activité manuelle
Bouteilles sensorielles de mélange de couleurs
À 3 ans et 4 mois, Colombe connaît très bien le nom des couleurs, mais elle ne maîtrise pas encore bien la notion de “clair” ou de “foncé” et elle ne sait pas encore comment mélanger différentes couleurs pour en obtenir de nouvelles. Alors je lui ai proposé plusieurs activités sur ces thèmes en m’appuyant sur le livre “Mon domino des couleurs” que nous avions reçu dans la Box de Pandore. La première de ces activités est en fait une petite expérience que j’avais envie de mener : fabriquer des bouteilles sensorielles de mélange de couleurs. Le principe est simple : dans une bouteille, mettre deux liquides de densité différentes, chacun d’une couleur différente. En secouant la bouteille, les deux liquides se mélangent et la bouteille prend une couleur uniforme. Puis, peu à peu les liquides se séparent et les couleurs aussi. La bouteille reprend alors ses deux couleurs d’origine !
Ça, c’est sur le papier !
Dans les faits, le problème est un peu plus compliqué et je dois vous avouer qu’aujourd’hui je vais vous présenter une activité dont le résultat ne m’a pas satisfaite. Je voulais créer des bouteilles que nous pourrions utiliser à l’envie et que nous pourrions emmener partout. J’ai choisi de faire mes bouteilles dans des petites fioles (j’ai utilisé les fioles de vinaigrette qui accompagnent les salades Sodebo). J’ai coloré l’eau avec du colorant alimentaire standard, et l’huile avec du colorant liposoluble en poudre. J’ai ensuite rempli les fioles comme suit :
- Eau jaune et huile bleue pour obtenir une fiole verte
- Eau rouge et huile bleue pour obtenir une fiole violette
- Eau jaune et huile rouge pour obtenir une fiole orange
J’ai mis beaucoup de colorant dans l’huile, le bleu ressort donc très foncé. Sur la photo, on peut voir les 3 fioles quelques minutes après leur création. La seule qui avait déjà été mélangée est la fiole jaune et bleue, et c’est pour cela que l’eau jaune a déjà tendance à devenir verte. Car finalement, une fois les deux liquides mélangés on obtient bien la couleur recherchée, mais lorsque les liquides se séparent, la couleur la plus claire reste marquée par la plus foncée…
Même si l’effet n’était pas parfait, nous avons aimé observer les mélanges et la séparation des liquides. Colombe a constaté la formation d’une couleur secondaire par le mélange des couleurs primaires, mais ça n’est pas ce qui l’a le plus intéressée. Je pense qu’elle a surtout aimé voir les mouvements de liquides et qu’elle a adoré secouer les fioles !
Finalement, les fioles sont utilisables quelques heures, et la séparation des liquides est moins nette à chaque mélange.
J’ai tout de même gardé ces fioles pour observer leur conservation. La fiole “orange” n’a plus aucun intérêt : le colorant jaune ne se voit presque plus, quand au colorant rouge, il forme de gros dépôts sur la zone de contacte des deux liquides. Les fioles “violette” et “vertes” sont plus jolies, on dirait maintenant des bouteilles de lave !
Je ne suis pas la seule à avoir testé, mon amie du blog L’esprit vient en jouant est arrivée aux mêmes conclusions que moi et toutes deux, nous cherchons encore une solution pour réaliser ce genre de bouteilles de manière durable et en utilisant des ingrédients sans danger pour les enfants. Il semble exister une solution utilisant de l’huile pour lampe colorée en bleu ou en rouge, on peut la voir ici, mais cela me semble bien trop risqué de mettre cela entre les mains de mes enfants ! Le même blog semble avoir réussi l’expérience avec des colorants pour bonbons (donc le même genre de colorants que ceux que nous avons utilisés), sans qu’on puisse comprendre ce qui a fait la différence avec nos essais. Après contact, nous n’avons obtenu aucune réponse…
Alors s’il y a parmi vous des super-chimistes qui ne résistent pas au challenge, des savants-fous désireux de faire la trouvaille du siècle ou même des alchimistes en mal d’une nouvelle quête, n’hésitez pas à vous pencher sur la question et à nous contacter, L’esprit vient en jouant et moi !
DIY : Blédina fête les Papas !
