Test Produit

DIY : Blédina fête les Papas !

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La fête des pères approche et il n’y a rien de plus beau à offrir qu’un cadeau fait par les petites mains de son enfant. Alors quand Blédina m’a proposé de créer un cadeau pour la fête des pères avec mon Petit O’ (17 mois) en utilisant des emballages de leur gamme de produits Les Petits Explorateurs (de 10 mois à 3 ans), j’ai tout de suite sauté sur l’occasion ! Vous me connaissez, les loisirs créatifs, j’adore ça, et en plus quand on peut y allier revalorisation des emballages, je suis aux anges !

La Gamme de produits Les Petits Explorateurs

Entre 10 mois et 3 ans, nos enfants sont de véritables petits explorateurs. C’est le moment où ils apprennent à marcher, à grimper, où ils essayent de toucher à tout et testent ce qu’ils ont le droit de faire ou non ! Il n’y a qu’à voir comme Petit O’ aimerait tout faire comme un grand et surtout comme il voudrait tout faire seul !

Petit O', petit explorateur !

C’est aussi le moment où l’on commence à cerner le caractère de notre enfant et ici on sent déjà que Petit O’ sera un grand farceur au cœur tendre !

Mais même si l’on est bien loin du nourrisson qu’on a tenu tout contre soi, nos petits explorateurs sont encore des bébés, et en tant que tels, ils ont des besoins bien spécifiques et qui ne sont pas les mêmes que ceux de leurs grands frères et sœurs. Ils ont bien sûr besoin qu’on les accompagne dans leurs nouvelles acquisitions, en assurant leurs gestes, en les encourageant et en les guidant vers les activités qui correspondent à leur âge et qui éveilleront leur curiosité. Il en est exactement de même en matière de nutrition : il faut accompagner l’enfant dans sa découverte des nouvelles saveurs et des textures, tout en respectant des quantités et des apports nutritionnels adaptés. Saviez-vous par exemple que proportionnellement à son poids, un enfant de 12 mois a besoin de 3 fois plus de lipides, 2 fois moins de sel et 2,5 fois moins de sucre ajouté qu’un adulte ? Bref, bébé ne peut pas manger comme nous ! Mais il peut tout de même découvrir de nouvelles saveurs !

Blédina accompagne cette découverte avec des produits respectant les besoin des bébés et pratiques à utiliser, et j’ai eu la chance d’en recevoir à la maison !

Gamme de produits "Les Petits Explorateurs" de Blédina

  • Blédilait croissance, le bon lait qui contient les nutriments essentiels aux besoin de mon Petit O’, avec ses bouteilles rigolotes pour apprendre le nom des animaux !
  • La Blédine croissance pour un biberon plus savoureux encore, avec 2 fois mois de sucres que les poudres cacaotées (moyenne des poudres cacaotées céréalières pour le petit déjeuner consommées en France à partir de 12 mois)
  • Mon 1er Biscuit au chocolat : le petit gâteau que mon Petit O’ adore manger pour le goûter.
  • Blédichef : plus de 40 recettes inspirées de la cuisine des grands pour éveiller chaque jour ses papilles à de nouvelles saveurs !
  • Les mini lactées, riches en calcium et source de fer, le petit plaisir de mon garçon au dessert et pour le goûter.
  • Les gourdes fruits et lactées, idéales au goûter pour faire le plein de fruit avec leur 9 recettes dont certaines très originales et tellement bonnes qui j’en mangerai bien aussi ! (Nous venons de tester “Banane Pomme Mangue lait de coco” ainsi que “Douceur Pomme Carotte Mangue”, c’était un délice ! Eh oui, j’ai goûté aussi, j’étais trop curieuse ! ).

Blédina fête les papas : un diorama Petit Explorateur dans la jungle !

Le matériel :

  • Une assiette Blédichef
  • Une boîte de blédine ou de “mon 1er biscuit”
  • De la peinture à doigts
  • Des ciseaux à bouts ronds
  • Quelques feuilles de papier épais
  • Des autocollants double-face
  • Une petite attache pour cadre
  • Du ruban adhésif

Matériel nécessaire à la réalisation du diorama

La réalisation :

Pour cette réalisation, j’ai voulu impliquer mon Petit O’ (17 mois) au maximum, alors j’ai essayer de simplifier les opérations le plus possible. Bien évidemment, il y a des parties de la réalisation qui ne lui sont pas accessibles, comme la découpe des morceaux de papier. C’est alors moi qui m’en suis chargée, mais on peut tout aussi bien demander l’aide des grands frères et sœurs !

Tout d’abord, nous avons fait de la peinture pour créer nos éléments représentant la jungle. J’ai proposé plusieurs techniques à Petit O’. Il a peint le fond avec un pinceau en utilisant de la peinture à doigts bleu et verte. Son geste a d’abord été hésitant, puis en prenant exemple sur ce que je lui montrais, il a vite pris plaisir et a rempli sa feuille. Pour les feuillages, je lui ai fait faire des empreintes de main sur une feuille avec sa peinture à doigts verte. Il a été très surpris que je recouvre la paume de sa main avec de la peinture ! J’ai alors collé puis décollé sa main sur une feuille blanche et j’ai vu qu’il aimait la sensation procurée, mais aussi qu’il était étonné du résultat ! Il a alors pris beaucoup de plaisir à recommencer et nous avons obtenu de nombreuses et belles empreintes ! Enfin, j’avais besoin d’une feuille peinte dans sa quasi intégralité en marron et vert, j’ai alors proposé à Petit O’ de la peindre à la main. C’est certainement la technique qui lui a le moins plu, alors je lui ai donné un petit coup de main !

Peindre avec un pinceau

Petite main pleine de peinture !

Réaliser des empreintes de main

Peindre avec le pinceau et avec les mains

Cet atelier peinture m’a permis d’avoir suffisamment de feuilles pour y découper les éléments nécessaires au décor : des empreintes de main vertes, une bande de 3,3 cm de large découpée sur la longueur de la feuille marron (soit 29,7cm), une petite partie découpée à la forme de l’assiette Blédichef dans la feuille marron et verte, et un cercle de 9 cm de diamètre dans la feuille bleue. J’ai également découpé Blédinou, le petit personnage qu’on trouve au dos de la boîte de “Mon 1er Biscuit” (ou de la boîte de blédine), et j’ai laissé une petite bande de carton pour lui faire un socle. Blédinou est déguisé en tigre, mais sur d’autres paquet (la blédine) il est déguisé en singe, à vous de choisir celui qui vous plaît le plus !

