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Un mur de ballons ! (Apprendre en sautant !)

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Cette semaine, j’ai eu beaucoup de choses à faire à la maison et pas toujours le temps d’organiser des sorties pour permettre à ma Colombe de se défouler.
Or, si on ne sort pas le matin, il est fort peu probable qu’elle fasse une sieste l’après-midi. Et si elle ne fait pas de sieste… je ne peux pas me consacrer à ce que j’ai à faire à la maison !
J’ai donc mis en place une petite activité avec 3 fois rien comme j’aime le faire. Vous l’avez compris je pense, j’aime quand c’est rapide et facile à organiser, et si en plus ça peut occuper la petite pendant une long moment c’est génial !!!
Je lui ai tout simplement réalisé un “mur de ballons”.
Bon, ok, le terme mur est peut-être un peu exagéré, mais elle est encore petite (24 mois) et 5 ballons sont bien suffisants pour qu’elle s’amuse. Plus elle grandira et plus je mettrai de ballons !
La mise en place est simplissime :
  • j’ai d’abord retiré tous les meubles du couloirs afin que ma Colombe ne s’y cogne pas en virevoltant !
  • j’ai gonflé des ballons de différentes couleurs et les ai attachés à une ficelle.
  • j’ai accroché l’autre extrémité des ficelles à l’encadrement d’une porte (Ici la porte a été retirée, mais avec une porte ouverte ça marche aussi !). J’ai attaché les ficelles sur une barre de traction (z’avez vu comme on est sportifs dans la famille ! Ne riez pas, ceux qui me connaissent personnellement !) mais on peut très bien les fixer avec des punaises ou avec du masking tape, ce scotch qui se décolle facilement et sans laisser de trace ! Bon, cette dernière solution ne permet pas à l’enfant de tirer trop fort sur les ballons non plus

 

Pour jouer, c’est simple, on laisse parler son imagination.

Tout d’abord, proposez à l’enfant de courir à travers le mur de ballon. Cette simple action l’amusera pendant quelques minutes. Colombe a adoré ça, je pense que cela l’amusait de se cogner contre les ballons et de ne pas se faire mal ! Et puis courir c’est tellement drôle !

Notez les jolies couettes de ma fille ! ^^ Merci la brosse magique !

 

Ensuite, un peu à la manière du jeu des cercles de couleurs, demandez à l’enfant de nommer les couleurs des ballons, ou bien de “taper dans le ballon rouge”, “donner un coup de pied dans le ballon orange”. C’est à la fois un bonne exercice pour apprendre les couleurs et pour se dépenser physiquement !
Pour cet exercice, il est intéressant de placer les ballons à différentes hauteurs. Ainsi Colombe devait sauter pour “toucher le ballon jaune”, et elle pouvait aisément “donner un coup de pied dans le ballon orange”.

On peut aussi laisser l’enfant jouer librement. Colombe a ainsi recommencé ses allers-retours à travers le mur de ballon. Elle a aussi essayé de regarder à travers les ballons, ce qui l’a beaucoup fait rire.

 

Elle voit la vie en rose !

Nous avons joué ensemble pendant une trentaine de minutes. Colombe s’est ensuite un peu détournée de l’activité, mais elle y est revenue régulièrement dans la journée. Un simple passage de sa chambre au salon devenait une fête. Ça m’a d’ailleurs aidé à calmer une crise naissante ! “Non, ma chéri on ne peut pas sortir la peinture aujourd’hui… Mais viens, tape dans le ballon bleu !”
À la fin de la journée les ficelles étaient toutes entremêlées et il m’a fallu 5 bonnes minutes pour tout décrocher, mais j’ai tout de même pu conserver les ballons et les raccrocher les jours suivants !

Ah ! Et la sieste a été longue ce jour-là !

Alors ça vous tente de redécorer votre couloir avec un mur de ballons ?