La fête des pères approche et il n’y a rien de plus beau à offrir qu’un cadeau fait par les petites mains de son enfant. Alors quand Blédina m’a proposé de créer un cadeau pour la fête des pères avec mon Petit O’ (17 mois) en utilisant des emballages de leur gamme de produits Les Petits Explorateurs (de 10 mois à 3 ans), j’ai tout de suite sauté sur l’occasion ! Vous me connaissez, les loisirs créatifs, j’adore ça, et en plus quand on peut y allier revalorisation des emballages, je suis aux anges !
La Gamme de produits Les Petits Explorateurs
Entre 10 mois et 3 ans, nos enfants sont de véritables petits explorateurs. C’est le moment où ils apprennent à marcher, à grimper, où ils essayent de toucher à tout et testent ce qu’ils ont le droit de faire ou non ! Il n’y a qu’à voir comme Petit O’ aimerait tout faire comme un grand et surtout comme il voudrait tout faire seul !
C’est aussi le moment où l’on commence à cerner le caractère de notre enfant et ici on sent déjà que Petit O’ sera un grand farceur au cœur tendre !
Mais même si l’on est bien loin du nourrisson qu’on a tenu tout contre soi, nos petits explorateurs sont encore des bébés, et en tant que tels, ils ont des besoins bien spécifiques et qui ne sont pas les mêmes que ceux de leurs grands frères et sœurs. Ils ont bien sûr besoin qu’on les accompagne dans leurs nouvelles acquisitions, en assurant leurs gestes, en les encourageant et en les guidant vers les activités qui correspondent à leur âge et qui éveilleront leur curiosité. Il en est exactement de même en matière de nutrition : il faut accompagner l’enfant dans sa découverte des nouvelles saveurs et des textures, tout en respectant des quantités et des apports nutritionnels adaptés. Saviez-vous par exemple que proportionnellement à son poids, un enfant de 12 mois a besoin de 3 fois plus de lipides, 2 fois moins de sel et 2,5 fois moins de sucre ajouté qu’un adulte ? Bref, bébé ne peut pas manger comme nous ! Mais il peut tout de même découvrir de nouvelles saveurs !
Blédina accompagne cette découverte avec des produits respectant les besoin des bébés et pratiques à utiliser, et j’ai eu la chance d’en recevoir à la maison !
- Blédilait croissance, le bon lait qui contient les nutriments essentiels aux besoin de mon Petit O’, avec ses bouteilles rigolotes pour apprendre le nom des animaux !
- La Blédine croissance pour un biberon plus savoureux encore, avec 2 fois mois de sucres que les poudres cacaotées (moyenne des poudres cacaotées céréalières pour le petit déjeuner consommées en France à partir de 12 mois)
- Mon 1er Biscuit au chocolat : le petit gâteau que mon Petit O’ adore manger pour le goûter.
- Blédichef : plus de 40 recettes inspirées de la cuisine des grands pour éveiller chaque jour ses papilles à de nouvelles saveurs !
- Les mini lactées, riches en calcium et source de fer, le petit plaisir de mon garçon au dessert et pour le goûter.
- Les gourdes fruits et lactées, idéales au goûter pour faire le plein de fruit avec leur 9 recettes dont certaines très originales et tellement bonnes qui j’en mangerai bien aussi ! (Nous venons de tester “Banane Pomme Mangue lait de coco” ainsi que “Douceur Pomme Carotte Mangue”, c’était un délice ! Eh oui, j’ai goûté aussi, j’étais trop curieuse ! ).
Blédina fête les papas : un diorama Petit Explorateur dans la jungle !
Le matériel :
- Une assiette Blédichef
- Une boîte de blédine ou de “mon 1er biscuit”
- De la peinture à doigts
- Des ciseaux à bouts ronds
- Quelques feuilles de papier épais
- Des autocollants double-face
- Une petite attache pour cadre
- Du ruban adhésif
La réalisation :
Pour cette réalisation, j’ai voulu impliquer mon Petit O’ (17 mois) au maximum, alors j’ai essayer de simplifier les opérations le plus possible. Bien évidemment, il y a des parties de la réalisation qui ne lui sont pas accessibles, comme la découpe des morceaux de papier. C’est alors moi qui m’en suis chargée, mais on peut tout aussi bien demander l’aide des grands frères et sœurs !