Nos feuilles peintes

Différents éléments découpés pour créer le diorama

Découper Blédinou au dos du paquet

On passe alors à l’assemblage ! J’ai choisi de fixer les morceaux de papiers avec de l’autocollant double-face pour éviter de faire gondoler le papier avec de la colle, mais aussi pour pouvoir proposer à mon Petit O’ de coller les doubles-faces. Finalement, le geste était encore un peu difficile pour lui, alors à part ceux qu’il a placés dans le fond de l’assiette, c’est moi qui les ai posés. Mais au moins il a essayé ! Voici donc en photos les différentes étapes : coller le cercle au fond de l’assiette, la bande de papier sur le bord intérieur de l’assiette puis coller Blédinou par dessus, coller la partie marron sur le dessus de l’assiette et enfin, disposer et coller les empreintes de mains de manière à ce qu’elle forme un feuillage touffu. Je vous conseille de trier les empreintes avant de les coller. Mettez les moins réussies en premier et coller les plus jolies sur le dessus afin de garder un beau souvenir des petites mains de Bébé !

Poser les autocollants double-faces

Coller le cercle bleu au fond de l'assiette et la bande marron sur le bord intérieur

Coller Blédinou sur le bord intérieur de l'assiette

Coller l'élément vert et marron sur le bas de l'assiette

Coller les empreintes de main autour de l'assiette

Enfin, la dernière étape consiste à fixer l’attache pour cadre avec du ruban adhésif au dos de l’assiette.

Accrocher l'attache pour cadre au dos de l'assiette

Et voilà notre diorama Petit Explorateur de la jungle terminé ! Dimanche, Papa À Dada ! sera bien gâté !

Diorama Petit Explorateur de la jungle pour Blédina fête les papas

La petite astuce pour plus de personnalisation : vous pouvez découper le visage de Blédinou et y mettre une petite photo de votre bout de chou à la place !

Alors qu’en pensez-vous ? Notre Petit Explorateur vous plaît ? Vous pensez que cela va plaire à Papa À Dada ? Ici on a hâte d’être à dimanche pour lui offrir !!!

La tasse d’apprentissage miracle et le verre paille Munchkin – Test produit

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Apprendre à boire proprement, ne pas renverser d’eau partout, pouvoir laisser un verre d’eau à la portée des enfants quand il fait chaud l’été sans craindre la casse, ou encore pouvoir donner à boire aux enfants en voiture… Je ne sais pas vous, mais ici ce sont des préoccupations de mon quotidien (je vous rassure je dors quand même la nuit). Je pourrais me contenter de faire boire les enfants dans un biberon, mais à 3 ans, je pense que Colombe a largement passé l’âge, quant à Petit O’ qui a 17 mois, je préfère lui donner l’habitude de boire au verre dans la journée. Les verres Munchkin sont alors tombés à pic ! La tasse d’apprentissage miracle pour Petit O’ et le verre paille pour Colombe.

Le verre paille et la tasse d'apprentissage miracle Munchkin

La tasse d’apprentissage miracle Munchkin

La tasse d'apprentissage miracle Munchkin

Miracle ? Le terme est un peu fort, mais on s’en approche ! Avec un jeune enfant, on préfère souvent utiliser un verre fermer afin de ne pas transformer sa salle à manger en piscine à chaque fois que l’enfant boit. Mais si l’on choisi souvent de des tasses à bec, celles-ci peuvent déformer les dents de l’enfant, et elle ne leur apprennent pas à placer leur bouche pour boire correctement au verre. La tasse d’apprentissage Munchkin, comme son nom l’indique a bien cette fonction de transition entre le biberon et le verre. Entièrement fermé, elle évite les éclaboussures, et l’enfant doit poser sa bouche et faire pression sur la valve pour laisser passer l’eau. L’enfant peut placer sa bouche partout sur le bord de la tasse, comme avec un verre normal.

Dessus de la tasse d'apprentissage Munchkin

La tasse miracle 360 entièrement démontable et prête à être lavée

J’apprécie particulièrement le fait que cette tasse est entièrement démontable. Je me suis débarrassée de toutes les tasses à bec des enfants car elles étaient souvent impossible à nettoyer correctement. La tasse d’apprentissage Munchkin n’a pas ce problème puisque toutes les parties se retirent (facilement pour un adulte, mais c’est impossible pour un enfant) et passent au lave vaisselle.

Aujourd’hui, nous ne passerions plus de cette tasse : Petit O’ boit avec à chaque repas, nous la plaçons également près de son lit afin qu’il puisse boire la nuit, et enfin elle est notre alliée en voiture ! Il a appris à bien placer sa bouche pour boire, et le personnel de la crèche a même été impressionné par sa capacité à boire dans un verre quand il était encore tout petit.

Boire en voiture avec la tasse d'apprentissage Munchkin

Le seul point négatif que je relèverai concerne le transport. Si le verre tombe dans le sac et qu’il n’a plus la tête en haut, il va doucement se vider et mouiller toutes les affaires.

Le verre paille Munchkin

À 3 ans, Colombe sait bien boire au verre et n’a plus besoin d’une tasse d’apprentissage. Mais j’ai encore un peu peur de laisser un verre à sa disposition la journée ou la nuit, alors en dehors des repas, je la laisse boire avec le verre paille Munchkin.

Le verre paille Munchkin

Comme nous vivons dans le Sud et qu’il fait très chaud l’été, je préfère laisser l’eau à portée des enfants afin qu’ils s’hydratent correctement. Comme ce verre est en plastique, je ne crains pas que Colombe le casse, et avec son système de paille, là encore je ne risque pas les éclaboussures quand l’enfant prend le verre !

Le verre se démonte aussi entièrement, ce qui permet un nettoyage efficace.

munchkin_verre_paille_demonte

Si Colombe ne boit pas avec à table (parce qu’elle boit dans un vrai verre), ce verre paille l’accompagne la journée, mais aussi la nuit !

Comme la tasse d’apprentissage, le seul bémol est pour le transport : il faut transporter le verre bien droit sinon, il se videra et inondera le sac…

Voilà donc les deux alliés avec lesquels nous nous préparons à affronter les grosses chaleurs et qui m’évitent de nombreux réveils nocturnes !

Merci à Munchkin pour l’envoi de ces produits (le verre paille m’a été envoyé en test et la tasse d’apprentissage m’a été offerte au spot des E-fluent Mums 4)

Si vous voulez découvrir d’autres produits Munchkin, je vous avais parlé de la Chenille de bain !

Nos couches lavables pour la nuit

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Hier je vous parlais de nos couches lavables dans un long article (ici) mais je ne vous ai parlé que des couches que nous utilisions pendant la journée. En effet, il existe des couches lavables pour la nuit, plus absorbantes et avec un “effet au sec” qui empêche les irritations de la peau. Je n’ai pas utilisé ce système dès la naissance de ma fille il y a 3 ans, (par facilité j’avais opté pour des couches jetables écologiques pour la nuit), mais cela fait plus de 18 mois que je les utilise alors là encore j’ai pas mal de recul.

