikea qui me permettrait de fabriquer cette petite merveille !
DIY : Le plateau tournant arc en ciel – le matériel
- un plateau roulant de chez Ikea
- une règle
- un crayon à papier
- de la peinture acrylique
- des pinceaux
- du vernis
DIY du plateau tournant arc-en-ciel
La première étape consiste à trouver le centre du plateau tournant, et ça n’est pas une mince affaire ! Je m’y suis reprise à plusieurs fois mais il y avait toujours un léger décalage. Finalement nous avons étudié le problème avec Papa À Dada ! et vous savez quoi ? Ce cercle n’est pas parfois (pas si fort que ça le grand Suédois !), alors si vous souhaitez vous aussi réaliser ce plateau tournant, je perdez pas des heures à chercher le centre comme je l’ai fait. Quoi que vous fassiez, ça sera approximatif… Finalement, lassée par cette tâche, j’ai laissé Papa À Dada ! exprimé tout son talent en géométrie, et c’est lui qui a déterminé le centre et tracé les 8 parts égales sur le cercle !
Une fois les parts tracées sur le plateau, il faut déterminer les couleurs qu’on utilisera et ensuite peindre chaque part. C’est la partie que j’ai préférée car il fallait se concentrer sur une activité simple. Cette peinture a été un vrai moment de relaxation !
La peinture nécessitera plusieurs couches. Une fois terminée et bien sèche, il suffit de vernir et faire de nouveau sécher et le plateau sera prêt à utiliser.
Jouer et apprendre avec le plateau tournant arc en ciel
Ce plateau arc-en-ciel n’est finalement rien d’autre qu’un cercle chromatique, et si on le fait tourner suffisamment rapidement, les couleurs se mélangent de le plateau devient blanc. Ce plateau ne tourne pas suffisamment vite pour que l’illusion d’optique soit totale, mais on peut observer le mélange des couleurs par teinte.
Les enfants s’en servent aussi pour faire du tri de couleurs ou des constructions en suivant les angles de chaque triangle.
L’un des jeux qui les amusent le plus est de tester la force centrifuge : regarder les objets projetés hors du plateau les passionne autant que ça les fait rire !
Bref, les possibilités de jeux et d’apprentissages sont grandes et je pense que nous n’avons pas fini de les explorer ! D’ailleurs Colombe et Petit O’ me surprennent encore à trouver de nouveaux usages pour leur plateau tournant arc-en-ciel ! (et oui monter debout dessus pour se faire tourner fait partie des usages trouvés récemment et pas vraiment validés par maman !)
Et vous, vous l’utiliseriez pour quoi cette roue ?
DIY : une palette de couleurs tranparente
Ça n’est pas toujours facile pour nos enfants de comprendre comment sont composées les couleurs. Ils ont d’abord appris à les reconnaître, ce qui n’a pas toujours été facile : le souvenir de Petit O’ se braquant dès qu’on lui parlait de couleur me revient instantanément ! Mais je me rappelle aussi qu’il a su les nommer toutes quasiment du jour au lendemain ! Actuellement, Petit O’ (2 ans et demi) comme Colombe (4 ans) apprennent comment les couleurs se forment. Chacun en est à un stade différent, mais tous deux aiment faire leurs petites expériences pour comprendre les couleurs. Colombe s’était d’ailleurs bien amusée avec nos jeux de mélange des couleurs l’an dernier. Mais le déménagement arrivant (oui, mon DIY date d’il y a 5 mois, alors que nous étions encore à Cannes) je voulais proposer aux enfants une activité qu’ils pourraient faire et emporter partout ! Voilà d’où m’est venue l’idée de cette palette de couleurs transparente !
Matériel nécessaire
- des intercalaires ou pochettes plastiques de couleurs et transparents.
- une attache parienne ou
- 2 boutons et du fil
- une paire de ciseau
- une perforatrice
- un feutre
- un morceau de feuille cartonnée
Réalisation
Dessinez et découpez un gabarit en forme de pétale dans la feuille cartonnée puis reproduisez le sur chacune des feuilles de plastique.
Découpez les pétales dans les feuilles de plastique et faite un trou dans chacun à l’extrémité la plus fine.
Assemblez la palette en accrochant les pétales ensemble soit avec l’attache parisienne, soit en attachant 2 boutons ensemble de chaque coté du trou (cette deuxième solution est beaucoup plus solide !).