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Il fait beau, ça vous dirait un pique-nique ? (recettes)

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Comme il faisait beau ce week-end, nous avons organisé avec des amis un petit pique-nique entre amis à l’Etang de Fontmerle. Chacun a rapporté à manger et nous avons partagé nos repas autour de la petite (mais conviviale) table de camping. L’occasion de passer un bon moment et de découvrir de nouvelles recettes !
Ah non ! On n’a pas mangé le canard ! (quoique… un bon petit magret !…)

Voici donc nos recettes :

D’abord un de mes incontournables : le houmous, ou crème de pois chiche

Houmous
  • une boîte de pois chiches
  • de la crème liquide
  • sel, poivre, cumin

Mixez les pois chiches en ajoutant de la crème jusqu’à obtention d’un mélange bien onctueux. Rajoutez le cumin, salez, poivrez.
C’est un très bon accompagnement avec de la viande grillée, des crudités ou des crackers. Et en plus c’est bon pour la lactation ! Ok, il n’y a que moi que ça rend heureuse, c’est ça ?

 Escalopes de dinde roulées

Escalopes de dinde roulées au fromage aux herbes.

Escalopes de dinde roulées aux pruneaux.

  •  4 escalopes de dinde très fines
  • du fromage frais aux herbes
  • des pruneaux
  • sel, poivre

Étalez du fromage sur deux des escalopes puis roulez-les dans le sens de la longueur. Coupez quelques pruneaux en deux et disposez-les sur le bord des deux autres escalopes. Roulez les escalopes sur la longueur. Salez, poivrez. Mettez le tout au four, et une fois cuites, coupez les escalopes en tranches.

Sandwichs aux légumes et aux oeufs

 

Sandwichs légumes et œufs
La technique imparable pour mettre des œufs de manière homogène dans un sandwich, c’est de battre les œufs comme pour une omelette et de les faire cuire en fines couches dans une poêle à crêpes !
Boulettes de riz
 

Boulettes de riz
 Je vous ai gardé le meilleur pour la fin, les boulettes de riz qu’a fait mon amie sont à tomber par terre !!! J’avoue tout, je crois que j’en ai mangé plus que tout le monde tellement je les ai trouvées bonnes ! Eh mais je mange pour deux aussi, hein !
  • Riz rond
  • Un peu de riz complet, de lentilles et de haricots rouges
  • 2 cuillères d’huile de sésame
  • sésame, sel
  • Des légumes au choix (ici c’était poivrons et oignons)
  • Du jambon (ou autre…)

Faites cuire le riz, les lentilles et les haricots rouges.
Découpez le jambon, les oignons et le poivron en petits morceaux. Faites-les revenir dans une poêle avec du beurre.
Mélangez tous les ingrédients ensemble dans un bol, en ajoutant le sésame et l’huile de sésame en dernier.
Faites des boules avec le mélange (le riz colle moins si on a les mains mouillées)

Alors, ça vous donne faim ? Moi j’irais bien refaire des boulettes de riz !
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Idée de sortie : L’Etang de Fontmerle

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Les beaux jours sont arrivés ici et nous en avons profité pour nous promener un peu avec les enfants près de l’Étang de Fontmerle.

 

Situé sur la commune de Mougins à 15 minutes de Cannes, le lieu est bien connu des personnes qui travaillent à Sophia Antipolis qui aiment y faire leur pause déjeuner lorsqu’il fait beau (Eh oui, la vie est belle dans la région !).

L’étang de 5 ha est bordé de sentiers très agréable pour faire du vélo, du jogging ou juste une petite promenade.
En cas de petite fatigue sur le chemin, vous pouvez faire comme nous et faire une pause sur l’un des observatoires d’où vous admirerez les différentes espèces d’animaux (70 a priori, mais j’avoue qu’à part les canards je ne sais pas reconnaître grand chose… !)

 

 

Sur un de ces observatoires nous avons eu la chance de voir des canards de très près. La réaction de Colombe : “Ils ont marché dans l’eau les canards !” (ah ! Oui effectivement ma chérie je viens de te demander de ne pas marcher dans l’eau et je n’ai pas réagi quand les canards l’ont fait !)