Nos couches lavables pour la nuit :

J’utilise donc des couches Dodo Bambou de chez Lulunature (en orange sur la photo). Elles ont une face en bambou et coton, et l’autre face en polaire qui donne l’effet au sec. Ses nombreux boutons pressions permettent d’adapter la couche à la taille de l’enfant, de 5 à 15 kg. Pour plus d’absorption, je place un insert (vendu avec la couche) à l’intérieur. Je mets également un voile de protection pour recueillir les selles, et par dessus je mets une culotte de protection Popolini.

Couche lavable pour la nuit

La couche est très facile à mettre (encore une fois, Petit Ourson nous sert de modèle !).

Petit Ourson en couche lavable pour la nuit

Et une fois la culotte de protection placée, c’est vrai qu’elle fait un gros popotin, mais la nuit on dort alors ça ne se voit pas ! (comment ça la nuit on dort ? Vos enfants ne font pas leurs nuit ?! … Les miens non plus je vous rassure !)

Petit Ourson en couche lavable pour la nuit avec culotte de protection

Nos couches lavables pour la nuit au quotidien :

Je suis très contente de ces couches. J’en ai 5, ce qui me permet généralement d’en avoir toujours une propre. Pour être sûre de ne pas manquer, il m’arrive de les laver avec le linge de la famille si la poubelle à couche n’est pas suffisamment remplie pour faire une machine. Je les trouve un peu longue à sécher, mais je suis habituée aux langes qui sèchent en un rien de temps, donc je suis certainement difficile. Du point de vue du confort, je n’ai rien à redire. Ma fille a la peau sensible et porter une couche lavable pendant une dizaine d’heures ne l’a jamais irritée, grâce au voile polaire de la couche qui laisse la peau au sec. L’enfant n’étant pas dans l’humidité, on ne peut pas non plus déplorer de réveil par la faute des couches.

Le système a donc fait ses preuves et nous convient parfaitement. Il nous arrive encore de mettre des couches jetables pour la nuit lorsque je suis en retard dans les lessives, mais jamais parce que cela serait plus pratique. Chaque couche coûte une vingtaine d’euros, j’ai donc dépensé 100 € qui ont vite été rentabilisés.

Et chez vous, les enfants sont en couches lavables ? N’hésitez pas à me donner votre point de vue ou à me poser des questions en commentaire !

Nos couches lavables

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Après 3 ans d’utilisation, je reviens (enfin !) sur mon expérience des couches lavables. Et je parle bien de mon expérience car je suis bien loin d’être une experte !

C’est pendant ma première grossesse que j’ai décidé d’utiliser des couches lavables : respectueuses de l’environnement, elles sont aussi exemptes de tous les produits nocifs que l’on peut trouver dans les couches jetables (et qui ne sont pas mentionnés dans la liste des composants de ces couches puisque l’affichage de cette liste n’est pas une obligation, comme c’est pratique !), elles sont aussi économiques sur le long terme et on prétend même que les enfants seraient propres plus tôt grâce à elles !

Mon ventre s’arrondissant, j’ai commencé à me renseigner et mon principal outil a été l’excellent livre Les couches lavables, ça change tout de Christelle Beneytout aux éditions La Plage. Dans un tout petit format et pour seulement 5€, ce livre aborde l’essentiel de ce que l’on doit savoir sur les couches lavables. Je m’en sers encore régulièrement, notamment pour la recette du décrassage (fait de retirer les résidus de lessives et de calcaire accumulés au fil des lavages). Pour aller plus loin, certains sites sont vraiment bien faits. Celui que j’ai consulté à mes débuts n’existe plus, mais j’ai trouvé celui-ci qui semble très complet : Les couches lavables.

Après m’être longtemps renseignée sur les différents systèmes existants, j’ai choisi celui avec lequel j’allais commencer selon deux critères : la rapidité de séchage des couches une fois lavées, car j’avais peu de place pour étendre mon linge, et le prix d’achat car je ne me voyais pas dépenser trop sans savoir si les couches lavables me conviendraient vraiment. J’ai donc décidé d’acheter des langes.

J’ai acheté une quarantaine de langes de 80 x 80 cm ainsi que 5 culottes de protection Popolini, une boîte de 100 feuilles de protections, et 2 attaches pour lange “Snappi”. Le tout m’a coûté une centaine d’euros (je ne vous mets pas le détail car les prix ont sans doute changé et j’avais pris le temps d’un long comparatif afin d’arriver au meilleur prix). Grâce à un bon entretien, les culottes de protection sont toujours en très bon état, mais il a fallu que j’en achète 10 de plus lorsque Colombe a grandi. Mon stock actuel compte donc 5 culottes taille S, 5 en taille M et 5 en taille L (très peu utilisé puisque Colombe a été propre avant ses 2 ans). J’ai également racheté des boîtes de feuilles de protections puisqu’on les met à la poubelle avec les selles, mais comme on peut les laver plusieurs fois sans qu’elles ne s’abîment, je n’ai pas eu à en racheter trop souvent. Enfin, une des attaches pour lange s’est cassée après 2 ans et demi de bon et loyaux service (ce qui pour moins de 3 Euros reste un bon rapport qualité/prix), j’en ai racheté 3 afin d’en avoir en stock. Enfin, beaucoup de mes langes se sont abîmés par ma faute (un peu paresseuse, je les ai passés plusieurs fois au sèche linge). 40 langes étant bien plus qu’il n’en fallait pour un seul enfant, j’ai pu jeter les plus troués sans avoir besoin d’en racheter de nouveaux.

Matériel nécessaire pour un change :

Matériel nécessaire pour utiliser un lange comme couche

Sur la photo vous pouvez voir un voile de protection pour retenir les selles et une attache pour lange en haut, une culotte de protection et un lange plié en bas.

Plier un lange pour en faire une couche :

Avant d’être utilisé comme couche, le lange doit être plié d’une manière qui lui permet d’épouser la morphologie de l’enfant. J’effectue ce pliage avant de ranger mes langes près de la table à langer, ils sont donc prêt à l’utilisation à chaque change. Voici donc comment plier un lange :

Plier le lange en deux. Je place toujours l’étiquette sur le côté droit, ainsi une fois le pliage terminé elle se retrouve dans la partie qui absorbe l’urine et ne risque pas de gratter l’enfant.

lange plié en deux

Attraper le coin en bas à gauche (uniquement sur l’épaisseur du dessus) et la place en bas à droite afin de former un triangle.

Former un triangle avec la partie supérieure.

Retourner le lange en veillant à ne pas défaire le pliage.

lange retourné

Plier la partie qui fait un rectangle deux fois. On peut placer un insert absorbant à l’intérieur du pli.

on peut placer un insert absorbant dans le pli

lange plié, prêt à être mis

Pour stocker le lange, je plie les bords vers le centre et plie le rectangle en deux.

Mettre le lange sur le bébé :

Sur le lange préalablement plié, on pose un voile de protection qui permettra de récupérer les selles.