Tout d’abord, nous avons fait de la peinture pour créer nos éléments représentant la jungle. J’ai proposé plusieurs techniques à Petit O’. Il a peint le fond avec un pinceau en utilisant de la peinture à doigts bleu et verte. Son geste a d’abord été hésitant, puis en prenant exemple sur ce que je lui montrais, il a vite pris plaisir et a rempli sa feuille. Pour les feuillages, je lui ai fait faire des empreintes de main sur une feuille avec sa peinture à doigts verte. Il a été très surpris que je recouvre la paume de sa main avec de la peinture ! J’ai alors collé puis décollé sa main sur une feuille blanche et j’ai vu qu’il aimait la sensation procurée, mais aussi qu’il était étonné du résultat ! Il a alors pris beaucoup de plaisir à recommencer et nous avons obtenu de nombreuses et belles empreintes ! Enfin, j’avais besoin d’une feuille peinte dans sa quasi intégralité en marron et vert, j’ai alors proposé à Petit O’ de la peindre à la main. C’est certainement la technique qui lui a le moins plu, alors je lui ai donné un petit coup de main !
Cet atelier peinture m’a permis d’avoir suffisamment de feuilles pour y découper les éléments nécessaires au décor : des empreintes de main vertes, une bande de 3,3 cm de large découpée sur la longueur de la feuille marron (soit 29,7cm), une petite partie découpée à la forme de l’assiette Blédichef dans la feuille marron et verte, et un cercle de 9 cm de diamètre dans la feuille bleue. J’ai également découpé Blédinou, le petit personnage qu’on trouve au dos de la boîte de “Mon 1er Biscuit” (ou de la boîte de blédine), et j’ai laissé une petite bande de carton pour lui faire un socle. Blédinou est déguisé en tigre, mais sur d’autres paquet (la blédine) il est déguisé en singe, à vous de choisir celui qui vous plaît le plus !
On passe alors à l’assemblage ! J’ai choisi de fixer les morceaux de papiers avec de l’autocollant double-face pour éviter de faire gondoler le papier avec de la colle, mais aussi pour pouvoir proposer à mon Petit O’ de coller les doubles-faces. Finalement, le geste était encore un peu difficile pour lui, alors à part ceux qu’il a placés dans le fond de l’assiette, c’est moi qui les ai posés. Mais au moins il a essayé ! Voici donc en photos les différentes étapes : coller le cercle au fond de l’assiette, la bande de papier sur le bord intérieur de l’assiette puis coller Blédinou par dessus, coller la partie marron sur le dessus de l’assiette et enfin, disposer et coller les empreintes de mains de manière à ce qu’elle forme un feuillage touffu. Je vous conseille de trier les empreintes avant de les coller. Mettez les moins réussies en premier et coller les plus jolies sur le dessus afin de garder un beau souvenir des petites mains de Bébé !
Enfin, la dernière étape consiste à fixer l’attache pour cadre avec du ruban adhésif au dos de l’assiette.
Et voilà notre diorama Petit Explorateur de la jungle terminé ! Dimanche, Papa À Dada ! sera bien gâté !
La petite astuce pour plus de personnalisation : vous pouvez découper le visage de Blédinou et y mettre une petite photo de votre bout de chou à la place !
Alors qu’en pensez-vous ? Notre Petit Explorateur vous plaît ? Vous pensez que cela va plaire à Papa À Dada ? Ici on a hâte d’être à dimanche pour lui offrir !!!
Créer des visages à la manière de Picasso
Ce mois-ci, Voyageons Ludique, le rendez-vous de Souris Maman nous emmène en emmène en Espagne. Je vous l’avoue tout de suite, c’est un pays que je connais mal ! Mais je n’ai pas pris part au rendez-vous depuis deux mois et je ne voulais pas faire faux bon une fois de plus. Alors j’ai choisi d’aborder le thème à travers un artiste que j’aime bien : Pablo Picasso.
Pour l’anecdote, je suis allée à Madrid quand j’étais étudiante. J’y étais pour un séminaire et j’avais peu de temps libre, mais je voulais absolument voir Guernica. Alors un matin je me suis levée aux aurores et j’ai fait l’ouverture du musée du Prado. J’ai pris tout mon temps pour la visite et c’est arrivée à la fin que j’ai ouvert mon guide touristique, m’étonnant de ne pas avoir vu le tableau de Picasso. J’ai donc vite compris mon erreur : Guernica est exposé au musée Reina Sofia. J’ai quitté le Prado, me suis rendue au Reina Sofia le plus vite possible, j’ai visité ce musée au pas de course et j’ai finalement vu Guernica. Je suis entrée dans une grande salle (enfin c’est le souvenir que j’en ai) et la toile était là ! Mon étourderie m’aura au moins permis de visiter un peu plus que je ne pensais possible dans le temps qui m’était imparti !
