Parentalite

Les 10 trucs les plus n’importenawac qu’on fait pour faire manger Bébé !

Publié le

avion_repas_cuillere

Il y a quelques semaines, je vous ai présenté un gentil article sur les 9 choses que j’aurais aimé connaître avant de commencer la diversification.

Faire manger bébé c’est bien, mais parfois c’est pas du gâteau ! Et si comme moi vous vous dites qu’un bébé qui termine sa purée c’est un bébé qui ne vous réveillera pas à 4h du mat’ pour manger, alors vous développez parfois des techniques hors du commun pour arriver à vos fins ! Alors voici un top 10 des techniques les plus absurdes (mais qui fonctionnent souvent, alors on les utilise quand même) dont on use dans la famille À Dada !

  1. Faire l’avion : c’est LA technique vieille comme le Monde. Ou plutôt vieille comme l’avion (bah oui, logique !), ce qui signifie qu’elle date de 1863 (date choisie un peu arbitrairement d’après ce que j’ai pu lire de l’article “avion” de Wikipédia, ce choix est discutable, mais ça n’est pas notre propos ici). Du coup elle a eu le temps de faire ses preuves ! Face à l’enfant, l’adulte agite la cuillère en imitant le vrombissement d’un avion, jusqu’à ce que l’enfant ébahi ouvre grand la bouche. Alors, lâchement, l’adulte enfourne la cuillère dans la bouche du petit, lui collant ainsi la purée dans le gosier. Vous pouvez utiliser une cuillère standard comme une cuillère joliment déguisée en avion (accessoire indispensable ici), mettre en scène un avion en péril ou faire revivre le Concorde (ou les deux). La variante la plus courante reste la voiture qui entre au garage. Je terminerai donc par cette question : comment faisaient nos ancêtres avant l’invention de la voiture et de l’avion ?
  2. Lui donner un jouet : il n’est pas rare que lorsqu’on donne à manger à Bébé, il tente d’attraper la cuillère, la nourriture, de mettre la main à la bouche et j’en passe. Dans mon article sur la diversification, j’avais bien expliqué que laisser Petit O’ toucher la nourriture avait été très efficace dans nos essais à le faire manger. On le laisse donc manipuler une cuillère, un morceau de pain, des petits morceaux de nourriture… Mais les bébés se lassent vite ! C’est ainsi que nous nous retrouvons avec un panier de jouets pour le repas comprenant cubes, couvercles de petit pot, hochets et notre très célèbre Sophie la Girafe ! Eh oui, notre pauvre Sophie a été mangée à toutes les sauces ! Pour une diversification complète, après avoir testé la girafe, introduisez une portion d’Al Thir le dromadaire !
  3. Chacun son tour : et si on mangeait avec Bébé ? Et si Bébé nous donnait à manger d’ailleurs ? Maman donne une cuillère à Bébé, puis Bébé donne une cuillère à Maman. Le côté absurde de la méthode ? Si Bébé n’est pas capable de manger seul, il ne sera pas davantage capable de vous donner à manger. Cette méthode vous garantit des murs repeints et des chemisiers reteints ! À moins que vous ne trouviez un bavoir à manches longues à votre taille, dites adieu aux vêtements que vous portez pendant le repas. Mais réjouissez-vous, les tâches de carottes sur votre petit haut seront du dernier chic, puisqu’il parait que le orange c’est tendance (ceux qui sont accros aux séries télé comprendront). Variante de la méthode : les plus grands font manger les plus petits, et c’est comme ça qu’il y a deux jours, Petit O’ s’est retrouvé avec du yaourt dans les yeux… Va falloir que j’apprenne à Colombe à viser.
  4. Varier les outils : parce que la cuillère c’est complètement has been ! C’est une amie qui m’en a soufflé l’idée. L’autre jour, alors qu’elle installait sa fille pour le goûter, je l’ai vue sortir le petit pot, le bavoir, la cuillère et la pipette de Doliprane. Hein ?! La pipette de Doliprane ?! Mais pourquoi ? Mon amie m’a alors expliqué que si sa fille mangeait volontiers le début de sa compote, elle boudait vite la cuillère. C’est alors que la pipette entrait en jeu. Il ne s’agit bien sûr pas de gavage et de toute manière si Bébé ne veut plus manger, il saura bien vous recracher la purée à la figure ! J’ai alors testé sur Petit O’ et c’est vrai qu”il est parfois content de changer de manière de manger. Lors de certains repas, nous alternons d’ailleurs plusieurs fois les outils : cuillère, pipette, fourchette, mains… tout est bon si ça lui plaît. Variante de la méthode : mettre la soupe dans le biberon, alterner cuillère en plastique/métal, donner à même les doigts (ses propres doigts, pas ceux du bébé).
  5. Féliciter Bébé : j’ai lu récemment qu’il ne fallait surtout pas féliciter Bébé lorsqu’il mangeait. Cela induirait qu’il mange pour faire plaisir à ses parents alors qu’il doit manger parce que c’est vital. Sur le papier, je suis d’accord (enfin… je comprends la logique de ce raisonnement). Mais en pratique, si je n’avais pas félicité ma Colombe pour chaque cuillère avalée quand elle avait une dizaine de mois, je pense qu’elle n’en aurait jamais mangé une seule ! Et aujourd’hui ? Elle mange avec plaisir ! Ni trop, ni trop peu. Alors oui, je fais partie de ces mamans qui crient de grands “Bravos” à son bébé après chaque bouchée. Inconvénient de la méthode : Bébé risque de se mettre à faire Bravo avec les mains et le parcours pour mener la cuillère jusqu’à sa bouche risque de devenir aussi périlleux qu’un parcours de Total Wipeout ! Et Paf ! Un coup de main dans la cuillère ! Et Splash ! Sur le beau mur blanc !