Lange prêt à mettre comme couche avec un voile protecteur

On pose alors bébé sur le lange (ici c’est Petit Ourson qui sert de modèle !).

Mettre un lange comme couche sur un bébé

On rabat la partie centrale du lange sur le bébé.

Plier la partie centrale du lange sur le bébé.

Rabattre les côtés du lange pour le fermer (vous ajusterez la taille du lange en refermant le pli sous les fesses).

Rabattre le plis sous les fesses pour ajuster la taille du lange

mettre_lange_couche_etape_4

Fermer le lange à l’aide de l’attache pour lange puis mettez la culotte de protection par-dessus afin de garantir l’imperméabilité !

Lange fermé à l'aide d'une attache pour lange

Lange et culotte de protection sur bébé

Petit Ourson est vraiment petit alors la couche paraît grosse sur lui, comme elle le serait sur un nouveau né. Mais plus l’enfant grandit et moins la couche lui fait de grosses fesses. Elle n’entrave pas non plus les mouvements de l’enfant. Mes deux enfants ont toujours porté des langes et aucun n’a eu de retard moteur notable, ils ne semblaient pas non plus gênés. Ce système n’est pas le plus absorbant qui existe, il faut donc changer les couches souvent (par période, j’ai pu changer les couches toutes les heures, mais c’était pour que mes enfants aient constamment une couche sèche). Cela paraît contraignant, mais il y a un avantage : l’enfant ressent immédiatement lorsqu’il fait pipi et bien souvent les enfants en couches lavables sont propres très tôt. Pour Colombe c’était tout juste avant 2 ans, pour Petit O’, on verra bien…

Les parents qui ne connaissent pas les couches lavables sont souvent rebutés par le fait de devoir nettoyer après les selles, ou de subir de fortes odeurs à cause des couches qui attendent d’être lavées. En réalité je trouve qu’on est bien moins confronté aux selles et aux odeurs qu’avec des couches jetables. Pour les selles, on les recueille dans le voile de protection et on les jette dans les toilettes, ainsi pas d’odeur et on n’a pas à mettre les mains dedans ! C’est ce que l’on voit sur la photo ci-dessous (oui, Petit Ourson fait caca des petites perles de couleur !). Quant au stockage avant le lavage, il suffit de rincer les couches à l’eau avant de les mettre dans une poubelle en plastique fermée (dans laquelle on peut ajouter un peu d’huiles essentielles) et on ne subit aucune odeur. J’ai pu faire une comparaison avec les couches jetables très récemment puisque j’en ai utilisé pendant une semaine complète : une seule couche jetable remplie de selles sent beaucoup plus fort que 2 jours de couches lavables qui attendent de passer en machine !

on recueille les selles grâce au voile de protection qu'on jette ensuite dans les toilettes

Ce système nous a toujours convenu. Il est parfois critiqué car il est plus long à mettre sur l’enfant que des couches préformées, et c’est vrai que ça a parfois été du sport pour les mettre sur mon fils, mais jamais rien d’insurmontable. J’utilise ces couches même en balade à condition qu’on ne parte pas plus de deux heures, et sans oublier de prendre un petit sac de transport étanche en plus des langes propres ! En revanche l’absorption est trop limitée pour un usage la nuit. J’ai donc longtemps utilisé des couches jetables écologiques, jusqu’au jour où j’ai décidé d’investir dans un système pour la nuit. Mais ça… je vous le raconterai bientôt !

Et chez vous, les enfants sont en couches lavables ? N’hésitez pas à me donner votre point de vue ou à me poser des questions en commentaire !

Un Bilibo ? Qu’est-ce que c’est et à quoi ça sert ?

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Coucou ! Vous me reconnaissez ? Mais si ! Regardez bien, sous le Bilibo c’est moi ! Eh non, ça n’est pas ma tête dans la vraie vie, même si ce Bilibo est devenu un peu mon signe de reconnaissance sur la blogosphère ! Je vous l’accorde, c’est un objet hors du commun. Sur cette photo, il a pour fonction principale de me permettre de bloguer dans l’anonymat, mais il suscite aussi beaucoup de questions de votre part, alors aujourd’hui il est temps pour moi de vous répondre !

Maman A Dada et son Bilibo rose

Un bilibo ? Qu’est-ce que c’est ?

Alors en général on me demande plutôt : “C’est quoi ce truc ?” ou “C’est quoi cette espèce de carapace de tortue ?”.

Le Bilibo est donc une coque de plastique de couleur, formant une demi-sphère aux bords en forme de vagues et percée de 2 trous. Et pour compléter la définition on peut ajouter qu’il s’agit d’un jouet (mais si vous avez envie de dire que c’est une corbeille à fruit, personne ne vous en empêche).

Oui, mais à quoi ça sert un bilibo ?

De corbeille à fruit ? Eh bien oui ! Voilà, un bilibo, ça sert à tout. Du moins ça sert à tout ce que l’on veut. C’est un jouet dont la simplicité offre une multitude de possibilités, limitée uniquement par notre imagination. L’imagination des enfants étant débordante, rendez-vous compte de ce que cela peut donner !

Ce jeu étant destiné à des enfants de 2 à 8 ans, j’ai donc choisi deux petits testeurs dans cette tranche d’âge, Gros Nounours et Petit Ourson, et je leur ai demandé de bien vouloir vous montrer quelques-unes des utilisations possibles de leur Bilibo !

Gros nounours et Petit Ourson présentent leur bilibo

Le Bilibo est avant tout un objet de motricité. Sa forme sphérique lui donne la possibilité de devenir balancelle ou toupie, et c’est ainsi que Petit Ourson, bien installé dans sa coque peut se laisser bercer tranquillement ou au contraire tourner sur lui-même et faire le fou-fou !

Petit Ourson bien installé dans son Bilibo

Petit Ourson jouant à la toupie dans son Bilibo

Pour les plus grands, il permet de travailler son équilibre : il suffit de mettre ses pieds à l’intérieur et de se lâcher ! Attention, l’exercice n’est pas facile ! Et pour les experts, on peut même s’amuser à faire la toupie debout. Mais attention ! Il faut bien dégager l’espace autour sinon Patatra ! Une fois retourné, le Bilibo peut aussi servir de petite marche très pratique pour aller piquer en douce les jolies choses que Maman avait mises en sécurité au-dessus de la commode !

Gors Nounours en équilibre debout dans le Bilibo

Gros Nounours, debout sur un Bilibo essaye d'attraper des objets en hauteur

Il peut aussi se transformer en élément de construction. Quand on joue au petit train, il devient montagne, on en pose 2 l’un sur l’autre et ils deviennent sculpture, ou alors en formant une sphère ils se font Yin et Yang !