 

Après un tour de l’étang, nous avons posé nos affaires sur la prairie jouxtant le lac pour un petit pique-nic au soleil (mais bien protégés par les crèmes, les chapeaux et la tente anti-UV !) durant lequel nous nous sommes même fait un nouveau copain !

Alors si vous êtes dans la région ou si vous y passez pour les vacances, voilà une idée de lieu bien sympathique pour passer un moment en famille entouré par la nature !

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Apprendre en sautant !

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Comme beaucoup de mamans, je rêverais d’avoir des enfants très calmes, qui resteraient assis tranquillement à faire du coloriage pendant une heure entière…

Oui, je rêve… J’en ai le droit !
Mais quand je reviens à la réalité, je me rends compte que nos journées sont ponctuées par les “Aller on saute ! Aller on court !” de Colombe.
Bien sûr elle aime dessiner avec ses “quérounnes” (comprendre “crayons”), elle fait du coloriage, des gommettes, mais depuis toute petite ce qu’elle aime le plus c’est courir, grimper, sauter… bref elle adore bouger.
Voici donc une petite activité, pour amuser un enfant qui aime bouger et l’aider à apprendre les couleurs (notamment).
Il suffit de tracer plusieurs ronds de couleurs à la craie directement sur le sol. Nous jouons sur la terrasse, mais on peu très bien organiser ce petit jeu au parc.

Désolée pour la qualité des photos. C’est difficile d’avoir de belles photos avec tout ce soleil (mais on ne va pas s’en plaindre non plus !) !
Ensuite on invente plein de petits jeux pour apprendre les couleurs :

Par exemple on fait une ronde avec l’enfant (ok, une ronde à deux ça n’est pas très drôle mais ça plaît à ma Colombe) et on chante une petite chanson. À la fin de la chanson l’adulte prononce le nom d’une couleur et l’enfant doit courir se placer sur le rond de cette couleur.

On peut aussi jouer à une sorte de “Jacques à dit” pour apprendre, des verbes d’action en plus des couleurs. L’adulte dit à l’enfant de “courir vers le rond bleu” ou de “sauter sur le rond blanc”

Parfois je m’inspire aussi du jeu du Twister en disant à Colombe de toucher l’un des cercles avec une partie de son corps. Par exemple elle devra toucher “le cercle bleu avec sa main” et ensuite “le jaune avec son genou”… Si l’enfant est petit, il se relèvera après chaque action, mais on peut ensuite lui faire enchaîner les actions comme dans le jeu original.
Petite anecdote : j’ai dit à Colombe de poser son coude et je l’ai vue s’allonger par terre sur le ventre et tendre sa tête bien en avant afin que son cou touche le sol ! “Euh… Tu n’as pas bien entendu ma chérie…”

 

L’enfant peut jeter un ballon (ou un petit caillou) sur un des ronds et nomme ensuite la couleur.

On peut aussi reprendre tous ces jeux en remplaçant les ronds de couleur par diverses formes géométriques pour les faire découvrir à l’enfant !
Et voilà ! Juste avec quelques craies on peut s’amuser pendant une heure (et deux heures de sieste après, ça vous dit ?), et on peut même inventer de nouveaux jeux, alors à vos craies et soyez créatifs !
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DIY : Infinity dress

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Aujourd’hui j’ai envie de vous faire partager un de mes coups de cœur vestimentaires : l’Infinty dress. Comprenez en français, la robe infinie, car elle offre une infinité de possibilités.
Le principe est simple, il s’agit d’une jupe cercle comme ma jupe de maternité sur laquelle sont cousues deux bandes à nouer. C’est la manière dont on noue les bandes qui détermine la forme que l’on donne à la robe.
Dos nu, robe bustier, avec ou sans manche, tout (ou à peu près) est possible et c’est ce qui fait que cette robe va à toutes les morphologies.Voici quelques exemples de manières de porter la robe :

En ouvrant les bretelles par le haut et la ceinture par le bas, cette façon de porter la robe est super quand on allaite !