  6. Faire le spectacle de marionnette : à première vue, rien de bien absurde dans cette méthode pour faire manger bébé. Sauf que faire les marionnettes demande d’utiliser ses deux mains… Dur dur alors de manipuler la cuillère de bébé. Deux options s’offrent à vous. Dans la première, vous agitez une main alors que de l’autre vous essayez de viser la bouche de votre bambin. Attention à ne pas vous laisser emporter par la musique ou vous risqueriez de repeindre vos murs (quoiqu’une éclaboussure de purée de carotte irait super bien avec la tâche de soupe 7 légumes que Bébé a crachée hier !). Dans la deuxième option, vous faites les marionnettes à deux mains et attrapez et enfournez la cuillère le plus vite possible quand Bébé ouvre la bouche. La chorégraphie doit être bien maîtrisée et le tempo doit être parfait, au risque de renverser la purée, mettre la cuillère dans l’œil de Bébé ou prendre la cuillère comme une marionnette et finir, là encore, par repeindre les murs… Variante de la méthode : Tourne petit moulin, frappent petites mains…
  7. Faire une petite danse : la première condition pour faire manger Bébé c’est de réussir à lui faire ouvrir la bouche ! Que ce soit par étonnement, incrédulité ou amusement importe peu du moment qu’il ouvre la bouche. Là encore, il faut bien maîtriser le rythme de sa danse afin d’attraper la cuillère au bon moment et de parvenir à la mettre dans la bouche de Bébé sans le blesser. Les avantages de la méthode ? Avec cette séance de sport 3 à 4 fois pas jour, vous allez vite perdre les derniers kilos de grossesse, et à vous les bikinis pour la séance de bébé nageur ! Et en plus vous allez distraire les plus grands qui seront ravis de vous voir faire votre petit spectacle à chaque fois. Variante de la méthode : faire danser les grands pour distraire Bébé ; ça les occupera pendant ce temps et vous risquez moins d’en mettre plein les murs, par contre vous ne serez plus dispensées de salle de sport…
  8. Pousser la chansonnette : Devant un bébé que l’on veut faire manger, on se retrouve souvent à ouvrir soi-même la bouche et à faire “Aaaaaaah “.  Et bien que cette méthode ne soit pas très convaincante, elle nous conduit souvent Papa à Dada ! et moi à entamer une petite chanson commençant par “Aaaaaaah”. Par exemple ici nous traversons une période Disco, Petit O’ ne résiste pas à m’entendre entonner un “AAAAAAAh Freak Out ! Le freak c’est Chic !” (imaginez, allez-y régalez-vous ! Et je devance les éventuelles demandes, non, vous n’aurez pas de vidéo !). Petit O’ est tellement amusé de ma performance vocale qu’il oublie complètement qu’il avait refusé sa purée une minute avant et il accepte gentiment la cuillère. On peut aussi varier les chansons, et c’est ainsi qu’avec mon interprêtation de “Staying Alive” je réinvente le concept de dîner-spectacle ! (Non, vraiment vous n’aurez pas de vidéo !) Mise en garde : choisissez bien la chanson que vous allez entonner, si vos envolées lyriques vous portent vers un Hallelujah de Leonard Cohen, Bébé risque d’être bien moins motivé par cet air beaucoup plus solennel !
  9. Allumer la télé : oui, je sais, c’est mal. On ne mange pas devant la télé, on ne fait pas manger un enfant devant la télé… Mais vous savez quoi ? Parfois on ferait juste n’importe quoi pour que Bébé mange. Quand j’ai tout essayé, lorsque les marionnettes ou mes petites danses n’amusent plus du tout Petit O’, il m’arrive de baisser les bras et d’allumer la télévision. Petit O’ est alors comme hypnotisé et il ouvre la bouche sans réfléchir lorsque je présente la cuillère devant lui. J’avais parfois fait pareil pour Colombe mais elle n’a pas du tout pris de mauvaises habitudes pour autant. Bien entendu c’est resté une pratique exceptionnelle, réservée aux jours où elle ne mangeait vraiment rien et où je ne me sentais plus la force de lui donner le sein une vingtième fois. J’ai pu lui mettre quelques cuillères de purée bien consistantes dans le ventre, et parfois même lui donner l’envie de manger. Il nous arrivait même d’éteindre la télévision entre deux cuillères car Colombe manifestait un soudain intérêt pour son assiette (mais alors là c’est que le repas était vraiment super bon). Puis j’ai de moins en moins utilisé cette méthode, et vers 15 mois je ne l’ai plus utilisée du tout. Le risque de cette méthode : que les enfants plus grands qui mangent en même temps que Bébé soient hypnotisés par la télé et n’avalent plus rien…
  10. Dire des phrases rigolotes : mais attention, il faut y mettre le ton car c’est ce qui fera rire Bébé (Bébé qui rit… Bébé qui ouvre la bouche !). C’est ainsi que mes enfants sont devenus incollables en répliques de films. Ils ne résistent pas à m’entendre clamer “Fort en Pommes !” ou “Arthur ! Cuillère !” . J’essaye de les motiver avec des “Humm, c’est fin, c’est très fin, ça se mange sans faim” ou “ça serait pas des fois d’la betterave ?”. Les enfants ne saisissent pas la référence, mais les mimiques que je fais pour accompagner ces répliques les font bien rire. Et pour être honnête, si toutes les astuces dont je vous ai parlé visaient à rendre le repas plus attractif pour Bébé, celles-ci auraient plutôt tendance à rendre le moment du repas moins pénible et long pour les parents ! Eh oui, ça peut être un long moment pour nous aussi !