Deux Bilibos faisant office de montagnes sous lesquelles passe un petit train en bois

Deux Bilibos posés l'un sur l'autre

Une sphère formée par deux Bilibos, ressemblant étrangement au Yin au au Yang

Le bilibo est aussi un incroyable accessoire pour jouer à cache-cache ! Petit Ourson et Gros Nounours se trouvent sur cette photo, saurez-vous les trouver ?

cache_cache_sous_bilibo

C’est aussi un récipient très utile. Le soir venu si on n’a pas trop envie de ranger ses jouets, hop ! Tout dans le Bilibo, on fait un grand sourire et Maman n’y verra que du feu ! Et pour peu qu’on y accroche sa corde à sauter, on peut faire semblant de promener Petit Ourson comme dans un traîneau !

bilibo_rangement_jouets

bilibo_traineau

Pour les mélomanes, avec deux baguettes, il se fait batterie et accompagne les plus beaux morceaux de musique !

ours_musique_bilibo

Il sert aussi de bac sensoriel, de piscine pour figurines et de berceau pour poupée, de skate park pour petites voitures, de fauteuil pour lire, de chapeau, de luge, de pot à crayon, de déguisement, de pousseur pour apprendre à marcher ou encore de corbeille à fruits ! Voilà, le Bilibo est très résistant et peut être utilisé dans l’eau, dans la neige, dans le sable, et si vous avez vraiment beaucoup d’argent vous pouvez payer une sortie dans l’espace à votre bambin et voir si le Bilibo tient le coup. Ou sinon, avec 2 antennes, il se transforme en casque de cosmonaute ! Gros Nounours a adoré et contrairement au voyage dans l’espace je n’ai pas eu le droit à “Quand est-ce qu’on arrive ?” toutes les deux minutes !

Gros Nounours déguisé en cosmonaute avec son Bilibo sur la tête

Ce jouet est devenu un de nos indispensables car il sert à tout et à tout ce que l’on veut. Même après une année d’utilisation, je suis encore étonnée par ce que les enfants peuvent imaginer avec. En grandissant, les enfants ne s’en lassent pas car ils lui trouvent de nouvelles fonctions adaptés à leurs besoins et aux acquisitions du moment. En somme comme je vous le disais, la seule limite de ce jeu est l’imagination !

Le Bilibo existe dans de nombreuses couleurs et il coûte moins de 30€. Vous pouvez par exemple le trouver sur Hoptoys la super boutique qui propose des “solutions pour enfants exceptionnels” !

C’est un jouet créé par Moluk Design, une société Suisse qui a imaginé une gamme de jeux originaux, au magnifique design épuré, qui sont compatibles entre eux, et qui font tous énormément appel à l’imagination des enfants ! Je vous invite vivement à aller découvrir cette société pour laquelle j’ai eu un véritable coup de cœur !

Le Jeu aux Mille Titres (+concours)

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Il y a quelques jours en vous racontant ma visite au Festival International des Jeux de Cannes, je vous avais promis de vous reparler de mon plus gros coup de cœur : Le Jeu aux Mille Titres. Ce jeux des éditions Oya était en compétition pour l’As d’Or dans la catégorie “Enfant”, je l’ai donc découvert lors de la cérémonie de remise des prix. Lorsque les membres du jury en ont parlé, ils avaient l’air de s’être si bien amusés avec qu’ils m’ont donnée l’envie d’y jouer aussi ! C’est donc le premier jeu que je suis allée découvrir, et le premier que j’ai acheté !

jeu_aux_mille_titres_fillette

Mais pourquoi ça s’appelle “Le Jeu aux Milles Titres” et pas “La fillette sous les drapeaux” comme on le voit sur la photo ? Ce jeu a été édité à 4830 exemplaires. Chaque boîte est unique et numérotée : chaque dessin représente un personnage du jeu situé à un endroit du plateau et c’est la combinaison des deux qui donne son titre à la boîte. Cela donne au jeu les noms les plus drôles comme les plus poétiques !

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Mais avec tout ça, je ne vous ai pas encore expliquer en quoi consiste ce jeu ! À première vue il s’agit d’un Memory : on place des tuiles représentant des personnages face cachée à des endroits déterminés à l’avance sur le plateau, et il faut ensuite retourner deux tuiles dans le but de retrouver un couple. Ci-dessous, j’ai trouvé le balayeur et la balayeuse.

jeu_mille_titre_plateau

Mais ! Ça n’est pas tout à fait ça… En fait le jeu est bien plus riche qu’un Memory, et les éditeurs le qualifient de jeu de “souvenir” et non de jeu de “mémoire”.
Lorsqu’un joueur retourne une tuile, il doit énoncer le personnage qu’il voit et le lieu sur lequel il se trouve. Cette association d’idées aide à se souvenir de la place des personnages car on s’invente une petite histoire. Par exemple, mon balayeur est chez le fleuriste car un grand coup de vent a fait tomber les pétales de toutes les fleurs et la boutique avait besoin d’un bon coup de ménage ! Si l’énonciation de cette histoire n’est pas demandée dans la règle originale, elle anime tellement le jeu qu’elle devient vite une tradition ! Et cette “fabrique à histoires” comme l’appellent ses éditeurs, offre plusieurs niveaux de jeux, permettant les récits les plus fantasques et les sous-entendus en tous genres. Ainsi, j’ai expliqué un jour à mon mari que le papa était chez le fleuriste car il offre un bouquet à sa femme chaque semaine… La grand-mère monte au 7ème ciel dans l’avion… et j’en passe.

papa_fleuriste

grand_mere_avion

pompier_toit

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Le jeu est indiqué à partir de 5 ans, mais en l’adaptant un peu, on peut sans problème jouer avec un enfant plus jeune s’il maîtrise bien le langage. Nous y avons joué plusieurs fois avec Colombe (3 ans) : nous avons retiré certaines tuiles pour que le jeu ne soit pas trop long et parce qu’il y a certains personnages qu’elle ne connaît pas à son âge (le vampire, l’avocat… l’association de ces deux personnages dans cette parenthèse est purement fortuite !). Les histoires sont alors très terre à terre : la reine va à la poste pour envoyer une lettre, ou ici, la factrice est sur le skate board pour distribuer le courrier plus vite !

factrice_skate_board

Le jeu est avant tout un bon exercice de vocabulaire : le plateau représentant une petite ville et tous les lieux qu’on y trouve généralement (boucherie, école, dentiste, route, poste…) il permet aux plus petits d’apprendre ces lieux et leur fonction. Il offre aussi une leçon de grammaire puisqu’il aide à apprendre les prépositions locatives (vous savez, “on va au café”, et “chez le coiffeur” !). Enfin il est une invitation à la discussion : on crée des histoires, mais on peut aussi raconter sa propre histoire. Lorsque les enfants ne vont pas bien, il est parfois plus facile de les faire parler à travers le jeu. Le plateau présentant de nombreux lieux que fréquentent les enfants (l’école, le parc…) on peut essayer de passer par une petite mise en scène afin de comprendre ce qui ne va pas.