 

 

On peut même se servir d’accessoires pour nouer les bandes. Ici j’ai utilisé un collier :

Et en repliant la ceinture, on peut même en faire une jupe :

Et en se débrouillant bien on peut la transformer en petit haut :

Je l’ai même portée pendant ma grossesse. J’avais tout simplement fait une ceinture 2 fois plus haute que sur le patron. Malgré une couleur différente sur cette photo, il s’agit bien de la même robe à chaque fois.

Désolée pour la qualité de la photo, je n’avais pas pensé à faire
une photo spécialement pour le blog quand j’avais encore mon gros bidon !

Et pour ceux qui se poseraient la question, c’est mon gros ventre le 24 décembre dernier, soit à 4 jours du terme (et 6 jours de la naissance puisque rappelons-le Petit O’ n’était pas pressé de sortir !)

 

En soit, la robe est facile à coudre, mais il faut faire attention au tissus qu’on choisit. Elle doit être faite en jersey, mais je déconseille de prendre un jersey contenant trop élasthanne. C’est le (mauvais) choix que j’avais fait, et j’ai dû tout coudre à la main car le tissus ne glissait pas sous le pied de ma machine à coudre !
Le gros plus de ce modèle : il ne nécessite aucun ourlet ! Il est donc rapide à coudre (je dirai 2h quand on coud à la main).
Bon, cette fois je vous fais grâce de mes explications et de mes petits dessin pour le DIY et vous renvoie vers celui publié sur Petit Citron et dont je m’étais moi-même servi.C’est devenu ma robe fétiche. Elle m’allait super bien quand j’étais enceinte et est très pratique pour l’allaitement. Et niveau budget on peut s’en tirer pour une petite trentaine d’euros c’est donc un super investissement ! (Quand on voit le prix de certaines fringues de grossesse ou d’allaitement !)
Et si on n’allaite pas et qu’on n’est pas enceinte ? Elle est quand même super sympa !

Petit Bonus : la robe peut être portée de tant de manières différentes qu’on peut toujours en découvrir ou en inventer de nouvelles. Pour cela, je vais régulièrement taper Infinity Dress sur les moteurs de recherche !
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Tangle Teezer

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Article non sponsorisé.

Jusqu’au mois dernier, coiffer les cheveux de ma Colombe tenait de la torture !

Comme pour beaucoup de petites filles, la séance débutait par une course-poursuite à travers l’appartement. Puis une fois assise sur la table à langer (choisir un lieu duquel l’enfant ne peut pas s’enfuir !) Colombe suppliait, pleurait… “Non maman, non maman…”
Je ne supportais plus de la voir souffrir matin et soir…
J’ai même parfois renoncé à la coiffer (oui, la petite fille avec le look “sauvage” c’est la mienne !)
Colombe à des cheveux très bouclés, assez fins, et qui en moins d’une journée ou d’une nuit forment plein de petites dread locks…
Bref, un calvaire à coiffer.
Je me suis mise en quête de remèdes miracles sur le web (parce que bien sûr cette nature de cheveux elle ne la tient pas de moi, donc je ne suis pas habituée au problème). Étant très méfiante par rapport aux produits de beauté et aux ingrédients qu’ils peuvent contenir, je cherchais un remède “sain”.
Et il y a un mois, la révélation, j’ai entendu parlé de Tangle Teezer !
Tangle Teezer qu’est-ce que c’est ?
C’est une brosse à cheveux, c’est tout.
Bon, ok, c’est une brosse à cheveux en plastique qui démêle les cheveux en douceur grâce à ses picots de tailles différentes.
Ici le “crash test” a été parlant. À partir du jour où je l’ai utilisée, Colombe à cessé de courir partout dans l’appartement pour éviter de se faire coiffer (bah zut, ça me faisait faire du sport tout ça !). Il lui arrive encore d’avoir un peu mal, mais beaucoup moins qu’avant. Du coup je ne baisse plus les bras et je la coiffe de nouveau tous les jours ! (Oui, la petite fille avec les jolies couettes, c’est la mienne !)