Revenons-en à notre activité ! Après avoir présenté quelques tableau de Picasso à Colombe(mais pas Guernica car à 3 ans, c’est peut-être un peu sombre comme tableau), je lui ai fait remarqué que le peintre présentait des yeux de côté, d’autres de face, qu’il y avait des bouches qui semblaient trop petites, que les couleurs étaient très nombreuses et tout cela sur un même tableau. Pour ma petite de 3 ans ça a été l’occasion de parler de perspective et de point de vue (bon, on a juste aborder le sujet, hein !). Je lui ai alors proposé de faire des portraits sur le même modèle.
Matériel nécessaire :
- des magazines à découper
- des ciseaux
- de la colle
- des crayons de couleur ou des feutres
Réalisation :
Comme nous étions prises par le temps, c’est moi qui ai cherché et découpé les éléments dans les magazines. J’ai donc présenté des yeux, des nez, des bouches et des oreilles à Colombe et lui ai proposé de les coller sur une feuille pour former un visage.
Et c’est à 4 mains que nous avons créé nos visages. En plus de l’exercice de collage, ça a été l’occasion de revoir les parties du visage (enfin ça a été utile pour Petit O’ (17 mois) plus que pour Colombe), et de travailler le vocabulaire (parce que “un oeil”, “des yeux” mine de rien ça n’est pas si facile à maîtriser).
La conclusion de ma Colombe est : “Ils sont bizarres ces visages. Moi je n’ai jamais vu de visages comme ça.” . Je suppose qu’elle sous entend que ces représentations sont loin de la réalité, mais au moins cette activité l’aura amenée à se poser quelques question. Nous avons passer un bon moment et je pense que je vais ajouter une petite “boîte à visages” dans notre boîte à découper : je laisserai des magazines à la disposition de Colombe pour qu’elle y découpe des éléments et nous jouerons à créer de nouveaux personnages !
Palme d’Or-DIY
Vous êtes à Cannes et vous cherchez un souvenir à rapporter ? Bien évidemment vous écumez les boutiques pour trouver le souvenir idéal, celui qui représente parfaitement l’image que vous avez en tête lorsqu’on vous parle de Cannes : la Palme d’Or ! Eh bien ne cherchez plus ! Ça n’existe pas !
À l’office de tourisme et dans les boutiques de souvenirs on vous proposera de nombreux objets décorés d’une palme (emblème de la ville), mais point de petite Palme d’Or. À croire que seuls les films primés la méritent ! Et pourtant, de grands acteurs et des prix d’interprétation dramatique, dans votre quotidien vous en croisez beaucoup , à commencer par vos enfants je suis sûre ! Alors aujourd’hui je vous explique comment fabriquer vous-même votre propre Palme d’Or. Belle, élégante et toute en simplicité, elle donnera du charme à votre décoration et récompensera les plus belles prestations de vos bambins !
Le matériel :
- une feuille de carton
- une paire de ciseau
- un crayon
- de la peinture dorée et un pinceau
- de la colle
Réalisation de la Palme d’Or :
Dans la feuille de carton, découpez un rectangle, une tige et une palme. À l’aide de petites mains, peignez tous les éléments avec la peinture dorée et laisser sécher.
Pliez la tige sur une extrémité et collez la plus petite partie à la base en carton. Collez l’autre partie de la tige sur l’envers de la palme. Laissez sécher. Si la palme a tendance à tomber vers l’arrière, on peut fixer un petit morceau de papier pour caler la tige.
Et voilà la Palme d’Or prête à être offerte aux plus grands interprètes !
Pour la personnaliser, vous pouvez ajouter une petite étiquette mentionnant ce qu’elle récompense. Ici, je ne pouvais pas choisir alors j’en ai fabriqué 2. Une pour le prix d’interprétation “des yeux de chat suppliant” de ma Colombe et sa fameuse réplique : “J’aimerais bien avoir un jouet comme ça moi.”. L’autre pour le prix d’interprétation dramatique décerné à mon Petit Olivier pour son rôle dans “Au secours maman a quitté la pièce !”