Voilà donc pourquoi ce jeu est mon coup de cœur : il a une règle du jeu officielle, mais il est tellement riche en possibilités qu’on peut facilement l’adapter selon les situations et les besoins. C’est un jeu qui peut réunir parents et enfants sans que personne ne trouve le temps long : si en tant qu’adulte on se plaît à raconter des histoires à nos enfants, c’est un véritable émerveillement lorsque les rôles s’inversent !

Le Jeu aux mille Titres, Oya
Auteur : PampukDesign : Inti Ansa
2 à 6 joueurs à partir de 5 ans.
Prix conseillé : 30€

Et j’ai tellement aimé ce jeu que j’ai décidé d’en faire gagner une boîte à l’un ou l’une d’entre vous : “La Factrice sur le Toboggan”.

Boîte du Jeu aux mille titres "La fatrice sur le toboggan"

Pour jouer c’est très simple, vous avez vu des photos de plusieurs personnages sur des lieux différents dans cet article, alors en commentaire, indiquez que vous tentez votre chance et racontez-moi l’histoire d’un de ces personnages ! N’hésitez pas à être drôle ou poétique, c’est aussi le but de ce jeu !

Vous pouvez également aimer la page Facebook du blog (ici) et partager le concours sur les réseaux sociaux, cela ne vous apportera pas de chance supplémentaire, mais cela me fera toujours plaisir !

Vous avez jusqu’au 24 avril 0h00 pour jouer.

Le gagnant sera désigné par tirage au sort dans les jours qui suivront et sera indiqué en édit de ce post. Il aura ensuite 72h pour me contacter via à contact@adadaetaudodo.com .
Jeu réservé à la France Métropolitaine.
Une seule participation par foyer.

Concours terminé ! Le tirage au sort par des mains innocente a déterminé la gagnante et c’est :

tirage_au_sort_mille_titres

gagnant_mille_titres

Bravo à toi Reb ! Je te laisse me contacter pour m’envoyer tes coordonnées afin que je t’envoie le jeu au plus vite !

Cet article est ma participation au rendez-vous “1, 2, 3 jouez” de Maman & Pipelette.

Les Petits Explorateurs , guides touristiques pour les enfants

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Il y a peu, je vous présentais les petits livres de la collection Quelle Histoire, une collection de livre pour initier les petits à la grande Histoire. J’ai été très emballée par cette collection et c’est avec enthousiasme que j’ai appris que les éditions Quelle Histoire lançaient une collection de guides touristiques pour les enfants en partenariat avec les guides Michelin. Les éditions Quelle Histoire m’ayant gentiment fait parvenir 2 exemplaires de leur nouvelle collection, j’ai pu découvrir en avant-première un guide sur la Provence et un autre sur Rome.

petits_explorateur_guides_region_ville

Cette nouvelle collection est faite en partenariat avec le célèbre guide vert Michelin. Ainsi, alors que les parents préparent leur voyage et planifient leurs excursions avec leur guide vert, les enfants peuvent s’investir à leur niveau avec leur guide Les Petits Explorateurs !

La collection est composées de guides “ville” et de guides “région”. Chaque guide s’ouvre sur une partie expliquant comment l’utiliser, ainsi qu’une partie préparation du voyage. Plus qu’un guide touristique, il s’agit d’un vrai carnet de voyage ! L’enfant est invité à noter les informations concernant le voyage comme le mode de transport, la durée du séjour… Et on l’incite à feuilleter le guide immédiatement en lui demandant ce qu’il aimerait visiter. Puis viennent une carte de la ville ou de la région, une frise chronologique de l’histoire locale, et quelques pages sur la faune, la flore, le folklore… Et dans le guide sur Rome, il y a même un petit lexique d’italien !

petits_explorateurs_avant_partir

petits_explorateurs_frise_chronologique

Les guides sont ensuite divisés en chapitres correspondant à différents lieux (des villes pour le guide “région”, et des quartiers ou des monuments pour le guide “ville”) et les explications sont parsemées de portraits des personnalités importantes du lieu, de petits défis, de jeux et de devinettes ou d’anecdotes. Au début de chaque chapitre, on retrouve des symboles indiquant le type de lieu dont il s’agit (loisir, patrimoine, nature), ainsi que le temps nécessaire à sa visite.

petits_explorateurs_chapitre

petits_explorateurs_potraits

petits_explorateurs_defi

Enfin les guides se ferment sur un test des connaissances de l’enfant après ses visites, et par une double-page sur laquelle l’enfant peu noter ses souvenirs et ses impressions, et coller les tickets d’entrées, une photo ou une carte postale. J’aime beaucoup ces deux pages, mais je regrette un peu qu’elle ne soit que deux. Si je devais suggérer une amélioration, ça serait celle-ci : pourquoi ne pas intégrer des pages vierges régulièrement dans le guide pour que l’enfant le personnalise ?

petits_explorateurs_apres_voyage

Vous l’aurez compris, j’ai de nouveau été séduite par ces jolis guides colorés et aux dessins joyeux ! Nous allons profiter des beaux jours qui arrivent pour faire quelques visites en Provence qui n’est pas loin de notre maison, et je vous avoue que je partirais bien à Rome !

Je vous invite vivement à aller découvrir ces guides qui seront disponibles dès le 18 avril pour 9,90€. Concernant le prix justement, je le trouve très abordable considérant qu’ils sont 100% made in France (conception à Paris, imprimés à Toulouse) et issu d’une filière de recyclage. Leur prix est très raisonnable si l’on prend aussi en compte la quantité d’informations que ces livres contiennent, ainsi que les activités proposées aux enfants pour leur donner envie de s’investir dans les visites ! Grâce à ces guides, vos enfants ne traîneront plus des pieds pour visiter les musées et les églises ! Mais attention, il se pourrait bien qu’ils partent en courant pour chercher un petit détail dont parle le guide !

Il existe dors et déjà 6 titres : Provence, Bretagne Sud et Châteaux de la Loire (pour les guides “région”), et Rome, Londres et Paris (pour les guides “ville”). Il ne vous reste plus qu’à faire votre choix pour vos prochaines vacances ! Et pour reprendre les mots du Bibendum : “En route pour l’aventure !”

petits_explorateurs_michelin

Délirolinguo et Étymolingo : deux jeux de société autour des langues

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Aujourd’hui je participe pour la première fois au rendez-vous 1-2-3 jouez ! de Maman & Pipelette où l’on parle jeux de société. Pour inaugurer ce rendez-vous, j’ai choisi de vous parler de 2 petits jeux pour plutôt pour adultes (bah quoi, nous aussi on a le droit de jouer !) autour des langues : Délirolinguo et Étymolinguo tous deux édités chez Assimil (vous savez, les méthodes pour apprendre à parler les langues rapidement rapidement !).