Les points forts de Tangle Teezer :
  • Elle démêle vraiment les cheveux en douceur !
  • Toute en plastique, elle est d’autant plus facile à laver que ses picots n’ont pas ce petit bout rond qui empêchent de bien retirer les cheveux.
  • Elle a une forme assez spéciale qui permet de la prendre bien en main. Même les petites mains arrivent à l’attraper, un plus pour apprendre à se coiffer seul !
  • Ses petits picots massent le cuir chevelu. Un vrai moment de détente !

Les points faibles de Tangle Teezer : 

  • Même si sa forme est facile à prendre en main lorsqu’on se coiffe, j’aurais préféré avoir un manche pour coiffer Colombe.
  • Lorsqu’on s’en sert dans le bain ou sous la douche, elle a tendance à se remplir d’eau. Il faut alors la secouer longtemps pour la vider…
Vous l’aurez compris, j’ai été tellement bluffée par le changement de comportement de Colombe que j’ai voulu essayer cette brosse magique, et je n’ai pas été déçue ! Je pense même remiser ma vieille brosse au placard !
Et vous, vous avez aussi adopté cette brosse ? Vous courez le marathon à chaque fois que vous devez coiffer vos enfants ?
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L’Art est un Jeu d’Enfant : Fêtons les fleurs !

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Voici ma première participation au rendez-vous l’Art est un Jeu d’Enfant organisé par Le Pays des Merveilles !
Pour ceux qui ne connaissent pas, le principe consiste à publier le 1er jour du mois un article présentant une activité réalisée à partir d’un thème donné.
Le thème de ce mois-ci est : “Fêtons les fleurs”.
C’est vrai que le printemps vient d’arriver et que l’on peu maintenant profiter de jolies fleurs tout autour de chez nous. J’avais donc envie de fleurir un peu mon balcon. J’ai d’abord pensé planter de belles fleurs, décorer un pot avec Colombe et lui expliquer la germination, la floraison… Mais la germination à 2 ans… Et puis je n’ai pas la main verte, et d’ailleurs je ne fais pousser chez moi que des choses qui se mangent !
Et finalement en cherchant l’inspiration, je suis tombée sur des images des fleurs de l’artiste japonais Takashi Murakami. Ce sont des fleurs très colorées, à l’allure de smiley avec leur large sourire. Leur esthétique enfantine me paraissait attrayante pour ma petite Colombe et j’ai donc commencé à lui présenter quelques œuvres de l’artiste.
Puis nous nous sommes mises au travail et avons réalisé des fleurs dans le style de celle de Murakami, pour égayer nos jardinières.
Le matériel :
  • Une paille pour la tige
  • Des bouchons en plastique (ceux des bouteilles de lait sont parfaits)
  • Des petits yeux
  • Des bouches et pétales découpés dans des feuilles de mousse
  • De la colle

Colombe a soigneusement collé les deux yeux et la bouche de la fleur (ok, je suis repassée derrière avec de la super Glue parce que la colle de bureau n’est pas appropriée, mais je me voyais mal lui confier autre chose !)

Puis elle a pris les devant sur l’activité et à chercher à comprendre d’elle-même comment fixer la tige et la fleur…

… Mais ses essais n’ont pas été très fructueux, alors je lui ai expliqué qu’il fallait qu’elle mette les pétales sur le bouchon. Ce fut un exercice précis qui lui a demandé de faire preuve de concentration.
Et finalement, Colombe a décidé que les pétales étaient bien plus jolis en bracelet autour de son poignet. Comme quoi on ne sait jamais comment va tourner une activité !
Finalement j’ai terminé les fleurs toute seule, mais il ne restait que quelques points de colle forte à mettre et la tige à fixer à l’arrière du bouchon avec du scotch.