Notre atelier customisation pour We Love Préma chez Happinest
Je vous ai parlé de mon engagement pour We love Préma, l’opération de récolte de bodys en faveur des enfants nés prématurément lancée par Mont Roucous. Le 5 mai dernier, mon équipe, la Team Socca menée par Maman et Pipelette, a eu la chance d’organiser un atelier customisation de bodys par des petits bouts de choux chez Happinest.
Happinest
Happinest est le cocon des familles de la Côté d’Azur. C’est un lieu très original qui accueille parents et enfants autour d’activités qui leurs sont dédiées. On peut assister à des cours de baby gym, de massage pour bébé, des ateliers cuisine, d’éveil musical, la liste est longue ! Mais jusque-là vous me direz-vous, rien de bien original, c’est ce que propose la plupart des lieux d’accueil parents-enfants. Sauf que Happinest pense aussi aux papas et aux mamans en tant qu’adulte, parce qu’on n’est pas que des parents ! On peut alors aussi s’inscrire à une séance bien-être avec un professionnel (ostéopathe, acupuncteur…), à une séance de coaching ou à un cours sport. Le panel des activités proposées est bien trop large pour que je vous en rende compte fidèlement (mais vous pouvez le consulter ici), une chose est sûre, chacun peut y trouver son bonheur ! Et parce que pour bien profiter d’un moment de détente, il faut avoir l’esprit libre, Happinest propose un service de garderie pendant les activités des parents ! On peut alors penser à soi tout en sachant son bout de chou entre de bonnes mains tout près de nous !
Happinest propose également un programme de Coworking : mise à disposition d’un espace de travail, rencontre avec des experts pour nous guider dans nos projets, service de garderie, location de salle de réunion, tout y est. Plusieurs formules sont disponibles en fonction des besoins. C’est aussi à mon sens un des gros points forts de ce lieu : aider les gens à se rencontrer ! Nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir entreprendre où à travailler chez nous, et nous sommes vite rattrapés par l’isolement. Ce programme de coworking est alors une belle idée pour promouvoir l’échange et l’émulation !
À mon arrivée chez Happinest, j’ai été accueillie par la charmante Charlotte qui est à l’origine du concept. Elle m’a fait visiter les lieux :
L’espace enfant est un espace clos par des petites barrières qui permettent aux petits de jouer en toute sécurité tout en gardant papa ou maman à portée de vue. De nombreux jouets et livres sont disponibles pour tous les âges. L’espace est situé contre la vitrine d’Happinest, ce qui lui donne une belle luminosité. Mais je vous rassure, non seulement les vitres sont teintées, mais la vitrine donne sur un parking, les enfants sont donc à l’abri des regards des passants !
L’espace créateurs est une mini boutique où l’on trouve vêtements, accessoires, et objets déco. Il y a un grand choix pour les cadeaux de naissance ou pour les petits cadeaux qu’on s’offre à soi-même (enfin, à son bébé !) et c’est une belle occasion de découvrir des créateurs français !
L’espace bien-être est conçu comme un cocon pour profiter d’un moment de calme et d’apaisement.
Et comme Happinest est notre partenaire We love Préma depuis le début de l’opération, vous y trouverez notre urne dans laquelle vous pourrez glisser nos petits bodys !
Mais je ne vous ai montré qu’une petite partie du lieu. Pour tout découvrir, je vous propose cette visite guidée par Charlotte elle-même ! (vidéo réalisée par Happiness Vidéo)
L’atelier We Love Préma
C’est dans la salle de loisirs créatifs, recouvertes de bâches afin de pouvoir créer en toute liberté, que Laurie nous a accueillie. Laurie anime les ateliers créatifs chez Happinest, et a gentiment accepté d’animer celui-ci aussi. Après avoir expliqué aux enfants (âgés de 20 mois à 4 ans) qu’ils allaient peindre sur des bodys pour les offrir ensuite à de tout petits bébés, il était temps de se retrousser les manches et de se mettre au travail !