Amoureuse des langues, c’est tout naturellement que j’ai été attirée par le stand de présentation de ces deux jeux lors de ma visite au salon du jeu à Rouen en décembre dernier. Et c’est l’auteur lui-même qui m’a reçue sur son stand : Henrri-S. Erhard est professeur de français, latin et grec, mais il a aussi enseigné l’espéranto et est sans cesse désireux d’apprendre de nouvelles langues étrangères.

delirolinguo

Délirolinguo :
2 à 6 joueurs dès 11 ans.durée du jeu : 20 minutes.

Règles du jeu :
Chaque joueur tire une carte sur laquelle une des 12 langues les plus répandues au Monde lui est attribuée et qu’il doit annoncer avant de cacher sa carte. Sur cette carte figure une liste d’expressions dans cette langue (la liste est la même pour toutes les langues). Le premier à jouer tire une carte orange sur laquelle figure une des expressions de la liste traduite dans les 12 langues. Il doit alors lire l’expression dans la langue correspondante à chaque joueur.

Mon avis :
C’est un petit jeu de mémoire bien sympathique et grâce auquel on peut apprendre un peu d’anglais, espagnol, allemand, portugais, italien, russe, chinois, arabe, turc, hindi, japonais et… français ! Le but premier n’est pas l’apprentissage des langues, même si vous apprendrez quelques rudiments à votre insu, mais plutôt de s’amuser et d’entraîner sa mémoire à retenir une association (langue-personne) changeante au cours du jeu. Cependant, si vous êtes curieux et aimez apprendre, vous pourrez vous amuser à retenir les principales expressions d’une langue, et pourquoi pas, pour ajouter un degré de difficulté supplémentaire, vous amuser à les réciter par chœur ! De même, si vous maîtrisez déjà une langue, pourquoi ne pas traduire l’expression demandée et comparer avec ce qui est écrit sur la carte ? (oui, je suis très joueuse !) Bref, Délirolinguo est un jeu divertissant et dans lequel on peut aussi apprendre. Il se joue très rapidement, et peut donc être l’occasion d’une petite partie autour d’un apéro entre amis ! De quoi passer un bon moment !

étymolinguo

Étymolingo :
En équipes de 2 joueurs dès 12 ans.
30 à 40 minutes

Règles du jeu :
Sur chaque carte figure une racine ancienne, d’un côté une racine latine, de l’autre la même racine mais grecque. On détermine d’abord quelle racine on choisit, puis un “maître du jeu” tire une carte, énonce la racine et chaque équipe essaye de trouver le maximum de mots français dérivés de cette racine. En fonction de la difficulté et de la rareté du mot, il lui sera attribué entre 1 et 3 points.

Mon avis :
Un petit jeu de vocabulaire et de culture générale. Si vous êtes un amoureux de la langue française, ce jeu est pour vous ! Et n’allez pas croire qu’il est trop facile : vous trouverez certainement des mots qui ne figurent pas sur les cartes, mais en vérifiant leur étymologie, vous serez peut-être surpris ! Étymologie inconnue alors que vous pensiez que le lien était évident, ou encore étymologie lointaine et insoupçonnée, la langue française nous réserve de nombreuses surprises !
Ce jeu est aussi un très bon outil pédagogique : sous forme de jeu, les élèves découvrent le sens d’origine des mots et établissent un lien entre les mots de même famille. Étymolinguo est l’occasion d’un apprentissage ludique, et d’ailleurs son auteur s’en sert en classe (je vous rappelle qu’il est prof de français !).

Si vous êtes intéressé par ces jeux, vous les trouverez facilement au rayon “langues” de vos librairies et grands magasins, et non pas au rayon jeu… (cette stratégie peut être discutée, mais Assimil devait choisir un positionnement et a préféré rester dans la catégorie “apprentissage des langues”, même si le but réel de ces 2 produits est plutôt le jeu). Et pour en savoir plus sur la genèse de ces 2 jeux, je vous invite à aller lire le récit détaillé écrit par Henrri-S. Erhard sur le blog Assimil : ici.

Alors ces jeux vous intéressent ? Et pour conclure j’ai décidé de vous mettre dans le bain de Délirolinguo : nin jue de he shi ma? (c’est du chinois ^^)

Les autres participations au rendez-vous 1… 2… 3… Jouez
Maman & Pipelette : 10 Min to killL’Esprit vient en jouant : Playa Playa
Step by Step : Marrakech
Lucky Sophie : Lapins Crétins en furie

Les indispensables A-Derma sont devenus NOS indispensables !

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box_Aderma

Dans la famille À Dada ! s’il y a bien une bataille que l’on mène de front au quotidien, c’est celle contre la peau très sèche de Colombe. Dès son premier hiver la pauvre a eu les jambes et les bras recouverts de plaques et le calvaire a commencé. Le calvaire pour elle avant tout puisqu’elle avait mal et souffrait de démangeaisons, mais aussi le calvaire (tout relatif) de nous, parents qui nous trouvions assez impuissants face à cette situation. Bien évidemment, nous avons essayé beaucoup de choses, mais la solution a tardé à venir !

Nous avons tout d’abord adopté les précautions d’usage :

  • Ne pas prendre de bain trop souvent, veiller à ce qu’il ne soit pas trop chaud et limiter à 5 minutes le temps passé dans l’eau.
  • Préférer les douches aux bains et ne pas en prendre chaque jour.
  • Utiliser un gel douche sans savon.
  • Ne pas utiliser de gant de toilette ou d’éponge pour laver la peau.
  • Bien sécher la peau en tamponnant avec une serviette et ne surtout pas frotter.
  • Bien hydrater la peau matin et soir.

Et dans le même temps nous nous sommes posés beaucoup de questions sur notre environnement. L’adoucissant utilisé avec les lessives est souvent cause d’aggravation des problèmes de peau, de ce côté nous n’étions pas concernés puisque nous n’en utilisons plus depuis des années. Mais les premières plaques sont apparues sur la peau de Colombe alors que je venais de changer de lessive (succombant bêtement à une promotion…). Je suis donc vite revenue à ma lessive initiale (une lessive écologique et sans parfum). Côté habillement, je privilégie le coton, plus doux pour la peau et j’ai banni les vêtements en tissus synthétiques dans lesquels la peau ne respire pas, ainsi que tous les tissus qui grattent.

En parallèle, le médecin nous a aidé à trouver un traitement : nous avons cessé de donner du lait de vache à Colombe ce qui a beaucoup limité les plaques. Pour son petit déjeuner, nous lui donnons du lait de chèvre, et les produits laitiers qu’elle consomme sont à base de lait de chèvre ou de brebis. Cette étape a eu de bons résultats puisque les plaques sont devenues bien moins fréquentes et moins douloureuses, même si sa peau reste très sèche. Et le médecin nous a aussi orientés vers la crème qui a toujours soigné les plaques de Colombe : la crème réparatrice Dermalibour +. Nous l’utilisons depuis qu’elle a 11 mois et il n’a jamais été question de changer car elle fait disparaître les plaques rouges en quelques jours seulement.