Et voilà ! La palette est prête !
Le jeu
Bien que j’ai fabriqué ce petit jouet il y a déjà 5 mois, les enfants jouent toujours avec !
Ils s’amusent à assembler les couleurs pour voire ce que produit chaque combinaison. Ils jouent également avec les formes car en espaçant plus ou moins les pétales, on obtient des formes très différentes allant de la fleur aux lunettes de soleil ! Enfin, ils se servent de leur fleur comme d’un attrape lumière avec la lumière du jours !
Ce jouet facile à fabriquer à peu de frais est plutôt rentable ! Les enfants ont aimé y jouer à la maison, mais il a aussi l’avantage de pouvoir nous suivre partout. Il n’est pas lourd et prend très peu de place, ce qui le rend idéal pour les voyages ! D’ailleurs il a fait le déménagement avec nous jusqu’à Dubaï !
Alors, ça vous tente ?
Mobile Stalactite – L’art est un jeu d’enfant
Ce mois-ci le thème de L’art est un jeu d’enfant, le rendez-vous artistique du blog Le Pays des Merveilles est “Aglagla il fait froid”. Le thème est bien d’actualité car la France vient de subir une importante vague de froid qui n’a épargné personne. Si si, je vous assure, même ici sur la Côte d’Azur, les températures sont descendues en-dessous de 0°. Nous n’avons pas eu de neige près des côtes, mais les plans d’eau étaient bels et bien gelés. D’ailleurs, voir les poissons nager dans leur bassin sous un couche de glace a généré un grand intérêt pour Colombe (4 ans) et Petit O’ (2 ans). J’ai alors voulu mener l’expérience des guirlandes de glaçons trouvée chez Maman Nougatine, mais je m’y suis prise un peu tard et le redoux était déjà le redoux était déjà là ! Il me fallait donc trouver une nouvelle idée pour le rendez-vous, et de toute évidence, je ne pouvais plus profiter de la météo (vous ne rêvez pas, je suis bien en train de me plaindre des températures plutôt douces de ces derniers jours… ). C’est alors que j’ai trouvé l’idée de ce mobile stalactite chez Kids Craftroom qui me paraissait très simple à faire pour un résultat très joli !
Le matériel
J’ai un peu changé la manière de faire car (pour une fois) je ne souhaitais pas mettre de paillettes sur cette activité (ok, je n’avais pas envie de ramasser des paillettes partout une fois le mobile accroché !). Mais ce que j’ai apprécié dans cette idée c’est qu’elle est facilement réalisable avec du matériel qu’on a tous à la maison !
- du papier aluminium
- de la peinture bleu et des pinceaux
- du fil
- une branche ou un morceau de bois pour servir de base au mobile.
- un ruban
- un tuteur
La réalisation
Avant de proposer l’activité aux enfants, j’ai découpé 5 morceaux de papier aluminium que j’ai ensuite pliés de manière à former un cône.
Puis j’ai proposé aux enfants de peindre ces cônes d’alu avec la peinture. Colombe (4 ans) s’est appliquée à mettre beaucoup de peinture partout et y a passé beaucoup de temps alors que je pensais qu’elle serait plus rapide que son frère. Petit O’ (2 ans) lui était plutôt dans la découverte. Il a bien observer la peinture qui se déposait sur l’aluminium, a essayé de peindre différents endroits du cône pour voir si les sensations étaient les mêmes. Puis il a constaté qu’il avait de la peinture sur les mains et a décidé d’en rajouter un peu et de peindre la tablette de sa chaise haute.
Une fois les cônes peints, il m’a suffit de replier l’extrémité la plus large sur un fil accroché à la branche qui sert de support au mobile. J’ai ajouté un ruban à la branche pour suspendre le mobile et je l’ai accroché sur un tuteur avec du washi tape et je l’ai posé dans les bacs de plantes sur mon balcon.
Dans une ambiance coloré notre mobile apporte un peu de lumière à la décoration de notre terrasse, pour le plus grand bonheur de Maurice (notre nain de jardin) et de Rosy (notre flamant rose) ! Alors, vous aimez ?
Toute ressemblance avec un personnes existantes ou ayant existé ou pas, et ayant la capacité de recouvrir la terre de neige en plein été est purement fortuite.