Et voilà le résultat ! Nous avons maintenant un balcon fleuri et qui nécessite peu d’entretien !!!

J’ai préféré prendre une photo par jour de beau temps, mais nos fleurs ont très bien résisté à la pluie !


En bonus, voici quelques liens pour en savoir plus sur Takashi Murakami :
Lifeproof : L’Art expliqué aux enfants
Art Actuel

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Et si on rédigeait un projet de naissance positif ?

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Pour mon premier accouchement je n’avais pas rédigé de projet de naissance.
J’en avais entendu parler, j’avais même trouvé des exemples sur internet mais ils ne me correspondaient pas.
Tout ce que j’avais pu lire en cherchant “projet de naissance” sur les moteurs de recherche, c’était des listes énumérant ce que leurs auteurs refusaient au cours de leur accouchement. Les exemples proposés avaient souvent été rédigés par des futures parents qui désiraient un accouchement des plus naturels (pas de péridurale, pas de position imposée, ne pas couper le cordon…), et leur projet de naissance me donnait l’impression d’être là pour mettre à distance le personnel médical.
Je ne savais pas quoi mettre dans cette lettre. Bien-sûr je ne désirais pas un accouchement tellement médicalisé que je ne le vivrais pas, mais je ne voyais pas non plus l’intérêt de trop souffrir et voulais donc une péridurale. Je ne voulais qu’on laisse l’accouchement se dérouler le plus “naturellement” possible, mais tout est relatif car par cela j’entendais : “Mais si ça se passe mal, vous intervenez vite, hein ?”.
Alors je n’ai pas rédigé de projet de naissance.
Pendant ma deuxième grossesse, j’ai lu un article qui incitait les couples à rédiger un projet de naissance positif.
Au lieu de faire un inventaire de ce que l’on refuse, pourquoi ne pas évoquer plutôt ce que l’on désire pour cet accouchement à venir ?
L’idée m’inspirait bien plus !
Je me suis alors penchée sur mes souvenirs de mon premier accouchement et me suis demandée ce que j’aurais aimé y changer, mais aussi ce que je voulais revivre de la même manière (pensée positive !) et j’ai couché cela sur le papier.
Ce petit papier était dans mon dossier médical, mais je ne l’ai pas brandi à la sage-femme à mon arrivée dans la salle d’accouchement comme s’il s’agissait d’un contrat dont elle allait devoir respecter toutes les closes ! En fait je ne l’ai même pas sorti… Je savais qu’il était à sa portée, au tout début de mon dossier, et qu’elle pouvait le lire si elle le voulait.
Je ne sais pas si elle l’a lu, mais qu’importe, car coucher mes idées sur le papier m’avait aidé à les organiser… et à m’en souvenir le jour J ! Oui parce qu’on n’est pas toujours au mieux de sa forme à ce moment-là. En arrivant en salle d’accouchement, j’ai donc posé LA question qui me taraudait : la sage-femme allait-elle rester avec moi pendant la pose de la péridurale ?J’ai vu son air surpris lorsqu’elle m’a demandé si la pose de la péridurale s’était mal passée la première fois. Je lui ai donc répondu : “Non, au contraire ça s’est extrêmement bien passé. Une sage-femme m’avait aidée à me concentrer sur ma respiration et je n’ai absolument rien senti. J’aimerais revivre les choses de la même manière.” Là j’ai bien senti qu’elle n’était pas habituée à ce qu’une patiente soit contente ! J’ai eu l’impression qu’elle appréciait que je lui demande de l’aide (peut-être que beaucoup de femmes préfèrent que leur mari soit là, moi je préfère être entourée de professionnels qui ont l’habitude) et je la remercie d’avoir fait en sorte que je sois bien accompagnée (par elle et par une infirmière) même si le service était débordé à ce moment-là !
Rédiger ce projet de naissance m’a donc permis d’être au clair avec moi-même et de pouvoir mieux prendre les décisions avec l’équipe médicale. Mais ça a été aussi l’occasion de reparler du premier accouchement avec le Papa et de lui demander comment il l’avait vécu. Mettre les choses sur le papier m’a encouragé à communiquer avec toutes les personnes qui m’entouraient, et finalement c’est certainement ce qui m’avait manqué la première fois, je n’avais pas toujours osé poser les questions ou dire au papa ce que j’attendais de lui.Pour les “primi”, ça n’est pas simple d’avoir le recul, mais ça peut être l’occasion d’échanger avec les copines et de les pousser à parler de ce qu’elles ont apprécié lors de leurs accouchements (parce qu’on a tendance à beaucoup parler de la douleur et des quacks !).