Voilà, comme vous le constatez, les repas sont plutôt joyeux et animés chez les À Dada ! Je ne vous recommande aucune de ces astuces en particulier : elles ne sont pas des solutions idéales, elles ont beaucoup d’inconvénients et risquent d’exciter les enfants. Elles ne font que détourner l’attention de l’enfant au lieu de lui apprendre que “c’est bien de manger, ça aide à bien grandir !”. Mais parfois on est fatigué, on n’en peut plus, on baisse les bras le temps d’un repas… Et ça n’est pas si grave ! On se rattrapera la prochaine fois ! (ou pas ^^)

Juste un petit pouce levé

Publié le

pouce_leve

Juste un petit pouce levé, ça suffit pour redonner la pêche parfois !

Après une énième nuit entrecoupée par les pleurs d’un bébé malade, j’ai eu la désagréable surprise de constater que ma machine à café était en panne ce matin. Mon précieux breuvage noir étant souvent ce qui m’aide à tenir, la journée s’annonçait mal…

Nous sommes donc en fin d’après-midi. J’ai la mine tellement fatiguée que plusieurs personnes n’ont pas manqué de me le faire remarquer. Mais heureusement j’ai pu faire un détour au supermarché où j’ai trouvé du café soluble (le truc immonde que je ne bois jamais) qui m’apportera ma dose de caféine aussitôt arrivée à la maison. J’attends le bus avec ma poussette double bien chargée, mais celui-ci tarde à venir. Je pourrais bien rentrer à pied comme je le fais parfois, mais l’idée de remonter la côte avec mes 30kg de poussette me décourage (oui 30kg, j’ai fait le calcul !).