Pour la customisation nous avons utilisé différents matériaux : de la peinture aux doigts pour textile et des feutres textiles. Et les enfants ont pu faire des créations libres (aux doigts ou au pinceau), ou utiliser des pochoirs. Nos artistes en herbes étaient très concentrés et se sont appliqués pour faire plaisir aux petits bébés. Certains n’ont pas plus accroché que cela à l’activité, mais qu’importe, chez Happinest on ne force pas les enfants ! Après un ou deux bodys, ils sont partis joués. Et bien souvent, ils sont revenus d’eux-mêmes peu de temps après (comme quoi, pas la peine de les forcer, il faut juste attendre qu’ils soient prêts !). D’autres enfants ont adoré cette activité et ont même eu du mal à s’arrêter !
Les enfants y ont mis tout leur cœur et au final c’est environ 70 bodys qui ont été customisés pendant cet atelier ! Des dessins figuratifs ou non, des empreintes de main, des dauphins, des fées, les bodys sont plus jolis les uns que les autres ! Et sur chaque body nous avons ajouté le prénom et l’âge du petit artiste.
Si vous êtes sur la Côte d’Azur, n’hésitez pas à aller faire un tour chez Happinest à Cagnes-Sur-Mer et à découvrir les nombreuses activités que le lieu propose !
HappiNest
34 chemin du Val Fleuri
068000 Cagnes sur mer
Tél. +33 (0) 9 52 07 55 95
Email : contact@happinest.fr
Toute la Team Socca se joint à moi pour remercier les familles présentes pour leur implication et leur bonne humeur, ainsi que Charlotte et Laurie pour leur accueil ! Et bien évidemment, c’est un immense “merci” que nous disons aux petits artistes qui nous ont beaucoup aidé ce jour-là et qui apporteront tant de soleil et d’espoir aux parents qui recevront ces bodys !
Pâte à modeler au chocolat !
Ce week-end c’est Pâques et si vous êtes aussi gourmand que moi, vous rêvez déjà à tout le bon chocolat que les cloches vont vous apporter ! C’est donc poussée par ma gourmandise, que j’ai eu l’idée de proposer aux enfants une petite activité manuelle. Exit les œufs à décorer, les petits poussins dessinés, les cloches sur lesquelles on colle des gommettes… Non, cette année, j’ai préparé de la pâte à modeler au chocolat !
Cette pâte à modeler au chocolat, j’en ai rêvé, et une fois que je l’ai faite, j’étais enchanté. Toute douce et avec son odeur sucrée… Je vous avoue tout, il m’arrive de prendre le pot dans la cuisine juste pour la sentir !
Les ingrédients :
- 1 tasse de farine
- 2 cuillères à café de bicarbonate de soude
- 1/2 tasse de sel
- 1 cuillère à café d’huile
- 4 cuillère à soupe de chocolat en poudre (avec une forte concentration en cacao)
- 1 tasse d’eau chaude
La recette :
Dans une casserole, mélangez tous les ingrédients jusqu’à obtention d’une pâte homogène (mais très collante). Faites chauffer à feu doux jusqu’à ce que la pâte se décolle de la paroi. Ôtez la casserole du feu et laissez refroidir : la pâte à modeler est prête ! La préparation ne prend pas plus de 10 minutes et on peut espérer garder cette plusieurs semaines (voire plusieurs mois) à condition de la ranger dans une boîte bien hermétique !
Lorsque j’ai proposé à Colombe de faire de la pâte à modeler au chocolat, elle m’a répondu : “Mais maman, la pâte à modeler au chocolat, ça n’existe pas, c’est une blague !”. C’est donc avec bonheur qu’elle a découvert ce plateau avec la fameuse pâte ainsi que quelques ustensile de pâtisserie rappelant Pâques.
Colombe a pâtissé, nous concoctant des gâteaux, des gaufres, des cupckaes…
Ce fut l’occasion pour Petit O’ de découvrir la pâte à modeler. Comme nous utilisons habituellement une pâte à modeler du commerce, et que Petit O’ a encore tendance à beaucoup mettre à la bouche, je ne le laisse pas jouer avec. Mais cette fois, je sais que tous les ingrédients de cette pâte à modeler sont sans danger (et pour cause, ce son des ingrédients avec lesquels je cuisine !), alors je l’ai laissé faire ! Et je l’ai même laissé goûter et il s’est vite rendu compte que le goût n’était vraiment pas plaisant !
De mon côté je n’ai pas su résister et j’ai aussi confectionné de petits gâteaux en pâte à modeler !