Mes conseils pour rédiger son projet de naissance :

  • Mentionner les actes que l’on refuse s’il y en a, mais ne pas se limiter à ça.
  • Définir la place du personnel médical. On peut très bien vouloir beaucoup d’intimité pour ce moment et décider que l’on ne veut pas que le personnel vienne trop souvent. Au contraire, on peut avoir besoin d’un soutien de la part des professionnels qui vivent des accouchements tous les jours, et vouloir les avoir auprès de soi souvent de manière à tirer profit de leur expérience.
  • Définir la place du papa avec lui. S’il n’a pas envie de couper le cordon, autant le savoir. Et autant qu’il sache si vous voulez qu’il soit là tout le temps ou au contraire si vous avez besoin “d’un peu d’air”.

Bien-sûr, rien n’est définitif. On peut très bien changer d’avis en cours de route, en fonction de qui se passe pendant l’accouchement. Par exemple on a tout à fait le droit de ne pas vouloir de péridurale et finalement changer d’avis face à la douleur (enfin à condition de ne pas avoir zappé le rendez-vous avec l’anesthésiste !). On peut aussi avoir dit à Chéri qu’on voulait une ambiance feutrée, avec une petite musique douce et des mots d’amour, et finir le travail en lui broyant la main tout en lui balançant des insultes (La main de Papa à Dada va très bien, merci pour lui !).
Finalement c’est au cours de l’accouchement que les choses se définiront, et tout dépendra des personnes présentent, mais aussi beaucoup de la nature !



Et vous, vous avez rédigé un projet de naissance ? Plutôt positif ? Qu’est-ce que ça vous a apporté ?

 

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Gratin de chou-fleur à la crème de poireau

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Bien que le printemps soit là, on a encore parfois besoin de se réchauffer un peu. Pour cela, je vous propose aujourd’hui une petite recette de gratin.

Le gratin de chou fleur est un incontournable à la maison car la petite Colombe adooooore le chou-fleur. Alors quand je n’ai pas envie que le repas soit une prise de tête, je lui en fais. Et à raison d’une ou deux fois par semaine (Bah non je n’aime pas trop me prendre la tête, et le chou-fleur c’est plutôt sain, alors j’en abuse !) il faut un peu d’imagination pour varier les recettes !

Cette fois, c’est un reste de fondue de poireau qui m’a inspirée ! On a l’inspiration qu’on peut…

Les ingrédients :

  • Un petit poireau
  • Un chou-fleur
  • Deux cuillères à soupe de crème fraîche (ou plus… chez moi c’est généralement plus)
  • Une cuillère à café de moutarde
  • 50g de beurre
  • 50g de farine
  • 60cl de lait
  • Du fromage râpé
  • sel, poivre…

La recette :

Lavez le poireau et coupez-le en fines lamelles puis faites-le cuire dans une sauteuse, couvercle fermé, avec un peu de beurre.
Mélangez la crème et la moutarde dans un récipient et ajoutez-le au poireau une fois celui-ci bien cuit.
Retirez du feu et mixer le tout avec le lait. Réservez.
Faites cuire le chou-fleur à l’eau, puis disposez-le dans un plat qui passe au four.
Faites votre béchamel : faites fondre le beurre et ajoutez-y la farine. Une fois un mélange homogène obtenu, versez le mélange lait-poireau sans cesser de remuer.
Versez votre béchamel sur le chou-fleur et recouvrez-le de fromage râpé.
Mettez au four à 200° pendant 15 à 20 minutes, puis passez à table !