Petit O’, exténué se met à pleurer. Je décide d’abord de ne pas le prendre car si je l’ai dans les bras quand le bus arrive, jamais je ne pourrai monter la poussette. Mais finalement j’ai mal pour lui. Il est malade et épuisé. Je le prends dans mes bras, le console, le berce. Mais le bus arrive… Poser Petit O’, demander au chauffeur d’ouvrir la porte de derrière, monter la poussette dans le bus, garer la poussette, mettre le frein, bloquer les roues, reprendre Petit O’ qui s’est mis à hurler, sortir la carte de bus, valider la carte de bus, trouver un siège et consoler Bébé. Voilà, je suis assise. Mais pas pour longtemps car je descends dans 3 arrêts. D’ailleurs voilà on y est. Attendre l’arrêt du bus, me lever avec Petit O’ dans les bras, débloquer les roues de la poussette, retirer le frein de la poussette, manœuvrer la poussette à une main jusqu’à la porte, puis sortir doucement la poussette du bus.

Me voilà sur le trottoir. Les portes du bus se ferment et alors qu’il s’apprête à repartir, je croise le regard d’une dame assise au fond du véhicule. Elle me sourit et me montre son pouce levé. Même si j’ai l’air épuisé, elle me montre qu’elle est impressionnée. Même si j’ai le sentiment d’être débordée, elle me dit que j’assure !

Le bus part et moi aussi. Je pousse ma poussette double en tenant mon bébé dans les bras, mais cette fois j’ai un grand sourire au lèvres !

Eh oui ! Il n’y a pas que le café qui donne la pêche !

Malheur

Publié le

Il y a un peu plus d’un mois, la région dans laquelle je vis subissais une catastrophe naturelle dont elle peine encore à se remettre. Dans les jours qui ont suivis, ma fille de 2 ans et demi a enrichi son vocabulaire d’un nouveau mot :

Malheur

Un mot qu’elle a certainement entendu répété dans la bouche des adultes.

Vivre en paix et en harmonie malgré les différences de chacun me tient particulièrement à cœur. Colombe et Olivier, les prénoms que j’ai choisis pour mes enfants sur ce blog sont des symboles de paix, et ça n’est pas un hasard. Parler des événements à mes enfants me paraît impensable, ils sont bien trop jeunes pour comprendre quoi que ce soit à la situation. Mais j’ai une boule au creux de mon ventre et je ne veux pas la laisser m’envahir. Parce qu’elle pourrait générer de l’angoisse chez mes petits qui ne comprendraient pas pourquoi leur maman a peur. Et parce que je ne veux pas qu’elle affecte ma joie de vivre, car ça serait laisser ces gens gagner. Alors je mets de la couleur dans ma vie, dans mon blog et sur les réseaux sociaux. Je m’efforce de voir en chaque chose un peu d’amour, de douceur, d’espoir, de bonheur… Car ce sont nos meilleures armes.

Depuis vendredi, j’ai décidé de laisser entrer l’esprit de Noël dans mon foyer. Ainsi j’espère que le vocabulaire de ma fille s’enrichira d’un nouveau mot :

Paix

coeur_de_palmiers
Vous aussi vous avez l’impression que ces palmiers forment un cœur ?

 

Le salon des parents parfaitement imparfaits -retour sur deux journées intenses !

Publié le

parentsparfaitementimparfaits

Si vous me suivez sur Facebook ou Instagram, vous savez que j’ai passé mon dernier week-end au salon des parents parfaitement imparfaits qui se tenait à Sophia Antipolis.

Le salon proposait de nombreuses conférences avec des invités de marque telle Mitsiko Miller (et son blog ici) et des thèmes autour de l’enfant, l’adolescent, les émotions, la communication, la bienveillance, la santé…

En parallèle avaient lieu des ateliers de portage, de langue des signes pour bébé, de musique, de création et de relaxation.

Un programme bien chargé et intense en découvertes et en émotions !

Alors c’est bien gentil toutes ces conférences mais que fait-on des enfants pendant qu’on y assiste ? Eh bien les organisatrices avaient tout prévu (et là on sent que ce sont des mamans !). Un espace garderie d’inspiration Montessori et Piclker avait été aménagé par les assistantes maternelles du “Nido des P’tits Colibris” et les parents pouvaient y déposer leur petit sur simple inscription (à condition d’assister à une conférence). L’espace était vraiment attractif pour les enfants et rassurant pour les parents et le gros plus : cette garderie était gratuite ! J’émettrai juste un petit bémol lié au confort des enfants : le nido se trouvait à l’entrée du salon, et bien que protégé par des paravents, il n’était pas à l’abri de la foule et encore moins du bruit. Ça serait sympa de le placer dans une pièce à part pour la prochaine édition du salon (oui, parce que j’aimerais vraiment qu’il y ait une prochaine édition à ce salon ! Plus que des critiques, j’émets ici des suggestions d’améliorations !).