Mais voilà, nous sommes restés longtemps dans une situation où nous parvenions à soulager les douleurs et soigner les rash, mais où nous ne parvenions pas à hydrater suffisamment la peau de Colombe afin de les éviter. J’ai testé beaucoup de gels douches et de crèmes de marques différentes, et ai fini par utiliser les produits Stélatopia de Mustella qui bien que n’hydratant pas suffisamment la peau, au moins étaient les seuls qui ne donnaient pas de plaques à Colombe…

Et en novembre dernier, lors de l’événement des E-Fluent M ums 4 organisé par le magazine Parole de Mamans j’ai eu la chance de rencontrer des représentants de la marque A-Derma et je les ai bombardés de questions ! J’ai décrit les problèmes de peau de ma Colombe et l’on m’a dirigée vers l’huile nettoyante émolliente EXOMEGA. Aussitôt rentrée à la maison, aussitôt testée ! Et dès les premières douches je constatais des résultats : non seulement ce gel n’aggravait pas les plaques rouges, mais il semblait les limiter ! J’ai donc utilisé cette huile pour laver ma fille pendant tout cet hiver, et pour la première année elle n’a eu que quelques petites plaques rouges de temps à autres.

box_douceur_Aderma

Enfin, notre dernière découverte a eu lieu il y a environ 3 semaines lorsque A-Derma m’a gentiment envoyé sa “Box douceur”, composée de leurs 3 produits indispensables pour l’hiver. Les deux premiers produits étaient ceux dont je viens de vous parler. Ça n’était pas une découverte pour nous, mais cela m’a fait très plaisir de recevoir ces produits dont nous ne nous passons plus ! Le troisième produit était la crème émolliente EXOMEGA que je me suis empressée de tester sur Colombe ! Là encore j’ai constaté une nette amélioration. Pour la première fois, j’ai vraiment l’impression que sa peau est bien hydratée une fois que je lui ai passé cette crème. Et elle n’a presque plus de plaque, si bien qu’on utilise de moins en moins le Dermalibour + !

Avec ces 3 produits, j’ai l’impression que nous avons atteint un équilibre satisfaisant pour affronter l’hiver sa douleur ni démangeaisons et avons maintenant fixé une routine :

  1. Une douche un jour sur deux avec l’huile nettoyante émolliente EXOMEGA.
  2. Tous les matins on hydrate et protège la peau avec la crème émolliente EXOMEGA.
  3. On répare les lésions avec Dermalibour + (mais ça on a de moins en moins besoin de le faire !)
  4. Tous les soirs, on hydrate de nouveau la peau, pour cela j’utilise une huile d’amande douce pure (car j’ai entendu dire qu’il était bon d’utiliser des produits différents le matin et le soir, chacun apportant ses bienfaits)

Toute la gamme A-Derma est développée autour de l’avoine rhealba, une plantule cultivée à proximité des laboratoires afin de préserver au mieux ses principes actifs, mais je vous laisse découvrir ça directement sur leur site où ils expliquent le processus de fabrication bien mieux que je ne le ferai : ici !

Vous l’aurez compris, je suis tombée sous le charme de ces produits qui ont fait des miracles sur la peaux de ma fille (oui, des miracles car pour une maman, après avoir vu la peau de sa fille très irritée et douloureuse chaque hiver, s’être débarrassé de ce fléau tient un peu du miracle !). Je les recommande vivement : ils n’auront peut-être pas la même efficacité sur la peau de votre enfant, car chaque peau est différente, mais cela vaut vraiment le coût d’essayer !

Et finalement ces produits sont tellement efficaces, qu’il m’arrive souvent de m’en servir moi aussi pour lutter contre les agressions de l’hiver !

Test produit : Caterpillar Spillers, le jouet de bain de Munchkin

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Il y a quelques jours, j’ai eu la chance de recevoir en test ce joli jouet de bain de la marque Munchkin : le Caterpillar Spillers.

caterpillar_spillers_Munchkin

Il s’agit d’un jouet composé de 7 gobelets que l’on peut ranger les uns dans les autres, empiler pour construire une tour, ou accrocher les uns à la suite des autres. Nous avons tout de suite été séduits par cette chenille aux couleurs de l’arc-en-ciel (hihi, vous connaissez notre amour pour les arc-en-ciel !) et dès que les enfants l’ont vu, ils ont voulu aller jouer avec dans le bain.

caterpillar_spillers_empilé

caterpillar_spillers_tour

caterpillar_spillers_chenille

Nous avons tout de même attendu quelques heures (parce qu’on a reçu le colis en milieu de journée) mais en fin d’après-midi, Colombe et Petit O’ n’avaient absolument pas oublié ce jouet qu’ils venaient de recevoir ! J’ai donc mis mes deux petits dans le bain et les ai laissés jouer avec ces jolis récipients colorés. Ils se sont alors donnés à cœur joie : remplir, verser, regarder l’eau s’écouler, accrocher les différentes parties entre elles et faire voyager la chenille à travers le bain, le jeu a duré de longues minutes !

caterpillar_spillers_verser

caterpillar_spillers_verse

caterpillar_spiller_tete

J’ai aimé :

  • Ce jouet, composé de gobelets, est très facile à laver, ce qui est une qualité primordiale pour un jouet de bain. En effet, à force de rester posés dans l’humidité, les bactéries se développent rapidement sur les jouets de bain, il faut donc les laver très régulièrement, autant que cela se fasse facilement !
  • Les couleurs chatoyante, la petite tête de chenille rigolote et l’aspect extérieur global très attirant pour les enfants.
  • Chaque gobelet est percé de manière différente, et l’eau s’en écoule à chaque fois avec un débit différent. Les enfants passent alors un long moment à observer et comparer la manière dont l’eau s’écoule.
  • Le petit moulin à eau situé dans le plus petit gobelet. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai remarqué que les enfants avaient une passion pour les moulins à eau.  Ils pourraient les regarder tourner pendant des heures. C’est donc un très bon point que ce jouet en ait un !

J’aime moins :

  • Le système d’accroche entre les gobelets est un peu difficile par endroit, et je trouve qu’il se défait un peu facilement. Cela n’enlève pas grand chose à la qualité du jouet, mais ce détail a un peu énervé Colombe alors qu’elle essayait de reconstituer elle-même la chenille, alors je le mentionne.

Globalement cette petite chenille de bain est un très bon jouet. À la maison elle est totalement adoptée, tant par les enfants qui ne s’en lassent pas et la réclament à chaque bain, que par moi pour son côté pratique (facile à nettoyer, mais aussi utile quand on cherche un récipient pour rincer les enfants !). Elle nous promet à chaque fois de longs moment de jeu.

Et vous, sa petite tête rigolote ne vous donne pas envie d’aller jouer à remplir, vider, verser… ?