DIY : fabriquer un tablier en recyclant une vieille chemise
Comme vous le savez, dans la famille À Dada ! on aime beaucoup les activités manuelles ! Mais comme on a aussi envie de garder nos vêtements dans un état acceptable, le port du tablier est obligatoire dans la plupart des cas ! J’ai donc testé un certain nombre de modèles et j’ai pu me rendre compte que tous n’étaient pas très efficaces (les tabliers en plastique par exemple permettent de ne pas tâcher le vêtement, mais si on n’essuie pas tout de suite l’encre ou la peinture qui se dépose dessus, on en met absolument partout autour de soit…). Mais surtout j’ai eu l’occasion de me rendre compte que les tabliers pour enfants, aussi mignons soient-ils, sont souvent assez chers ! Alors j’ai cherché un moyen d’en faire moi-même et pour que la tâche soit facile, économique et respectueuse de l’environnement, j’ai tout simplement décidé de fabriquer un tablier en recyclant une vieille chemise.
Matériel nécessaire :
- De vieilles chemise en coton et en taille adulte (ainsi on n’a pas besoin de refaire des tabliers à chaque poussée de croissance des enfants). Ici j’ai recyclé les chemises usées de mon mari.
- Du fil élastique
- Fil, aiguille, voire une machine à coudre pour aller plus vite !
- Une paire de ciseaux
Réaliser un tablier en recyclant une chemise
Il faut d’abord couper le col de la chemise car cette partie un peu rigide pourrait gêner l’enfant dans ses mouvements.
Coupez également les étiquettes de la chemise qui pourrait gratter.
Coupez le bout des manches puis repliez le pour former un tube que vous aller coudre. Passez le fil élastique à l’intérieur du tube et fermez à la taille du poignet de l’enfant. Les coutures peuvent être faites grossièrement, cela ne se verra pas (et honnêtement c’est un tablier pour faire des activités manuelles qu’on coud, pas une robe de mariée).
Le tablier est prêt ! Ici nous l’utilisons pour la peinture et toutes les activités qui tâchent, mais aussi pour faire la cuisine ! Comme mon mari avait plusieurs chemises à mettre à la poubelle, j’ai pu fabriquer plusieurs tabliers et cela ne m’a rien coûté au final ! Et comme c’est du recyclage, j’ai l’impression d’avoir fait un petit geste pour la planète !
J’avoue que j’adore faire du neuf avec du vieux et trouver des solutions pas chères et bonnes pour la planète comme celle-ci, pas vous ?
Nos suspensions de Noël en rouleau de papier toilette
Quand on est blogueuse parentale option loisirs créatifs, il est un matériaux que l’on travaille tout particulièrement, et c’est le rouleau de papier toilette. Il n’est pas cher, on en a toujours chez soi (en tout cas il y en a toujours un qui s’apprête à se vider), et on peut faire des choses sympa avec (si si !). Cette année, il m’a inspiré pour les décorations de Noël, puisque j’aime les fabriquer avec les enfants, et j’ai décidé d’orner mon sapin de petites suspensions de Noël en rouleau de papier toilette (dis comme ça, je sais, j’envoie du rêve !).
Le Matériel
- Des rouleaux de papier toilette vide.
- Des perles de couleur.
- Du fil (on essaye d’en prendre un joli, j’en ai choisi un doré).
- Une aiguille (non il n’y a rien à coudre, c’est juste pour faire des trous)
- Une paire de ciseaux ou un cutter.
- De la peinture.
La réalisation
J’ai coupé chaque rouleau de papier toilette en 3 tubes de tailles à peu près égales, puis j’ai demandé à Colombe (3 ans 1/2) d’en peindre l’intérieur puis l’extérieur dans des couleurs choisies au préalables. Nous avons ensuite coupé des morceaux de fils d’une quinzaine de centimètres, nous y avons enfilé une perle sur chaque puis nous avons fait un nœud. Il doit y avoir un peu d’espace entre la perle et le noeud, mais la plus grande longueur doit être vers l’autre extrémité (je ne suis pas claire ? Heureusement, je mets des images !).
Puis j’ai percé deux petits trous dans chaque tube à l’aide d’une aiguille, et j’ai enfilé un bout du fil dans chaque trou. J’ai fait un nœud au bout du fil pour former la boucle qui permettra d’accrocher ces suspensions. Colombe était un peu petite pour réaliser ces étapes minutieuses, mais un enfant plus âgé pour le faire sans problème !
Et voilà nos suspensions de Noël en rouleau de papier toilette sur le sapin !
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