Pour les plus grands, des ateliers de loisirs créatifs étaient organisés. Il n’était pas question de laisser les enfants le temps d’une conférence, mais ils pouvaient créer tranquillement pendant que les parents découvraient les stands voisins. Des petites tables recouvertes de feuilles, de feutres et de crayons étaient mises à disposition des enfants. Ils pouvaient alors dessiner librement ou participer à un atelier dirigé par une animatrice très agréable et qui a su s’adapter au niveau de chaque enfant ! Et comme vous pouvez le voir, Colombe s’en est donnée à cœur joie !

dessins

Côté restauration, les organisatrices nous avaient trouvé une solution extra ! Le traiteur bio Les Oubliés nous proposait pour 10€ un menu complet et délicieux : salade de pâte, ratatouille, légumes d’automne… Et pour le dessert, une tarte au citron meringuée à tomber par terre ! Si vous êtes sur la Côte d’Azur, n’hésitez pas à penser aux Oubliés pour vos prochains évènements !

Au niveau des stands, beaucoup de belles découvertes.

De jolies boutiques :

  • La Baleine Rose : c’est une boutique sur internet d’une maman qui a su dénicher pour nous mais surtout pour nos petits, des vêtements, jouets et accessoires respectueux de l’environnement et de l’humain !
  • Miss Mam : une jolie boutique à Antibes qui propose de jolis accessoires pour maman et bébé, et une superbe gamme de vêtements pour femmes enceintes et allaitantes !
  • I love my kids : cette boutique en ligne vous propose des jouets, accessoires et décorations colorés.

Des lieux consacrés aux familles où bien-être et bienveillance sont les maîtres-mots :

  • Espace Bien Naître : Floriane est une doula. Avec son camion coloré (cliquez sur le lien de son site pour voir la photo !), elle sillonne les routes de la Côte d’Azur pour accompagner les parents pendant la grossesse et dans leurs débuts en tant que parents. Elle propose également des ateliers de portage, langue des signes avec bébé ou de massage chez vous, ou dans son camion !
  • Happinest : à Cagnes-Sur-Mer, un bel espace chaleureux consacré à la famille. Avec ou sans votre enfant, vous pourrez participer à des ateliers, séances de remise en forme ou moments bien-être.
  • Les Colibris, école bilingue Montessori : au cœur de Sophia Antipolis, cette école bilingue (français-anglais) enseigne aux enfants de 2 à 12 ans selon la pédagogie Montessori.
  • Ventre Rond et Petits Pieds : ce n’est autre que l’association qui est à l’origine du salon (et si je la présente en dernier ça n’est que pour des questions d’ordre alphabétique). L’association organise des ateliers, des rencontres et des actions (comme : Bio pour tous) toujours dans la bienveillance et le respect de l’environnement.

Des rencontres autour de la santé :

  • avec des ostéopathes qui recommandent une visite de contrôle après chaque naissance (pour maman et bébé)
  • avec une spécialiste des fleurs de Bach
  • Eauriginelle : un système de fontaine filtrante améliorant la qualité et le goût de l’eau du robinet. Une démarche bonne pour la santé et pour l’environnement (plus de bouteilles en plastique !).

Des lectures inspirantes :

  • Peps, le magazine de la parentalité positive : revue dirigée par Catherine Dumonteil-Kremer, elle présente une “parentalité centrée sur la joie de vivre et le plaisir d’être ensemble”. Pourquoi PEPS ? Pétillant. Énergisant. Palpitant. Soutenant. Vaste programme !
  • Grandir autrement, le magazine des parents nature : un accompagnement à la parentalité positive, sans jugement de valeur et dans un respect de l’environnement.
  • Psychologie Positive : “Ressentir. Comprendre. Agir” telle est la devise de ce magazine qui nous offre des pistes pour aller bien. Des articles sur les dernières recherches en psychologie positive et en développement et des invités prestigieux (Isabelle Filliozat, Florence Servan-Schreiber…), de quoi faire le plein d’infos pour une vie plus douce !

Comme vous pouvez le constater, ce salon a été très riche en découvertes, et si je passe rapidement ici, je vous présenterai certaines d’entre elles plus en détail dans les prochaines semaines.