Bon appétit !

Cet article participe au rendez-vous “La cuisine des restes” sur le blog La Cuisine de Quat’sous

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Jour et Nuit

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Il y a quelques semaines, je vous parlais de notre visite au Festival des Jeux de Cannes et de ce que nous y avions découvert, mais je ne vous avais pas tout dit…

Parmi nos belles trouvailles, il y a un jeu que nous avons offert à Colombe.
Jour Et Nuit
S’inspirant du Tangram et du jeu d’abaques, “Jour et Nuit” consiste à reproduire des scènes affichées sur un modèle, à l’aide de pièces en bois de couleurs et de formes diverses.
Dans la boîte, on trouve donc un livret de jeu, un support en bois avec 3 tiges, et 10 pièces de bois.

Il s’agit d’un jeu évolutif comprenant 48 défis répartis sur 4 niveaux. Les 24 premiers défis présentent une scène “de jour”, c’est à dire que l’on voit à la fois la forme et la couleur des pièces. Les 24 défis suivants présentent une scène “de nuit” sur laquelle on ne voit que la silhouette de chaque pièce. À chaque scène de nuit correspond une scène de jour, il est donc facile de vérifier si l’on a réalisé son défi.

Niveau 1 

Niveau 25 : équivalent “nuit” du niveau 1

Le jeu est conseillé entre 3 et 6 ans (enfin sur le devant de la boîte, parce que sur l’arrière et dans le livret ils parlent de 18 mois à 5 ans…), ce qui en fait déjà un investissement rentable, mais je pense qu’un enfant peut s’y intéresser bien plus longtemps que cela. Avant 3 ans, l’enfant peut manipuler les pièces librement ou relever les défis les plus simples s’il est accompagné. Au-delà de 6 ans un enfant pourrait par exemple observer une fiche sur un temps donné et tenter de la reproduire de mémoire uniquement.
Ici, on a complètement adopté ce jeu, Colombe nous le réclame tous les jours très souvent et à chaque fois elle joue longtemps avec. À tout juste 2 ans, elle est incapable de réaliser les défis toute seule. Donc généralement nous nous installons avec elle pour la guider et l’aider à trouver la bonne place et le bon sens pour chaque pièce. Cela donne lieu à un échange au cours duquel on évoque les formes, les couleurs et les positions dans l’espace. Après un ou deux défis, nous laissons Colombe construire comme elle veut et nous raconter des petites histoires au gré de ses constructions et des nôtres car elle adore nous voir imaginer de nouvelles scènes ! Pour le plaisir, voici quelques exemples :

Une reine et un roi à côté dune grenouille ! Bah quoi, vous ne voyez pas la grenouille ? Vous ne connaissiez pas le concept de couronne haut de forme ?

Là c’est un monsieur en voiture qui rentre dans sa maison (près d’un arbre) où sa femme l’attend.

Ensuite, nous laissons généralement Colombe jouer seule. Alors, elle continue ses petites constructions avec ou sans support, parfois même sur ses doigts.

Voilà, avec quelques pièces colorées, on peut créer encore et encore. Et à chaque séance de jeu, Colombe développe sa concentration et son imagination, ainsi que sa motricité fine, ses repères dans l’espace, son vocabulaire, son raisonnement logique… et certainement un tas d’autres choses.

Vous l’avez compris j’ai un très gros coup de cœur pour ce jeu. Alors si vous avez un cadeau à faire, n’hésitez pas, allez sur le site de Didacto sur lequel vous trouverez Jour et Nuit, ainsi que plein d’autres jeux éducatifs “de 3 mois à 120 ans ! ”

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