Alors cette pâte à modeler vous tente ? Ici on est devenu fan et je crois qu’on va préparer plein de petits “gâteaux” avec ce week-end !
Gummibärchenampelmännchen -Voyageons Ludique
Gummibärchenampelmännchen ? Je vous entends déjà me dire : “Mais c’est quoi ce titre ?! Tu es sûr que c’est un seul mot ?” ou pour les plus subtils : “À tes souhaits !”. Eh bien c’est de l’allemand car aujourd’hui nous voyageons ludique et dans le texte !
Ma copine Souris… Maman nous propose de découvrir le Brésil, l’Italie ou l’Allemagne. Les premières destinations vous auraient peut-être plus fait rêver, mais ayant fait une partie de mes études en Allemagne, c’est tout naturellement que j’ai choisi cette destination ! Et pourquoi voyagerons-nous “dans le texte” ? Je vous rassure, je ne vais pas me mettre à rédiger dans la langue de Goethe, mais pour trouver l’inspiration, j’ai sorti quelques livres de ma bibliothèque.
Tout d’abord l’équivalent exacte de nos imagiers Fleurus, “Dein Buntes Wörterbuch Deutschland” (ou l’imagier de l’Allemagne) :
Et le livre présentant la cuisine la plus saine de la terre “Das Grosse Haribo Buch” (le gros livre Haribo, avec de supers recettes, des jeux palpitants et plein d’idées de décoration ! je ne vous ment pas, c’est marqué dessus !)
J’ai vite eu l’idée d’une petite activité très simple faire avec des Ampelmännchen et des bonbons.
Les Ampelmännchen sont les petits bonshommes emblématiques de l’ex-Allemagne de l’Ouest où ils indiquaient lorsque les piétons pouvaient traverser la rue. Quant aux bonbons, j’ai bien évidemment utilisé des Ours Or, ou Goldbären : l’ours étant l’emblème de Berlin, ces bonbons sont incontournables en Allemagne.
Colombe et moi avons alors feuilleté l’imagier afin qu’elle y repère les Ampelmännchen, nous les avons comparés avec les bonhommes que nous voyons à nos passages piétons et avons remarqué qu’ils étaient assez différents. Nous avons également constaté sur l’imagier que l’or était l’emblème de la ville de Berlin et avons feuilleté le livre de recettes dont il fait la couverture (et dont d’ailleurs je vous partagerai peut être quelques recettes !).
Puis je lui ai proposé un petit exercice de tri des couleurs en me servant de deux emporte-pièces à la forme de ces petits bonshommes. Comme elle a récemment appris qu’on traverse lorsque le petit bonhomme est vert et qu’on attend s’il est rouge, je lui ai fait remarqué qu’un des bonhommes était arrêté alors que l’autre semblait avancer.
Elle a alors un peu joué avec le bonhomme qui avance puis s’est mise au “travail”. Le paquet de bonbons que nous avons utilisé ne comprenait pas assez d’oursons rouges pour remplir l’emporte-pièce, j’ai donc fait remarquer à Colombe que le rouge et le orange se ressemblent beaucoup. L’activité de tri étant un peu facile pour Colombe, cela a permis de mettre en relation les différentes nuances de couleurs.
Une fois les emporte-pièces remplis de bonbons, l’exercice est terminé (si vous voulez les passer au four pour leur donner la forme des bonshommes, utiliser plutôt des bonbons durs qui se démouleront facilement, alors que les oursons gélifiés colleront trop pour donner un résultat correct). En revanche, l’heure est venue de déguster les bonbons !
Un bonhomme de neige en coton
Avant Noël, Colombe est tombée en admiration devant un bonhomme de neige en coton qui décorait l’entrée. À chacun de nos passages il fallait qu’on aille voir le bonhomme, qu’on le touche et qu’on admire sa grande beauté!
Comme l’hiver n’est pas tout à fait terminé et que Colombe a découvert la neige récemment, je me suis enfin décidée à lui faire faire cette petite activité toute simple et dont le résultat lui plaisait tant.
Matériel nécessaire :
- des morceaux de cotons blancs
- un carton découpé en forme de bonhomme de neige
- deux yeux mobiles
- un petit triangle orange
- un pinceau et de la colle (ici de l’eau et de la farine)
J’ai alors présenté à Colombe ce bonhomme de neige en lui disant qu’il avait fondu et qu’il fallait le remettre en forme en collant chaque morceau de coton sur le carton.