Ce salon était définitivement un bon moment. Même s’il nous a beaucoup fatigués (la foule, les néons…) nous nous sentions bien à la fin de ce week-end. Le salon respectait ses principes de bienveillance et de communication tant dans les sujets proposés que dans l’ambiance générale. Nous avons rencontré des personnes très à l’écoute et désireuses de partager leur expérience. C’est la première fois qu’un événement pareil était organisé dans la région, et l’ on souhaiterait vraiment que cela devienne un rendez-vous annuel !

Maman… Super Héros…

Publié le

Supermamanadada

 

Je suis Super Maman À Dada ! Super Héros de classe 82.
Je peux faire manger des légumes à mes enfants (en leur promettant des bonbons), les convaincre de quitter le parc sans violence (en les soudoyant avec un cadeau), les faire s’endormir sans pleur (en les collant au sein). Grâce à mes supers pouvoirs je connais à la minute près l’emploi du temps de chaque membre de la famille, je sais toutes les particularités du régime alimentaire de chacun et je reconnais le moindre signe de faim, de fatigue ou d’envie pressante !
Mais surtout je sais les faire rire, les amuser, les consoler et les aimer comme personne.
Bref, je suis une maman comme les autres !

 

 

Peut-être savez-vous que dans moins de 30 jours se tiendra le spot des E-Fluent Mums sur le thème des Super Héros du quotidien : les papas et les mamans !

Pour l’occasion, Parole de Mamans nous proposait de présenter un portrait de nous avec nos accessoires de super héros. L’idée m’a bien plu et c’est inspirée par la super série Hero Corp que j’ai écrit ces quelques lignes.

9 mois… et 2 jours

Publié le

9mois

Lorsque ma Colombe a eu 9 mois… et 5 jours (oui, je dépasse le terme c’est une habitude !), j’ai fait réaliser à Papa À Dada ! qu’elle avait passé autant de temps dedans que dehors. En bon stéréotype masculin il m’a répondu d’un : “Mouai…”. Et finalement en lisant toujours plus de blogs, j’ai réalisé que si cela ne touche pas forcément les papas, je suis loin d’être la seule maman à avoir une pensée ce jour là. Ce jour où j’ai porté mon bébé dans mes bras autant de temps que je l’ai porté en moi. Ce jour où commençant à marcher, il n’aura bientôt plus besoin d’être porté… Alors voilà, j’écris ce petit article aujourd’hui, parce que je sais que les autres mamans comprendront ce que je ressens aujourd’hui…

Car aujourd’hui, mon petit Olivier a 9 mois et 2 jours. Il a donc passé autant de temps dehors que dedans.

Il y a 9 mois et 2 jours je vivais mon premier accouchement serein, bien loin de ma césarienne et de la séparation d’avec ma Colombe. Je découvrais les joies du peau à peau dont j’avais été privée la première fois. Je profitais d’un bébé en parfaite santé.

Depuis 9 mois et 2 jours, je peux lire tout l’amour du monde dans les yeux de mon petit garçon, et j’ai le droit aux plus beaux sourires édentés (eh oui, 9 mois et toujours pas de dents ^^ on n’est pas pressés dans la famille de ce côté là !). Je constate tous les jours la complicité grandissante entre mes deux enfants et je me réjouis de les entendre rire aux éclats ensemble ! Je souris en entendant ma petite grande appeler son frère “mon chéri”. Et je me retiens de rire lorsqu’ils tapent tous les deux sur la table pour faire du bruit au lieu de manger !

Depuis 9 mois et 2 jours, je redécouvre tous les jours. Parce que pour un deuxième enfant on a déjà l’expérience, mais parce que chaque enfant est différent. Je constate à quel point le temps passe vite… plus vite que pour le premier, et à quel point mon tout-petit a bien poussé !

A 9 mois et 2 jours, il semble avoir compris que nous n’étions pas si liés… même si depuis 9 mois et 2 jours je ne l’ai presque jamais quitté. Mais pendant quelques jours il s’est mis à crier à chaque fois que je quittais la pièce. Et puis c’est passé… Et c’est de lui même qu’il a commencé à la quitter !

A 9 mois et 2 jours, il s’apprête à découvrir la collectivité, et même si ça n’est que pour quelques heures, mon petit cœur est tout serré…

 

Quoique… Je vais pouvoir aller chez le coiffeur, ça va me consoler !