Et c’est ce qu’elle s’est appliquée à faire, appliquant la colle méthodiquement et en me précisant bien quand il restait des zones à remplir.
Une fois le carton rempli de coton, Colombe a collé les yeux et le nez du bonhomme de neige.
Enfin, j’ai paré notre bonhomme d’une belle écharpe et d’un magnifique chapeau à paillettes (parce que les paillettes c’est la vie !) et il orne maintenant notre petit “jardin d’hiver” dans le salon.
(le DIY des sapins se trouve ici)
Alors, notre bonhomme de neige vous plaît ?
Pâte à modeler pailletée aux couleurs de Carnaval -L’art est un jeu d’enfant
Février est traditionnellement le mois du Carnaval, et c’est justement le thème du rendez-vous L’Art est un Jeu d’enfant organisé par le blog Le Pays des Merveilles. Le Carnaval étant fêté dans de très nombreux endroits du Monde, cela laissait beaucoup de possibilités. Séduite par les couleurs chatoyantes du Carnaval de la Nouvelle Orléans, j’ai décidé de suivre cette idée et j’ai choisi une activité toute simple, inspirée par Maman Nougatine, et qui réunit les deux grandes passions de ma Colombe en ce moment : la pâte à modeler et les paillettes ! Le lien avec le thème du Carnaval se trouve dans le choix des couleurs, le vert (symbole de paix et de foi), le violet (symbole de justice) et normalement le doré (symbole de pouvoir), mais n’ayant pas cette teinte de pâte à modeler, j’ai utilisé du blanc.
J’ai préparé la pâte en la mélangeant avec des paillettes bleu et des paillettes blanches et je l’ai disposée en petites boules sur un plateau, accompagnée de petits strass et d’étoiles dans un récipient.
J’ai alors laissé Colombe (3 ans) complètement libre dans son activité. Les dernières vacances ont été fatigantes, le mois de janvier est un peu long et nous n’avons pas été épargnés par les microbes, je pense qu’elle a plus besoin de s’amuser en ce moment que de suivre des consignes ou d’essayer de nouveaux exercices !
Elle s’est donc emparée de la pâte, l’a malaxée et décorée avec les petites étoiles et les “diamants” mis à sa disposition.
Elle a fabriquer un beau gâteau d’anniversaire, car il se trouve que dans la famille À Dada ! c’est toujours l’anniversaire ou le “non-anniversaire” de quelqu’un !
Colombe a mélangé les couleurs, joué avec des instruments comme mon vieux couteau suisse spécial pâte à modeler ou des emporte-pièces.
L’activité a occupé Colombe pendant 45 bonnes minutes durant lesquelles elle a modelé, patouillé, inventé, rêver…
À la fin de l’activité nous n’avions aucune production artistique, sauf 3 petits pots de cette jolie pâte aux couleurs entremêlée. Mais avec cette activité nous avons surtout célébré l’art de s’amuser !
Un traîneau du Père Noël en boîte à œufs
Avec les fêtes qui approchent, nous avons reçu beaucoup de chocolat et à eux deux, les enfants cumulent 4, voire 5 Pères Noël. J’ai donc eu l’idée d’intégrer un de ces Père Noël à notre décoration et j’ai proposé à Colombe de m’aider à fabriquer un traîneau en boîte à œufs.
Le matériel :
- une boîte à œufs
- de la peinture
Réalisation :
J’ai coupé la boîte à œufs en deux et ai demandé à mon petit “elfe” de peindre les deux parties. L’extérieur de la partie plate en bleu foncé surmonté d’un liserer doré (que j’ai fait) pour faire le traîneau et la partie en forme d’œufs en marron (notre peinture une fois sèche a eu un rendu plus vert que marron…) pour faire les rennes. Nous avons ajouté des pointes noirs et rouge pour le nez et les yeux des rennes sur le devant de la boîte. Et sur chaque “oeuf” nous avons ajouté les bois des rennes découpés dans du papier kraft.
J’ai coupé les séparateurs afin qu’ils ne dépassent plus de la boîte, comme sur la photo.
Après avoir fait une incision entre deux rangées d’œufs, j’ai accroché les rennes et le traîneau ensemble.
Et voilà notre Père Noël prêt à nous livrer ses bons chocolats sur notre table à la fin de chaque repas !
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